Né à Ruzhany en Biélorussie, il grandit à Białystok.
Il émigre en Palestine en 1935. Son patronyme était alors Jaziernicki, mais il le changea plus tard en Shamir.
Il rejoint l'Irgun Zvai Leumi, une organisation armée sioniste de droite, qui commettra de nombreux attentats contre les civils arabes palestiniens entre 1936 et 1939, période de la Grande Révolte arabe en Palestine. Les attentats feront environ 250 morts1.
Lorsque le groupe se divise en 1940, Shamir suit la faction la plus militante, dirigée par Avraham Stern, plus tard surnommé groupe Stern, ou Lehi, faction qui souhaitait réorienter la lutte armée contre les Britanniques, et ce suite à la publication par ceux-ci en 1939 d'un Livre blanc sur la Palestine qui indiquait « le gouvernement de Sa Majesté déclare aujourd’hui sans équivoque qu'il n'est nullement dans ses intentions de transformer la Palestine en un État juif2 ».
En 1941, Shamir est emprisonné par les autorités britanniques. Après la mort de Stern, abattu par les Britanniques en février 1942, le Lehi cesse ses opérations. Shamir s'enfuit en septembre 1942 de son camp de détention et devient le chef du Lehi, qu'il réorganise.
Fin 1943, après l'évasion de membres du Lehi, la direction est réorganisée, et il devient l'un des trois membres du « centre », la direction collective de l'organisation. Il est plus spécifiquement chargé des opérations armées.
L'organisation reprend ses attentats contre les Britanniques à compter du début 1944, en liaison avec l'Irgoun. Sous sa direction opérationnelle, le Lehi fut responsable de nombreuses actions, dont l'assassinat en 1944 du ministre d'État britannique pour le Moyen Orient, Lord Moyne et l'assassinat en 1948 du représentant des Nations unies pour le Moyen-Orient, le comte Folke Bernadotte.
Arrêté le 2 août 1946 dans les rafles qui suivent l'attentat contre l'hôtel King David, commis par l'Irgoun, Shamir est déporté en Érythrée, s'évade de nouveau en janvier 1947, et se réfugie en France, d'où il ne reviendra qu'à l'indépendance d'Israël, en mai 1948. D'août 46 à mai 48, le Lehi a fonctionné sans lui, mais il reprend à cette date son rôle de chef des opérations pour les dernières opérations du Stern (contre les villages arabes), qui se déroulent avant l'intégration au sein de Tsahal le 29 mai 1948. Après cette date, le Stern ne conserve qu'une structure opérationnelle à Jérusalem, où sera commis l'attentat contre le médiateur des Nations-Unies, Folke Bernadotte, sur l'ordre du « centre », dont Shamir.
Après l'indépendance d'Israël, Shamir rejoint, de 1955 à 1965, les services secrets (Mossad), où il est surnommé le « Derviche »3 puis entame une carrière politique : il est élu à la Knesset en 1973 sur la liste du Likoud. Il est président de cette assemblée en 1977, puis ministre des Affaires étrangères en 1980. En 1983, il succède à Menahem Begin au poste de Premier ministre.
Malgré sa réputation de faucon du Likoud, Shamir dirige en 1977 la délégation israélienne qui rencontre le président égyptien Anouar el-Sadate et les discussions de paix. Il dirige les négociations israélo-égyptiennes de 1981 et de 1982 afin de normaliser les relations entre les deux pays, ainsi que les négociations avec le Liban qui aboutissent à l'accord de 1983, qui ne fut finalement pas ratifié par le gouvernement libanais.
En tant que Premier ministre, son incapacité à maîtriser l'inflation aboutit, sous sa proposition, à la formation d'un gouvernement de coalition à la suite des élections de 1984, dirigé par Shimon Peres, membre jusqu'alors de l'opposition. Peres fut Premier ministre jusqu'en septembre 1986, où Shamir lui succéda.
Afin de pouvoir reprendre le poste de Premier ministre, Shamir modéra son image de dur du parti. Réélus en 1988, Shamir et Peres formèrent une nouvelle coalition gouvernementale jusqu'en 1990 où le parti de Peres quitta le gouvernement laissant Shamir avec une faible majorité.
En 1991, le gouvernement Shamir prit part aux négociations de Madrid et ordonna le sauvetage de milliers de juifs éthiopiens, l'Opération Salomon.
Durant la première Guerre du Golfe (1990-1991) les États-Unis déployèrent, avec l'accord du gouvernement Shamir, des batteries d'anti-missiles Patriot pour protéger Israël des missiles Scud dont l'Irak le menaçait. En contrepartie, le gouvernement Shamir ne réagit pas aux lancements des missiles Scud envoyés sur Israël.
Shamir quitta la charge de Premier ministre en 1992, puis la direction du Likoud en mars 1993, non sans avoir fermement critiqué la politique envers les Palestiniens de son successeur, Benyamin Netanyahou, qu'il jugeait trop molle.
(Biographie Wikipédia - http://fr.wikipedia.org/wiki/Yitzhak_Shamir)
Qu'on le laisse reposer en paix et méditons sur ses erreurs pour ne pas les répéter.
Je ne sais si tu es Juif, si cela est c'est bien triste car dans ce cas tu es un renégat quand tu parles ainsi Si tu ne l'es pas, ce que j'espère car le peuple juif n'a pas besoin d'individus comme toi, passes ton chemin
Y.Shamir était animé par un amour inconditionnel d'Eretz Israël et de son peuple c'était un fervent sioniste qui ne ménageait pas sa peine, il a traversé la Shoah il savait de quoi nos ennemis sont capables. Il n'aurait pas capituler devant eux et aurait su répondre à l'Europe, comme Begin l'avait fait aussi "le peuple juif ne s'agenouille que devant D.ieu" AMEN
Repose en pais Ytzrak et puisse tu inspirer notre peuple
Mais je ne t'autorise ni à me tancer ni à m'injurier. Je suis au moins aussi juif et sioniste que toi.
Je serais le dernier à dénier à Itzhak Shamir son patriotisme, son dévouement et son amour d'Israël, mais je n'en pense pas moins qu'il a mis ce patriotisme et cet amour au service d'une conception totallement erronnée et gravement néfaste de l'intérêt d'Israël.
Et dispense-toi à l'avenir de prétendre me juger et me donner des leçons.
Souhaitons à notre Pays de tels Manhiguim...
Nous en avons plus besoin que jamais...
Yitzhak Shamir émigra en 1935 en Eretz Israël et non en Palestine !
Puisse-t-il reposer en Paix...
Repose en pais Ytzrak et puisse tu inspirer notre peuple
Envoyé par Judith - le Lundi 2 Juillet 2012 à 13:10
Begin a dit, Nous ne nous agenouillons pas devant HM alors jamais nous nous mettrons à genous devant les haommes,,, Desolé Judith de reprendre ta phrase qui de toute façon est tres juste, mais meme HM ne nous demande pas de nous agenouller devant lui