Israël : infos Société

Les résidents de longue date du quartier Shapira au sud de Tel Aviv ont parlé de la manière dont leur synagogue locale est devenue un supermarché pour les infiltrés.

Un des résidents, Eliyahou, a vécu dans le quartier depuis plus de soixante-dix ans.

"Cela fait vraiment mal," a-t-il dit. "Comment pouvez-vous transformer une synagogue en supermarché ? Je vis ici depuis que j'ai immigré en Israël, lorsque les britanniques étaient ici. Pourquoi ne mettent-ils pas les infiltrés dans le nord de Tel Aviv ?"

"Je veux ouvrir un café sur le site d'une mosquée ou d'une église. Que se passerait-il si je faisais cela ? Le monde entier serait en colère. Qu'est-ce qui se passera à la fin ? Nous n'avons pas tellement de temps à vivre. On partira bientôt. La nouvelle génération devra se réveiller. Les infiltrations avancent, et nous reculons."

Meir, qui a vécu à Shapira depuis 20 ans, a déclaré que la ville n'essaie même pas d'aider les résidents locaux.

"Ils méprisent les résidents et ceux qui gardent les traditions juives," a déclaré Meir. "C'est un endroit public qui est important pour les résident. Qu'est-ce que ce supermarché donnera aux résidents ? Il y a assez de supermarchés ici. La municipalité a pris la synagogue à cause de l'argent, c'est dommage. Pour un country club, ils investissent des millions."

"Ici, combien d'argent fera une synagogue ? Au cours des dernières années, la vie a été vraiment difficile ici, surtout pour ceux d'entre nous qui sont traditionnels."

R. priait dans la synagogue avec ses enfants avant qu'elle devienne un supermarché.

"Mes enfants et mois venions prier ici," a déclaré A. "Cela me fait mal de passer chaque matin ici, de voir que la synagogue dans laquelle j'ai prié est maintenant un supermarché. Aidez-nous."

La cour suprême d'Israël a permis à la grande majorité des infiltrés d'obtenir des vises leur permettant de rester en Israël, et a jugé que les infiltrés ne peuvent être emprisonnés pour avoir refusé l'expulsion.

Pendant ce temps, 39 000 infiltrés africains, sans compter les enfants, inondent Tel Aviv. Pour chaque infiltré qui part volontairement, deux autres naissent. Ces enfants inonderont les jardins d'enfants du sud de Tel Aviv et recevront des enseignements modernes aux frais des enfants juifs.