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L'évangélisation et l'islamisation sont des plaies...à guérir....toute forme de pensée totalitaire n'est qu'au service d'un désir de suprématie et ce désir de suprématie n'est que le reflet d'un grande méconnaissance de soi, de son anxiété dans la recherche de sens.
Ainsi plutôt que chercher du sens , il est plus facile de se remplir des coffres d'argent : ça occupe en attendant la mort....C'est cette religion qui est la plus néfaste ! On oublie souvent que c'est elle qui manipulent les "religieux" de tout acabit...
Ainsi, mieux vaut s'en tenir aux faits...et constater l'ampleur des dégats ou des réussites...Pour recadrer les choses concernant Israël, voici un renseignement qui, à mon sens devraient être diffusé le plus possible :
http://fr.danielpipes.org/5004/en-nombre-de-morts-le-conflit-israelo-arabe-noccupe-que-le
11 millions de Musulmans ont été victimes de mort violente depuis 1948, dont 35.000, ou 0,3%, sont morts dans le cadre des 60 ans de lutte contre Israël, soit une victime musulmane sur 315. Ceci alors que plus de 90% de ces 11 millions de victimes ont été tuées par d'autres Musulmans.
http://fr.danielpipes.org/5004/en-nombre-de-morts-le-conflit-israelo-arabe-noccupe-que-le
J’ai lu ce que vous avez écrit toi, et Hélène à mon sujet en mon absence . Mais qu’importe ce que vous pensez de ma personne , de ma croyance , ce qui compte pour moi , c’est que j’ai ma conscience tranquille , et ce que D.ieu pense de moi. Car c’est à Lui que je dois plaire et obéir.
Volà ce que tu dis :
J'ai trouvée quelque chose , ou tout devient clair pour moi ! France a très bien fait son "travail" . Un travail perfide !!!!
Et au premier vu pas très méchant ( elle ! ) , mais a regarder plus prés on voit bien le but .
Un extrait qui j'ai trouvée , a lire en entier chez les évangélistes :
Source :
www.michelledastier.org/index.php/Articles-d-arthur-katz ( Envoyé par Sonia)
Je dois te dire gentiment que tu ne sais pas de quoi tu parles . De un, je ne suis pas « évangéliste « ( prédicateur laïc itinérant de l’évangile ) comme le site www. michelledastier.org ….que tu as proposé de lire . Je ne connais pas cette dame évangéliste, et je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’elle proclame. C’est avec raison que j’ai déjà écrit ce qu’Hilda a justement évoqué :
« J'encourage chaque personne croyante à ne jamais cesser de lire les Textes afin de ne jamais s'éloigner de la source ». Envoyé par Hilda à Sylviane - le Vendredi 10 Avril 2009 à 10:26 . J’ ajoute à cela , afin de ne pas tomber non
Les bâtiments n’intéressent pas le Seigneur, pas plus que les systèmes, les religions, les organisations, les programmes, les dogmes : ce n'est pas cela que Dieu désire. Ce sont des leurres religieux. Lorsque je lis la Bible, je n'ai jamais lu que D.ieu dit qu'il faut se convertir à telle ou à telle religion, mais bien qu'il faille un cœur nouveau un esprit nouveau, il faut cette circoncision du cœur dont parle le prophète Ezéchiel ( la bible. D.ieu regarde au cœur
de l'homme, il ne regarde pas l’apparence souvent trompeuse de l’homme. Lui seul peut juger, car il sait de quoi l'homme est fait. Qui es- tu, toi qui juge ? Est-ce que France a dit du mal de toi Sonia , Sylviane, …? de ta croyance ou pas ?
Les tueurs ne parlent pas...
http://www.liberation.fr/tribune/010195754-j-accuse-raymond-barre-d-etre-un-antisemite
J'accuse Raymond Barre d'être un antisémite
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LANZMANN Claude Par Claude Lanzmann historien et cinéaste, directeur des Temps modernes.
Premier ministre, M. Raymond Barre était tout en rondeurs : on pouvait aisément le regarder comme le paradigme du Français innocent, il en avait les airs, les allures, l'onction, le patelin, le débonnaire, il exsudait le bon droit, la légitimité, la satisfaction et la sûreté de soi. Même si, aujourd'hui, Raymond Barre a gagné en minceur, sa francité n'en a souffert nulle atteinte, on serait presque tenté d'ajouter «hélas». Ce qui fait problème, s'agissant de lui, c'est la confluence des deux prédicats : «Français» et «innocent». M. Barre en effet récidive : interrogé sur France Culture, le 1er mars, dans une émission intitulée le Rendez-vous des politiques, l'ex- «meilleur économiste de France» tombe carrément le masque, remplace ses rondeurs anciennes par la hargne têtue, laisse libre carrière à une vindicte qui lui fait réitérer, le jabot gonflé des satisfecit qu'il s'octroie, les proférations sinistres d'il y a vingt-sept ans.
