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Une nouvelle étude évaluée par des pairs intitulée : "Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe" a démontré que l'utilisation de masques faciaux, même répandue, n'était pas corrélée à de meilleurs résultats pendant l'épidémie de COVID, sur la base des données de 35 pays européens avec des populations de plus d'un million de personnes chacune, englobant un total de 602 millions de personnes.

L'étude a noté que la proportion moyenne d'utilisation de masques au cours de la période étudiée (d'octobre 2020 à mars 2021) était de 60,9 % ± 19,9 %.

Les gouvernements et les organismes consultatifs ont recommandé et souvent imposé le port de masques faciaux dans les espaces publics et dans de nombreux domaines, des mandats ou des recommandations restent en place, malgré le fait, note l'étude, que les essais contrôlés randomisés avant et pendant l'épidémie n'ont pas réussi à montrent un bénéfice au port de tels masques vis-à-vis de la transmission du COVID.

« La corrélation positive entre l'utilisation du masque et les cas n'était pas statistiquement significative », a également révélé l'étude, « alors que la corrélation entre l'utilisation du masque et les décès était positive et significative (rho = 0,351, p = 0,039). » C'est-à-dire qu'une plus grande utilisation du masque est corrélée à un taux de mortalité plus élevé.

L'étude a utilisé une variété de méthodes statistiques pour étudier la corrélation, mais « aucun de ces tests n'a fourni de corrélations négatives entre l'utilisation du masque et les cas/décès... Étonnamment, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque la conformité du masque a été tracée par rapport à la morbidité (cas/million) ou mortalité (décès/million) dans chaque pays. »

L'étude a également noté que le public avait peut-être eu l'impression que les masques pouvaient être utiles en raison du fait que les mandats étaient généralement mis en œuvre après le passage du premier pic de cas de COVID. Cependant, il est devenu évident que les masques n'étaient en fait pas utiles plus tard cette même année, lorsque l'utilisation généralisée des masques ne semble pas avoir atténué la gravité de la vague COVID de l'hiver 2020.

« De plus », conclut l'étude, « la corrélation positive modérée entre l'utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l'utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences nocives involontaires ».