Israël : infos Société

Ils ont bien raison ils en ont mare de ces guerres que leurs imposent leurs voisins sur 4 générations
Et la c est le terrorisme qui s en mêle ..il faut en finir et pour en finir il faut finir le travail conforter des positions et
Interpeller la ligue arabe pour qu elle reçoive nataniahou qui dans un discours fleuve tentera de leur expliquer israeĺ leur tendra la main et leur demandera de décider soit des guerre improductives à profusions soit une vie en bon voisinage et pour les plus récalcitrants une reconnaissance du bout des lèvres mais une reconnaissance à travers un vote l,état d israeĺ pays des juifs ...les arabes ont tant de terres fertiles de pétroles etc...ils auraient intérêts à entretenir de bon rapports de voisinages et ils devront s y mettre les Obama les Kerry les Fabius et les autres devraient travailler dans ce sens plutôt que de demander des cessez le feux qui ne règlent rien israeĺ en a fait maintes fois l,expérience

Et il faut - ce qui semble d'ailleurs être le cas ( cf. les déclarations de Mme Tzipi Livni, d'Amir Péretz ) - que tout Israël fasse bloc derrière son gouvernement, soumis à d'intenses pressions. Barack Obama vient de téléphoner à Binyamin Netanyahu pour en quelque sorte exiger qu'Israël cesses ses opérations " immédiatement et sans conditions " . C'est-à-dire sans aucune garantie militaire, sans achever le démantèlement des tunnels et des caches d'armes. Barack Obama tombe le masque, après John Kerry, et se range donc ouvertement du côté du 'Hamas. Le cabinet de sécurité, réuni en ce moment même, débat de cette exigence.
Quels sont les moyens que l'administration Obama peut employer pour forcer Israël à capituler ? - On a vu qu'il y a quelques jours, les Etats-Unis avaient pris prétexte de ce qu'un débris de missile était retombé sur une localité proche de l'aéroport Ben-Gourion pour mettre en oeuvre, immédiatement suivis par les Européens, une forme de boycott contre Israël : celui du trafic aérien.
L'un des points d'appui d'Israël es très certainement la volonté de l'Egypte de voir déraciner la branche " palestinienne " ( fort active dans le Sinaï ) des " Frères Musulmans " qu'elle s'efforce d'éradiquer chez elle. Il n'est pas inutile de rappeler que Washington avait appuyé à fond la prise du pouvoir par Mohamed Morsi et qu'elle l'a soutenu jusqu'à la dernière extrémité, et même au-delà puisque l'administration Obama, pour punir le maréchal Al-Sissi d'avoir évincé

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Mohamed Morsi, a fait immédiatement supprimer une grosse partie des crédits consentis jusque-là à l'Egypte par Washington. Le fricotage de l'administration Obama avec Téhéran est une autre cause de friction entre Washington et Le Caire, qui a été outré, hier, de voir que la réunion de Paris rassemblait tous les appuis du 'Hamas ( Turquie et Qatar, notamment ), alors que l'Autorité " Palestinienne " n'avait pas été invitée.
Les Etats-Unis pourraient, à l'automne, faire cause commune avec les Arabo - " Palestiniens " à l'ONU. Mais le moment serait inopportun pour ce faire en raison des " midterm elections " américaines. Disposent-ils - et sont-ils disposés à les employer ? - de moyens tels que le refus de refournir Israël en pièces détachées et en matériels militaires ? Peuvent-ils peser en cessant de fournir des garanties financières aux opérations et démarches de financement qu'Israël peut être amené à faire ?
Ce qui est sûr, c'est qu'Israël est soumis, depuis en fait deux ou trois jours, à d'intenses, à d'inimaginables pressions; Les manifestations pro-'Hamas à Paris et ailleurs jouent leur rôle et font partie de cette pression;
C'est si vrai qu'Israël commence - commence seulement - à se préoccuper de faire donner, àson tour, des manifestants pour sa propre cause : 1000 personnes à Marseille, 4000 à Budapest ...
Mais il ne faut pas se raconter d'histoires : bien qu'Israël ait, en théorie, repris l'offensive, celle-ci, depuis 48 heures, piétine - non faute

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d'ordres de mission, qui ne peuvent venir que de Jérusalem et qui, pour le moment, ne viennent pas. Tsahal demeure sur le terrain, continue de détruire caches d'armes et tunnels, mais n'avance plus. Il n'y a plus de véritables raids aériens et les bombardements par l'artillerie des blindés ont très fortement diminué en nombre et en intensité. En réalité, l'offensive israélienne est encalminée. Or, cette situation risque de donner le temps au 'Hamas de s'approvisionner en armements ( notamment en armements anti-chars ) auprès de l'Iran et de la Corée du Nord, intensément sollicités ces jours-ci par les chefs du 'Hamas. C'est probablement pour contrer l'éventualité de débarquements de ces armes qu'on voit l'armée égyptienne intensifier son action dans le Sinaï et multiplier les destructions de tunnels sous la frontière avec Gaza.

Trois possibilités sont sur la table, pour Israël :

- Céder à la pression américaine, se retirer, en maquillant cette capitulation d'une manière ou d'une autre ;
- Continuer ce qui se fait actuellement depuis 48 heures ( ce que je décris ci-dessus : destruction de tunnels
d'armes, mais en demeurant, pour le reste, l'arme au pied

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sans ordres de mission pour reprendre l'offensive, et en suspendant, de facto, raids aériens et bombardements ;
- reprendre l'offensive et la mener jusqu'à la destruction du 'Hamas.
La première option serait dans le droit fil de ce qui a déjà été fait par deux fois à Gaza, en janvier 2009 et en novembre 2012 : se retirer en laissant le travail inachevé. Il ne resterait plus qu'à remettre ça dans deux ans, ou dans trois ans, ou avant ... Et le Hezbollah ainsi que le Califat Islamique ne manqueraient pas d'en tirer la conclusion qu'il est possible d'intimider et de faire plier Israël : bonjour les tunnels à partir du Liban !
La deuxième option ne vaut guère mieux que la première, à laquelle, en fait, elle prépare.