La différence, c'est qu'en 1980, quand, après l'attentat de la synagogue de la rue Copernic, Raymond Barre déplorait la mort de «Français innocents», il le faisait «innocemment» si l'on peut dire, parlant selon sa pente naturelle, ne comprenant rien au scandale et à la condamnation unanimes qu'allaient susciter ses propos. Aujourd'hui, il sait, il ne peut pas ne pas savoir, il n'a pas un mot de regret et, voulant mettre les points sur les i, il s'enferre d'une façon aussi révoltante que comique. Que les terroristes massacrent des juifs à l'intérieur d'une synagogue n'a, pour M. Barre, rien de contraire à l'ordre du monde et au train des choses. Ce qu'il reproche aux auteurs de l'attentat, c'est de ne pas avoir assez «ciblé» l'assassinat, c'est la bavure qui a transformé l'explosion en «attentat aveugle» puisque trois «Français innocents»,«pas du tout liés à cette affaire» (sic) y ont laissé leur vie. «Ce qui était la caractéristique de ceux qui faisaient l'attentat, c'était de châtier des juifs coupables» (sic), poursuit-il. Coupables de quoi ? Nul ne le sait, M. Barre ne le dit pas, mais on infère aisément : ontologiquement coupables. Tuer, comme ce fut le cas, mon amie l'Israélienne Aliza Shagrir, qui passait, elle aussi par hasard, rue Copernic, tuer des femmes juives, des enfants juifs, des vieillards juifs, comme cela arrive ailleurs dans les cafétérias et les autobus, ce n'est pas une action aveugle, mais ciblée et méditée au contraire, puisque, coupables, les juifs attirent un juste châtiment.
Ayant dit, l'ex-Premier enfile les perles dans un très cohérent délire. Après avoir longuement exonéré Maurice Papon de toute faute (la déportation des Juifs n'était pas pour lui «d'un intérêt national majeur» ; son problème, c'était de «faire fonctionner la France»), il reprend à son compte, en la portant à son acmé, l'antienne de la collaboration : Pétain et de Gaulle étaient l'avers et le revers de la médaille France, tous deux concouraient, chacun à sa façon, à maintenir la Nation en ordre de marche. La Nation, c'est-à-dire les «grands commis» à la Papon et la sacro-sainte administration. Une extraordinaire division du travail et un génie certain de la communication font, selon Barre, que de Gaulle, dès la Libération, maintient en place et en France les fonctionnaires de Vichy pas trop compromis, tandis qu'il expédie au contraire en Allemagne, pour administrer les vaincus, «ceux qui s'étaient trop manifestés dans les voies de la collaboration» (sic). On n'avait encore jamais entendu cela, le général Pierre Koenig, vainqueur de Bir-Hakeim et premier gouverneur militaire français en Allemagne occupée, doit frémir dans son sépulcre...
Après Papon, l'ex-Premier ministre exonère Bruno Gollnisch, son ancien collègue d'université et son conseiller municipal quand il était maire de Lyon, bien connu comme négateur obstiné et pinailleur de la Shoah : «Moi, je suis quelqu'un qui considère que les gens peuvent avoir leur opinion, c'est leur opinion», (sic). Raymond Barre, on le voit, est large d'esprit. A la fin des fins, conclusion de tout, il nous livre à deux reprises la clé universelle des attaques portées contre lui et des maux du monde : «le lobby juif» ! Le lobby juif est un fait de nature : de même que le soleil se lève et que l'eau bout à 100 °C, il y a un lobby juif, et c'est lui le responsable. «Je vous ai parlé très franchement, dit-il à Raphaël Enthoven, le présentateur de l'émission. Que vous me fassiez passer pour un antisémite, pour quelqu'un qui ne reconnaît pas la Shoah, j'ai entendu cela cent fois et cela m'est totalement égal.» Diantre ! Entre le «lobby juif», la «conspiration des sages de Sion», la «juiverie internationale», il faut un trébuchet ultrasensible pour déceler une différence de nature.
Même si cela lui est «totalement égal», j'accuse M. Raymond Barre d'être un antisémite. Plus encore : je l'accuse de se faire le héraut de cette passion immonde, de la propager, de s'en glorifier, délit qui tombe sous le coup de la loi.
Pour Taguieff, et c’est là l’originalité première de son livre, l’antisémitisme, tel qu’il fut mythologisé dans l’histoire officielle, est périmé, sinon complètement marginalisé : « Si l’antisémitisme, au sens strict du terme, constitue la forme prise par la judéophobie au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, élaborée dans le cadre des doctrines racistes fondées sur l’opposition ‘Aryens/Sémites’, puis largement diffusée à la faveur des mobilisations nationalistes ‘fin de siècle’, l’antisémitisme est un régime de judéophobie appartenant désormais au passé. Il s’est progressivement effacé dans la période d’après-guerre. [1] » Le Juif, désormais désémitisé, appartiendrait en effet, sous l’influence d’une propagande antisioniste tout particulièrement virulente, d’abord et avant tout à l’Occident, et pas n’importe lequel : « raciste », « impérialiste » et « colonialiste ». Profitant d’un consensus antiraciste international, où domine une idéologie « anti-raciste » hostile par principe à la nation, les « nouveaux judéophobes » auraient cristallisé l’amalgame entre le « sionisme » et l’Occident chrétien, incarné par les États-Unis. Les militants de l’islamisme radical – ennemis déclarés d’Israël – seraient, selon Taguieff, les nouveaux relais de la judéophobie. Cette passion serait doublement entretenue : par une interprétation fondamentaliste du Coran, d’une part, ainsi que par la complicité rhétorique avec le discours « progressiste » de l’intelligentsia de gauche, sensible à l’argumentaire « anti-raciste » et « anti-impérialiste » de la cause palestinienne.
Bonne lecture !