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Israël : infos Société

Une route bâtie sur la réalité

Shimon Peres: "Ahmadinejad prend le monde entier pour un idiot" Romandie.com
2 commentaires
Un article avec un gros partie pris, s´il essaye de dénoncer une certaine incapacité de Livni à ne pouvoir controler la situation, d´une part il ne précise pas de quelle facon la situation aurait pu être controler s´il y en avait une, d´autre part il ne critique pas la direction du Likoud quand il glisse un Benyamin Netanyahou.

Élu de justesse en 1996 par un électorat traumatisé par les attentats islamistes, le champion de « la paix dans la sécurité » mène d’emblée une politique intransigeante et arrogante. Il fait ouvrir en septembre 1996 le « tunnel » de la vieille ville de Jérusalem et déclenche ainsi les affrontements les plus violents depuis la première Intifada (83 morts) ; poursuit la colonisation, notamment à Jérusalem (avec, à partir de février 1997, l’annonce de la construction de la colonie de Har Homa, sur la colline d’Abou Ghneim) ; encourage les implantations sauvages ; ordonne l’assassinat d’un responsable du Hamas en Jordanie – dont l’échec l’obligera à libérer Cheikh Ahmed Yassine, autorisé à regagner Gaza.
à suivre...
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 28 Septembre 2008 à 10:12
S’il signe, le 15 janvier 1997, un accord sur le retrait israélien des quatre cinquièmes d’Hébron, il refuse obstinément, des mois durant, le nouveau redéploiement de 13,1 % supplémentaires de Cisjordanie qu’exigent les États-Unis. Il ne cèdera qu’à l’issue du sommet convoqué par le président William Clinton à Wye River, le 23 octobre 1998. Mais il ne tiendra pas plus cette promesse que les précédentes : deux mois plus tard, le parlement vote son auto-dissolution – sur sa proposition. Car Nétanyahou n’a plus d’autre choix. Sa droite rejette le « compromis » arraché par l’administration américaine. Il est compromis dans divers scandales, qui avaient entraîné la démission du ministre de la justice, mais aussi celles des « centristes » Dan Meridor et David Levy. C’est donc un Premier ministre isolé qui affronte, le 17 mai 1999, le suffrage universel. Et pour cause : son sabotage systématique des accords d’Oslo a débouché non seulement sur une tension de plus en plus vive avec les Palestiniens, mais aussi sur un coup d’arrêt à la normalisation en cours avec les voisins arabes d’Israël. Du même coup, l’économie, qui avait connu un boom sans précédent dans les cinq premières années de la décennie, avec une croissance moyenne de 6 %, a vu cette dernière fléchir (2 % en 1998) et le chômage s’accroître (8 % de la population active la même année)… Promettant, au contraire, la paix à l’extérieur et à l’intérieur, le général Ehoud Barak, inflige sans mal à son rival une défaite cuisante.
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 28 Septembre 2008 à 10:13
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 10 minutes