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Prenez les écrivains. Il est de plus en plus fréquent qu’ils entrent en matière, en prenant le lecteur à témoin, pour se moquer gentiment des récidivistes sans talent qui s’adonnent à l’écriture avec obstination. Complice, le premier message : "ce n’est pas en coupant les oreilles d’un âne qu’on en fait un cheval !"

Pourtant, comme il était ridicule, cet essayiste de la réalité du déclin américain, que monsieur Charasse a rudement admonesté, l’autre soir, à la télé. "Comment osez-vous écrire autant d’insanités sur un pays que vos pieds n’ont jamais foulé !"

Il y a eu aussi le très sérieux Ché, le gueux qui va ras le tapis depuis sa géniale dissertation sur l’imposture du 11 septembre. Infatigable, il se prosterne encore et encore, n'osant plus interrompre sa tournée des 'co-dictateurs' d’Orient, dignes lieutenants de Ben Laden, contraints de poser pour la photo, avec interdiction de ricaner !

Combien de fois ai-je communié avec des auteurs qui n’avaient d’admirable que la couleur du nègre qui écrivait dans l’ombre ? Éteignez, s’il vous plaît, à cette allure, il y aura bientôt plus d’intellectuels que de gens intelligents.

Prenez les journalistes français. Depuis la première Intifada, ils ne font qu’appliquer la 'newsletter' du Quai d’Orsay. Le «la» ayant été donné, ils hurlent avec les loups sans discontinuer. Il est vrai qu’il leur est plus facile de jeter l’anathème sur Sharon, Israël et son peuple, plutôt que de plancher sur la saga israélo-palestinienne ? Gageons qu’à force de dire des âneries, ils finiront bien par susciter des vocations parmi les bipèdes les plus hésitants. Suivez mon regard !

La profession s’est tellement dévergondée que, de nos jours, on peut voir fleurir toutes sortes de bouquets sur la tombe de la vérité. La déontologie n’excite personne, l’islamisme l’a remplacée. Convertis au 'journalistiquement abject', les nouveaux prophètes de l’information se sont faits les champions du manichéisme le plus sombre. L’empathie envers le 'faible' l’emporterait-elle donc sur toutes les considérations historiques, politiques, intellectuelles et professionnelles ? Est-ce la leçon à retenir du concert journalistique qui nous assourdit depuis deux ans ? Dans quelles écoles forme-t-on ces techniciens de la désinformation ? Si le 'faible' combat la démocratie, faut-il le rejoindre dans le camp du totalitarisme ? Si les Israéliens étaient chrétiens, auraient-ils été abandonnés par la France, avec la bénédiction des Français ?

Prenez les gouvernements français. Depuis l’embargo du général de Gaulle, Le juif «dominateur et sûr de lui» est témoin d’une incessante cabale anti-israélienne. Le poids électoral des mouvances anti-juives a enfin provoqué la véritable cassure. En France, le juif est aujourd’hui le seul citoyen sinistré. Il sait qu’un jour, le choix entre la valise et le cercueil se fera pressant. Liberté, égalité et fraternité ne sont plus que des slogans désuets. La république perd du terrain, la France ne s’appartient plus, elle a changé de propriétaire, le temps de se purger de sa plus encombrante communauté. Les donneurs de leçons se sont succédés à la tête du pays, au rythme des scandales qui les éclaboussaient. Dénoncer les ennemis du monde arabe tout en louchant sur leur pétrole, à la manière de l’oncle Sam, le faire en se réclamant de la morale, c’est mettre en évidence la vulnérabilité des démocraties mercantiles.

Elle est longue la liste des donneurs de leçons qui feraient bien de balayer devant leurs portes. Faut-il être si malin pour comprendre le monde d’aujourd’hui ? Descendez de vos nuages, messieurs qu’on nomme grands, et observez les 'neuneus', écoutez-les, faites-vous humbles, et vous comprendrez que l’intelligence humaine est une mine dont ils sont le véritable filon. Votre vaste culture vous éloigne de la réalité. Dans les miroirs de votre splendeur, le commun des mortels ne participe plus de la vision que vous avez de vous-mêmes. Si les hasards de la naissance et de la vie ont joué en votre faveur, n'osez jamais l'oublier lorsque vous jaugez autrui. Les 'neuneus' vous observent.

