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VidéoMarine Le Pen interviewé par la TV israelienneMarine Le Pen interviewée par la TV israelienne, prend la defense d'Avidgor Liebermann et rappelle que Jean Marie Le Pen s'est battu pour Israel contre l'Egypte de Nasser...
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Il est important de répondre clairement à cette question.
Ne pas y répondre c'est attendre passivement que d'autres crimes soient commis, comme ceux de Toulouse.
Ou alors il faut partir.
Aujourd'hui en France, comme hier en Algérie les arabes nous mettent devant l'angoissante question: "la valise ou le cercueil"
Elie_043... Il es vrai qu'il y a au FN encore de nombreux antisémites...
Pour preuve le site http://www.marinelepenelysee2012.com/ où plusieurs intervenants du forum sont révoltés de l'annulation du spectacle de ce clown qui se fait passer pour un comique... vomissant sa haine des Juifs avec le fric d'Ahmadinedjad... digne héritier des nazis...
D’où la nécessité de faire le ménage dans ce club encore trop « noire ».
Après la tuerie d'Ozar Hatorah, où trois enfants et un adulte ont été tués par Mohammed Merah le lundi 19 mars, l'établissement de confession juive a reçu différents messages de menaces par mail, fax ou téléphone. L'enquête, prise très au sérieux, a permis rapidement d'identifier deux personnes fragiles psychologiquement et qui depuis des établissements de soins spécialisés de Pau et la région parisienne avaient envoyé des fax antisémites…
Des investigations plus longues, et plus techniques, viennent d'aboutir à la mise en cause d'un Toulonnais âgé de 20 ans. Il a été interpellé sur les bords de la Rade le 21 juin par les enquêteurs de la sûreté départementale de la Haute-Garonne. Et il a rapidement reconnu ses appels téléphoniques où l'antisémitisme s'additionnait à la justification des crimes commis par le tueur au scooter à Montauban et Toulouse. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, la motivation de ce garçon inconnu des services de police résidait dans la volonté de faire rire un groupe qui se retrouve le soir sur internet, via un site intitulé Violvocal. « Ils ne se connaissent pas, se retrouvent via le net à dix, quinze ou vingt et se lancent des défis. Un des participants appelle, les autres écoutent », explique un policier. Et certains appels, découverts lors de l'enquête, laissent les policiers sans voix. « C'est incroyablement violent », confirme un proche du dossier. Et avec des participants très jeunes, souvent mineurs, et qui visiblement ne se rendent pas compte de la gravité de ce qu'eux désignent comme de canulars.
L'école Ozar Hatorah a été prise pour cible en mars mais des gendarmeries, des commissariats de police, des commerçants ou de simples particuliers ont également été l'objet de ces appels de forts mauvais goût. L'homme mis en cause par l'enquête toulousaine a, à lui seul, passé plus de 1 350 appels via le logiciel Skype et des plateformes qui ont rendu son identification difficile. Mis en examen par le juge Guichard, il a été placé sous contrôle judiciaire. Son matériel informatique a été confisqué. Il est passible d'une peine maximum d'un an de prison.
la dépêche .fr
Envoyé par Mosche d Ashkelon - le Jeudi 5 Juillet 2012 à 09:41"
Ce n'est pas de sa faute, mais l'éloquence de Me Wallerand de Saint-Just est très sujette aux aléas climatiques. Elle est, en tout cas, soluble dans la chaleur et la démonstration en a été apportée jeudi: à l'issue de près de deux heures de plaidoirie, aucun des arguments de l'avocat du Front national n'avait semblé frapper les esprits à la 17e chambre correctionnelle de Paris, plongée dans une fournaise estivale. Me de Saint-Just, qui est aussi vice-président du mouvement d'extrême droite, s'est apparemment démené pour démontrer que sa formation, Jean-Marie et Marine Le Pen, Louis Aliot et l'ancien mari de l'actuelle présidente, avaient été diffamés ou injuriés par le livre Marine Le Pen, écrit par Caroline Fourest et Fiammetta Venner, poursuivies avec leur éditeur, Grasset.
Après lui, le procureur, Alexandre Aubert, livre un de ces réquisitoires qui plaisent aux prévenus: le représentant du ministère public demande la relaxe à 99%, le 1% restant ayant pour vocation, il le dit lui-même, de «stimuler le ressort de la défense». Selon le magistrat, la citation directe de Me de Saint-Just est mal ficelée juridiquement - peut-être l'a-t-il rédigée en plein soleil -, et la bonne foi de Mmes Fourest et Venner lui paraît établie. Ne subsiste pour lui qu'une difficulté, un passage selon lequel l'ex-époux de Mme Le Pen aurait, après une fête, tiré au revolver juché sur un toit, sans blesser quiconque. Sur ce point, il ne demande pas la condamnation mais s'en remet à la sagesse du tribunal.
«Celui qu'il faut sanctionner, c'est le DRH du Front national!»
Place à la défense. Me Georges Kiejman, pour commencer, fait le procès de ce petit procès. Regrettant la belle époque où l'on ferraillait pour savoir si Jean-Marie Le Pen pouvait être taxé de racisme ou d'antisémitisme, ou s'il avait pratiqué la torture en Algérie, l'avocat lamine la procédure ourdie, à ses yeux exigeants, par des boutiquiers chicaneurs. L'avocat, dont l'immense classe fait fi de la température ambiante, rappelle malicieusement les condamnations collectionnées par le fondateur du FN pour des motifs graves, passe en revue les «brimborions» poursuivis par son confrère Saint-Just qu'il étrille de manière cruelle et comique, et met en garde la 17e chambre: le FN cherche à instrumentaliser la justice uniquement pour pouvoir dire qu'il a obtenu un jugement favorable. «Ne leur faites pas plaisir, lance-t-il aux juges. Vous êtes le tribunal du libre débat démocratique.»
Après lui, Me Richard Malka fait le procès des absents: les parties civiles, dont aucune n'a daigné faire le déplacement - «quelle désinvolture!». Au début de l'audience, la présidente Marie Mongin avait fixé les dates de nombreuses autres audiences dans lesquelles le FN est plaignant. «Il s'agit d'une tentative de privatisation de la 17e chambre», gronde Me Malka.
Me Malka plaide vivement, il plante ses banderilles avec un talent digne de celui de son mentor Georges Kiejman. «En 1990, relève-t-il notamment, Gilbert Collard dénonçait le “vocabulaire microbien” de Jean-Marie Le Pen. Et le FN le fait député? Qui se moque du monde? Où est l'instrumentalisation judiciaire? On veut disqualifier Caroline Fourest et Fiammetta Venner; elles ont besoin d'être soutenues, pas condamnées par les tribunaux. Elles devront sortir de cette audience avec les félicitations du jury.»
Me Malka s'en donne à cœur joie pour brosser un portrait inquiétant de Marine Le Pen, «invitée à un bal, à Vienne, par des ligues interdites aux femmes et aux Juifs». D'une ironie mordante, il retourne l'argument de la partie civile selon laquelle une poignée de déçus du lepénisme - MM. Martinez, Lang, de Saint-Affrique - ont fourni aux auteurs du livre des ragots diffamatoires ou sont venus témoigner en leur faveur: «Celui qu'il faut sanctionner, c'est le DRH du Front national, tous ceux qui ont témoigné étaient des dirigeants du parti!» «L'essentiel pour nous est de demander une relaxe totale», conclut-il.
Le jugement a été mis en délibéré.
Stéphane Durand-Souffland