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Le ministre de la santé Yaakov Litzman (Judaïsme Unifié de la Torah) a ordonné une enquête vendredi pour vérifier les soupçons que le personnel médical arabe d'une clinique de la vieille ville de Jérusalem n'est pas sortit pour aider les victimes juives poignardées juste à côté de la clinique.

L'incident en question est le brutal assassinat de Aaron Benita Bennett (21 ans) et de Rabbi Nehemia Lavi (41 ans) qui a eu lieu sur la rue Hagai le 3 octobre. La femme de Bennett a été grièvement blessée et son fils de deux ans légèrement blessé dans l'attaque terroriste arabe.

Bien que la condition de la femme de Bennett se soit depuis améliorée, il est probable qu'un traitement médical immédiat aurait diminué la gravite de ses blessures et éventuellement sauvé la vie de son mari et de Rabbi Lavi.

La clinique dirigée par des arabes, située juste a côté du lieu de l'attentat, était ouverte au moment de l'attaque, et le personnel médical était à l'intérieur.

Toutefois, l'équipe médicale arabe n'est pas sortie pour soigner les blessés, en dépit de leurs obligations professionnelles pour soigner les blessés, comme le fait le Magen David Adom qui soigne même les terroristes arabes sur les lieux des attaques.

Le ministère de la santé est en train de vérifier si le personnel médical aurait pu aider les blessés et a choisi de ne pas le faire.

Le ministre Litzman a ordonné d'accélérer le processus et de rendre justice contre les responsables, si il devient clair qu'ils ont en effet ignoré les victimes juives blessées dans l'attaque mortelle.

La réponse suspectée du personnel médical arabe est à mettre en parallèle à la réponse des habitants arabes, qui se moquaient de la femme de Bennett blessée alors qu'elle tentait d'échapper à l'attaquant en demandant de l'aide. Le premier ministre Benyamin Netanyahou a demandé des fermer les magasins appartenant aux arabes qui se moquaient de la victime et qui l'ont même frappée.