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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlAnne Sinclair accuse le film de Ferrara d'antisémitismeOutre DSK, appellé Devereaux, et joué par Gérard Depardieu, il y a dans Welcome to New York d'Abel Ferrara le personnage d'Anne Sinclair, appelé Simone et joué par Jacqueline Bisset. Plusieurs fois, ce personnage parle d'argent, ses liens avec Israël sont très vite évoqués. Mais surtout dans un dialogue entre les deux personnages du couple, Devereaux évoque les parents de Simone, leur argent, la façon dont ils ont fait fortune, et leur rôle prétendument louche pendant la guerre. Ce sont, selon Anne Sinclair, qui l'écrit dans un court billet publié sur son site, le Huffington Post, «des attaques (...) clairement antisémites, motivées chez le réalisateur sans doute par ses propres problèmes, et chez le producteur par son goût du profit». Elle précise: «Les allusions à ma famille pendant la guerre sont proprement dégradantes et diffamatoires. Elles disent le contraire de ce qui fut. Mon grand-père a dû fuir les nazis, et a été déchu de sa nationalité française par le gouvernement de Vichy. Mon père a rejoint la France Libre et a combattu jusqu'à la Libération. Dire autre chose relève de la calomnie.»
Anne Sinclair n'est pas la seule à s'être indignée de ces répliques du film. La critique du Monde notait l'antisémitisme de ces propos avant l'ex épouse de DSK: «Tout irait bien si le premier trait qui la caractérise n'était la double allusion à sa fortune et à l'usage qu'elle en fait comme grande donatrice à ... Lire la suite Articles connexes
92 commentaires
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Comme je le dis souvent la France "s'orientalise" avec entrain, je passe mes journées en banlieue actuellement, je suis toujours estomaqué de voir à quel point des communes entières sont vampirisés par les commerces hallal, point-phone ou bar-tabac-pmu mal famés...entourés des mêmes barres d'immeubles horribles, sales et bardés d' antennes bien visibles...bref, des communautés impénétrables, avec leurs dialectes, leurs boutiques, leurs habitants, leurs codes vestimentaires...les quelques blancs restant finissent par déguerpir ou se convertir, mais c'était la volonté des municipalités de gauche que d'accepter ces populations, comme dirait mon père, ils les ont voulu qu'ils se les gardent maintenant...
Sur un autre sujet, la soeur du tueur de toulouse, est en fuite en syrie, dire que les impôts que nous payons ont pu financer ces allocations familiales et indirectement aidés à son départ, c'est révoltant...
Ton post est correct et dit malheureusement la vérité
J'ai 73 ans, je pense que le bon temps reviendra comme nous l'avons connus, 1060/61/62 j'étais dans l'armée.
Merci pour tes posts qui retrace la réalité que très peu on connu.
Honte aux gaullistes, relisez les mémoires de Vincent Auriol !
Allez, shabbat shalom !
Shabbat sholom à toi
Cher Edmond, qu'en est-il de la position de De-Gaulle concernant les Juifs? N'a-t-il pas dit que les Juifs se prenaient pour l'élite ou quelque chose comme ça (désolé, j'ai oublié les termes exacts mais c'était limite antisémite)?
Les souvenirs que j'en garde me viennent surtout de mon père qui ne l'aimait pas du tout et qui disait qu'il était un arriviste et un lâche qui dirigeait tout depuis l'Angleterre mais qui n'avait pris aucun risque et qui s'est fait passer ensuite pour le sauveur de la France alors que Roger Wybot (chef de la DST) lui avait pourtant expliqué que la France se foutait globalement de lui. De Gaulle s'était autoproclamé chef de la résistance (quelques milliers de personnes qui étaient surtout des militaires démobilisés sous Pétain) alors que la plupart des résistants connaissait à peine de De-Gaulle. On n'a jamais trop su expliquer non plus comment les différents chefs des réseaux résistants avaient été "écartés" comme par enchantement au profit de De-Gaulle, tandis que même les alliés se foutaient royalement et ouvertement de D-G.
Mon père disait que D-G avait un égo énorme et qu'il se prenait un peu pour le nombril de la France sans avoir réellement fait de choses concrètes pour celle-ci.
Mais bon, je n'irais pas jusqu'à dire qu'il fricotait avec les petites filles (quelle horreur!). C'est juste que le portrait que j'ai de lui par mon père (qui était plutôt connaisseur du sujet) suivrait plutôt l'opinion de Moshé et non de Michel.