Tous...
Je suis très confus quand on me prête un rôle que je n'ai pas. A vous lire, il semble que je sois comme un arbitre entre vos différents propos!! Bien sûr que ça me fait chaud au cœur de voir tout le respect que vous me témoignez (sans doute que je n'écris pas QUE des bêtises... J'en fais aussi! ) mais j'ai écrit à une amie hier que ça me donnait plus envie de pleurer de voir que ce respect n'est pas également réparti entre chacun d'entre nous. Ça ne m'intéresse pas les disputes et je crois que ça n'est pas le but de ce site.
Jean,
C'est sans état d'âme devant Elie que je dis que je vous aime bien et c'est sans état d'âme devant vous que je vous confirme que j'apprécie aussi Elie ou Hilda, Jocelyne, Edmond...
Maintenant, je ne sais pas ce que représentent ces mots dans votre tête car vous les présentez comme non-blessants donc j'imagine que c'est pour vous un langage classique au point que vous l'utiliseriez aussi à l'attention de vos proches que vous aimez ; et comme ils vous connaissent bien, ils savent ce que vous voulez dire et ils le prennent avec le sourire.
Mais pour nous qui vous connaissons peu, pour moi qui étudie Shmirat Halachone du 'Hafets 'Haïm, selon les critères de ce grand Tsadik, il n'est pas convenable de dire à une jeune fille très touchante, même non-méchamment, "qu'elle n'est pas, il s'en faut de beaucoup, un modèle intellectuel".
Je vous sais suffisamment expert dans la langue française et j'avoue de pas comprendre cette assertion?

"pour info sur Arte ce soir une émission sur la guerre des 6 jours ..
Envoyé par Jacqueline_013 le Mercredi 18 Novembre 2009 à 18:25"

Tiens, c'est drôle, j'étais là-bas à l'époque! J’avais 5 ans et demi mais je me rappelle encore des avions (F15 je crois??) qui passaient en rase-motte dans un bouquant infernal au dessus de nos tête, pour aller pilonner l’aéroport juste à côté…
J’étais tout seul au milieu de la rue désertée, en plein centre-ville de Damas car j’étais en admiration devant « ces gros avions » (dont j’aurais pu lire la marque des pneus si les trains d’atterrissage avaient été sortis). Ma mère était paniquée et me criait de me dépêcher de venir dans les Miklatim (sous-sols renforcés en Hébreu = blockhaus). Mais moi, j’étais heureux et je n’avais pas la moindre peur. Les Israeliens, ces Chéris avaient pris possession des radios locales et prévenaient en arabe et en anglais, la population civile qu’elle n’avait rien à craindre car c’était l’aéroport qui était visé. De ce que je me rappelle, les militaires syriens avaient tellement les chocottes qu’ils avaient tous déserté l’aéroport et donc, je crois avoir compris qu’il n’y a pas eu une forte opposition contre les F15. Ça m’a marqué car mon Père était mort de rire et j'avais demandé pourquoi… Par la suite, nous sommes partis vivre 3 semaines à Beyrout, en attendant que ça se calme car si on avait été en Erets, on n'aurait jamais pu revenir à Damas après car les Syriens nous auraient refoulés à la frontière.

Sur le message Envoyé par Jean_010 - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 19:08

Bah certes Jean, mais apprenez que selon la Torah, c'est bel et bien du Lachone Hara'!
Désolé, je n'ai pas besoin de remonter aux sources de tous les posts de ce site pour le savoir et ce n'est pas moi qui le dit! C'est la Torah quand Elle parle de celui qui fait blanchir la face de son prochain... (De même qu'Elle m'autorise aussi à vous faire pareille remontrance en pareil cas ; Quitte à jouer les arbitres, autant que je mérite mon titre).
De plus, Sonia peut avoir l'âge qu'elle veut, dès qu'elle sera passée par le Mikvé, elle sera comme un enfant qui vient de naître selon l'expression même de la Torah ; D'où mon envie de l'appeler "jeune fille".

jean,

Reflechis un instant, s´il faut imperativement remonter tout les posts pour comprendre de quoi il est question exactement, alors pourquoi donner ton point de vue en résumer?

N´est-ce pas, personne ne pourra comprendre pour autant?

Te donner raison c´est comprendre n´es-ce pas?

Si l´un vient apres avoir lu tout les posts te dire que tu es un gros c..., seras-tu d´accord avec lui pour autant?

Jean ,
La seule contrainte est /
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Tu es INCAPABLE de l'appliquer

Commence donc par respecter ce que l'équipe de juif .org demande
C'est un minimum de respect .
Lis et relis jusqu'à ce que tu comprennes et applique ce règlement


Tes insultes :
soit du ma très très chère soit sur le trottoir
Selon que l'on soit OK ou pas

Le plus drôle dans tout ca c'est qu'il suffirait de presque rien pour que tu dises je t'aime ;
un encore oh grand maitre ,, ,,,

Jean:
"Tu ne comprends pas que je n'ai rien à te dire"

Comment tu laisserais passer tout ce que je vais afficher, si je te laisse tranquille, moi le menteur?
Et toi qui disait ne jamais abandonné, toi le sauveur du site?
Toi qui remet en place qui ose t´offusquer?