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Israël : infos SociétéLes hôpitaux israéliens menacent d'arrêter d'accueillir des réfugiés syriensLes hôpitaux mettent en garde qu'ils cesseront d'admettre des réfugiés syriens blessés à partir de la semaine prochaine si le gouvernement ne contribue pas à fournir une assistance pour apaiser les coûts financiers impliqués. Le directeur de la division des centres médicaux du gouvernement, le Dr Orly Weinstein, a déclaré dans une lettre envoyée dimanche au directeur adjoint du bureau du premier ministre, Ehoud Prawer, que "comme nous le savons, les centres médicaux publics du nord ont admis des réfugiés syriens transférés par la défense depuis quatre ans maintenant. La plupart de ces patients souffrent de blessures de combat, certaines très complexes, qui nécessitent une chirurgie sérieuse." "Même si l'état a statué à plusieurs reprises que les hôpitaux doivent être remboursés pour ces traitements, ils ne l'ont été jusqu'à présent que partiellement," a-t-elle écrit. Weinstein a alors lancé un avertissement : "j'ai l'intention de notifier aux responsables de la défense qu'à partir du 5 mai 2017, et jusqu'à ce que le problème soit résolu, les réfugiés syriens ne seront plus transférés dans les hôpitaux publics, à moins que ce soit un patient dont la vie est immédiatement en danger." Jusqu'à présent, le gouvernement n'a pas payé les hôpitaux pour l'admission des réfugiés, bien que jusqu'à ce jour, les hôpitaux israéliens aient traité 2 278 personnes blessées dans la guerre civile syrienne. Alors que chaque jour de traitement est estimé à un coût d'environ 10 000 shekels, l'état rembourse les hôpitaux seulement 1 300 shekels par patient syrien. Plus tôt ce mois-ci, le ministre de la santé, le rabbin Yaakov Litzman, a menacé d'arrêter de prendre et traiter les réfugiés syriens à cause des coûts croissants associés à une telle politique de porte ouverte. L'avertissement vient deux mois après que le premier ministre Benyamin Netanyahou ait exprimé sa fierté dans le dévouement des hôpitaux israéliens aux réfugiés syriens. "Nous traitons des patients syriens depuis maintenant 4 ans. Les plaies elles-mêmes sont très compliquées et nécessitent des interventions chirurgicales complexes avec de nombreuses équipes," a expliqué le Dr Masad Barhoum, directeur du centre médical de Galilée. "Nous subissons les coûts de leur traitement, ce qui signifie que nous ne pouvons pas nous permettre une meilleure technologie, des rénovations ou un traitement optimal pour les résidents du nord en raison du déficit. Nous avons reçu 54 millions de shekels à ce jour, mais les coûts sont estimés à plus de 300 millions de shekels." Le directeur adjoint du centre médical Ziv de Safed a ajouté que "le coût du traitement d'un patient syrien est plus élevé car ils n'ont pas d'installations médicales dans leurs communautés, ce qui signifie que nous devons leur faire passer de nombreux tests que d'autres patients ne font pas." "En outre, nous devons les équiper de médicaments et d'appareils médicaux, car ils n'auront pas accès à ceux-ci quand ils finissent leur traitement." La semaine dernière, le comité des fonds a tenu une discussion sur le sujet à la Knesset. Un représentant de la défense a été critiqué lors des délibérations après qu'aucun représentant de la défense n'a fait l'effort de se présenter au dernier débat. Articles connexes
5 commentaires
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laissez les crever,vous perdez votre temps et votre argent
On ne peut pas faire des enfants à gogo si les ressources d 'un pays ne le permettent pas .
La planète va être asphyxiée par cette démographie débridée du monde musulman et du monde africain
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00762239/document
Page 19
“ une croissante naturelle élevée
La position démographique de la Syrie risque-t-elle de se réduire, au Proche et
au Moyen-Orient ? Les évolutions de la population syrienne livrent des éléments
concluant à une réponse incontestablement négative, même si un élément plaide
pour une réponse positive. Depuis son indépendance, la Syrie n’a cessé d’accroitre,
en valeur absolue, son poids démographique sous l’effet du processus de la transi-
tion démographique. En effet, sa population est passée de 3,4 millions d’habitants
en 1950 à 20,4 millions en 2010 selon les statistiques de l’ONU
7
, mais à 22,5 mil-
lions en 2011 selon les estimations du Population référence bureau
8
, soit une mul-
tiplication par 6 en soixante ans.
Une telle croissance s’explique par l’intensité de
la baisse du taux de mortalité jusqu’à la fi des années 1970 alors que, dans la
même période, correspondant à la première étape de la transition démographique,
l’indice synthétique de fécondité demeure élevé, à plus de 7 enfants par femme.
En conséquence, le taux d’accroissement annuel s’élève jusqu’à un maximum de
3,7 habitants supplémentaires pour cent. “
C'est la même croissance ou à peu près qui affecte la plupart des pays musulmans (Egypte : quadruplement de la population depuis la dernière guerre mondiale , Algérie , plus du quadruplement depuis 1962 , Idem du Maroc ou de l'Indonésie ou de Gaza ou même d"Israel )
Mais où va t on . Qu'ils fassent un planning familial drastique OU QU ILS SE DÉBROUILLENT
On ne va pas les aider à être plus nombreux , à submerger la planète , à nous étouffer ,non ?
Pourquoi devrions nous nous suicider ?