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Israël : infos SociétéEt si le conservatisme national était l'avenir du populisme'FIGAROVOX/ANALYSE - La deuxième Conférence sur le conservatisme national s'est tenue les 3 et 4 février à Rome. Alexis Carré décrypte l'ambition de son organisateur, l'auteur israélien Yoram Hazony, d'ancrer le libéralisme politique dans une perspective nationaliste.
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| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 30 minutes
Ce qui frappe est que : capitalisme et libéralisme sont rarement différenciés, si bien qu'on ne sait plus si le "libéralisme" n'est pas exactement le contraire de "nationalisme".
Je m'explique: libéralisme et capitalisme se superposent comme refus des entraves au commerce; c'est à dire ; refus des frontières. A force de confondre libéralisme et capitalisme, tout le monde a trouvé naturel que Reagan et Thatcher aient globalisé l'économie en abattant les frontières et en dérégulant la finance et le commerce.
Pour moi, il est évident qu'il s'agissait de démultiplier les inégalités à l'intérieur des nations mais aussi dans le monde par la constitution de "riches" démesurément plus "riches" qu'auparavant. Ceci dissimulé au nom de pays émergeants. Il s'agissait du fonctionnement ordinaire du, capitalisme qui ne demande à personne le droit de prendre des décisions (à savoir mettre les peuples occidentaux à la poubelle. Ce qui engendre bilan climatique catastrophique, bulles financières, crise, chômage de masse, explosion de l'assistanat, endettement des Etats etc. Un libéralisme favorisant le commerce doit, lui, rester à base nationale, régulé par le peuple concerné. Le capitalisme, lui, détruit et démocratie e
Donc, oui ! Le libéralisme est compatible avec les peuples, les nations qui décident avec qui coopérer, échanger, sans subir de pressions financières...pas le capitalisme qui, lui, n'est que la guerre sous une forme économique et financière qui voit tel droit imposé ici, annulé là contre la volonté ou l'intérêt des concernés.
Quand les peuples ont leur Etat; ils peuvent ne pas se faire imposer ce qui les aliène .on peut, alors parler de coopération conforme à l'idée des penseurs libéraux qui comptaient sur l'économie comme alternative à la guerre. Qu'ils aient eu raison ou tort; ils se démarquent du capitalisme qui conçoit l'économie comme accomplissement de la guerre.. Ce que je viens de dire doit servir à comprendre comment le "progrès"engendre l'inverse de ce qui a légitimé le succès de la pensée libérale (démocratie, droits individuels, sécurité etc.
Les libéraux pensaient les conditions du plus grand bonheur possible. Le capitalisme est l'ordre mondial au service d'une minorité.C'est un état maximal de guerre qui épargne les plus riches (pourtant aliénés aussi
Je remarque que l'on n'utilise plus guère le terme "capitaliste", (ça fait bof communiste !)
et je n'ai jamais vu le terme "libéraliste" !
...par contre, le peuple a droit au suffixe "iste" !
...et si on les mettait à égalité sur la ligne de départ ?
Effectivement, les peuples crient qu'ils ne veulent pas crever, disparaître, être remplacés ! ,
On appelle cela: " conservatisme national"
Tiens ! comme c'est étrange ...après "populisme", voilà un autre terme péjoratif: "conservatisme " !!!!!
Allons-y franchement: disons :"populisme nationaliste, conservateur réactionnaire !"
du rétrogradisme, en somme !!!!!
Forcément ! plus personne ne doute du fait que: "c'était mieux avant" !