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Israël : infos SociétéRéflexions sur l'initiative arabe pour la paixIl existe dans l'initiative arabe pour la paix des développements significatifs et positifs sur la position arabe et l'avenir d'Israël au Proche-Orient. D'abord et avant tout, c'est une offre qui mettra fin au conflit. Lorsqu'on compare cette initiative aux célèbres « trois non » prononcés par la Ligue arabe à Khartoum, en juillet 1967, un mois après la fin de la guerre des Six Jours, un progrès substantiel a été sans doute commis. Articles connexes
8 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 52 minutes
Pour moi la Paix dépends des arabes , tiens donc ...qui nous lance des roquette depuis des mois , qui terrorise
les juifs avec un tractopelle ? qui se fait exploser devant les cheik point , et les autobus , dans les café etc...
QUI AIMERAIT AVOIR ENFIN UNE PAIX REOYALE ??? SINON LES ISRAELIENS ....
Et bonne fête pour les 61 ans de l'indépendance d'Israël.
"Jour du souvenir, tous les jours"
La cérémonie officielle du souvenir des 22.570 soldats israéliens tombés au front et victimes du terrorisme, s'est déroulée mardi au Mont Hertzel à Jérusalem, en présence du président de l'Etat, Shimon Peres, du Premier ministre, Benjamin Nethanyahou, du président de la Knesset, Reouven Rivlin, de la présidente de la Cour suprême, Dorit Beinish, du chef-d'Etat Major des armées, Gaby Ashkenazy, du commandant général de la police, Doudi Cohen, de nombreuses autres personnalités et de milliers de familles endeuillées.
"En ce jour je m'adresse à vous, mes frères et mes sœurs, membres des familles endeuillées" a déclaré Benjamin Netanyahou, "en tant que Premier ministre d'Israël, mais également comme étant moi-même membre d'une telle famille. Je sais que pour les parents il ne peut y avoir ni consolation ni oubli, et que chaque jour est un jour du souvenir. Chaque matin nous nous réveillons avec ce manque que rien n'est capable de remplir".
Selon le chef du gouvernement : "ce qui a changé dans l'histoire juive, n'est pas la haine des juifs, mais notre capacité à nous défendre contre celle-ci (…) Aujourd'hui, ici à Jérusalem, je vous l'affirme ainsi qu'à tous les citoyens du pays : Plus jamais nous n'abandonnerons notre destin. Jamais nous ne perdrons plus nos forces de défense. Notre main est tendue à tous nos voisins pour la paix, mais que nos ennemis ne s'y trompent pas : Nous ne transigerons jamais sur la sécurité de l'Etat d'Israël".
"La paix contre la paix, cela n'existe pas"
C'est ce qu'a déclaré le président syrien dans un entretien accordé au quotidien Asharq Alawsat, rejetant ainsi les récentes affirmations d'Avigdor Lieberman qui repoussaient le principe de restitution de territoires en échange d'un accord de paix, tout en indiquant que la Syrie ne pouvait constituer un partenaire de négociations, puisque soutenant des organisations terroristes ayant pignon sur rue à Damas.
Bachar el-Assad a par contre assuré à ce sujet que "jamais, et à aucune condition, le Hezbollah et le Hamas n'attaqueront Israël par l'intermédiaire de la Syrie".
Défendant d'autre part l'organisation terroriste chiite de Nasrallah, dont une cinquantaine de membres ont été arrêtés en Egypte (qui avait alors accusé Damas de faire partie de "l'axe du mal") Assad a déclaré que les hommes du Hezbollah n'avaient aucunement l'intention de commettre des attentats sur le sol égyptien.
Le président syrien a ensuite réaffirmé, que les négociations avec Israël, conduites par Ehud Olmert sous médiation turque, avaient été sur le point ultime d'aboutir à un accord, et même plus proches de la finalisation que lorsque son père, Hafez el-Assad, avait négocié en 2000 le retrait du Golan avec le gouvernement israélien, dirigé à l'époque par Ehud Barak.