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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

Indignation après les déclarations d'un évêque intégriste niant l'existence des chambres à gaz

CITE DU VATICAN - Les relations entre le Vatican et la communauté juive risquent de connaître de nouvelles tensions à la suite des déclarations sur l'Holocauste d'un évêque intégriste de nationalité britannique, dont l'excommunication pourrait être levée par le pape. Mgr Richard Williamson a nié l'existence des chambres à gaz dans un entretien diffusé mercredi soir par la télévision suédoise.
76 commentaires
la chrétienté ne peut donc t elle plus survivre autrement que sur le dos des Juifs? Moi j pense que la chrétienté est sur le déclin et que le seul moyen de garder la tête hors de l'eau ,c'est de faire de la plus-value sur Israël et les Juifs! shalom bon week ^^
Envoyé par Julien_009 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 15:14
Ce prélat d'origine britannique fait partie des quatre évêques "lefevristes" excommuniés en 1988 pour avoir été consacrés sans l'accord du Saint-Siège. Il a nié à plusieurs reprises l'estimation, généralement admise par les historiens, de six millions de juifs exterminés durant la Seconde Guerre mondiale ainsi que l'existence de chambres à gaz dans les camps de concentration nazis.

"Nous croyons que la question d'excommunier ou de ne pas excommunier un fidèle de l'Eglise catholique romaine est un problème interne à cette église", a commenté Robert Rozet, du mémorial de Yad Vashem construit à Jérusalem en hommage aux victimes de la Shoah.

"Néanmoins, nous trouvons scandaleux qu'un membre aussi éminent de cette église puisse nier la Shoah".

Prié de dire si la décision du pape aurait une conséquence sur sa visite en Israël, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Yigal Palmor, a répondu: "Non. Cela n'a rien à voir avec les relations entre Etats".

Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 18:10
Le 9 octobre, Benoît XVI s'était déclaré en faveur de la poursuite de ce processus, suscitant de vives réactions de la part des institutions juives sans remettre en cause les relations établies entre le Vatican et Israël.

Pourtant, certains semblent vouloir créer une polémique autour de cette visite. Le père Gumpel, défenseur de Pie XII, a déclaré que Benoît XVI ne pourrait s'y rendre tant que le Musée de l'Histoire de la Shoah de Yad Vashem, à Jérusalem, illustrerait la photo de Pie XII avec une légende qualifiée d'«évidente falsification de l'histoire» par le religieux. Une condition au voyage du pape qui n'est pas partagée par le Saint-Siège.

Ne pas lier la visite du pape à la controverse sur Pie XII

Dans un communiqué, le porte-parole du Vatican a précisé samedi que si «le représentant du Saint-Siège en Israël avait déjà fait état (des) objections» concernant cette légende, ce texte ne pouvait «être considéré comme déterminant dans la décision sur un éventuel voyage du Saint Père en Israël».

De son côté, le musée de Yad Vashem à Jérusalem, a souligné que «l'activité du pape Pie XII durant l'Holocauste est un sujet qui fait l'objet de discussions parmi les historiens dans le monde entier.»

«Yad Vashem a la certitude que l'ouverture des archives du Vatican sur cette période aidera la recherche sur le sujet», conclut le texte.

«Il n'y a pas de message d'hostilité envers l'Eglise (de la part d'Israël). Cette «polémique» montre simplement la grande sensibilité autour de la question de la béatification de Pie XII et la nécessité d'ouvrir les archives» relatives à ce pape, souligne Richard Prasquier, président du Crif.

Une photo de Benoît XVI avec une croix gammée

Il n'empêche. Certains ne peuvent s'empêcher de lier les divergences sur la béatification de Pie XII au voyage de Benoît XVI à Jérusalem.

Un photomontage du pape portant une croix gammée sur la poitrine a ainsi été diffusé sur un site partisan du parti centriste Kadima. Un acte condamné immédiatement par Tzipi Livni, chef du Kadima.

Un des propriétaires du site, Tziki Avissar, a expliqué à la radio publique israélienne que cette photo était un moyen de «s'insurger contre le rôle du Vatican durant le génocide nazi» et il s'est dit «choqué» par le processus de béatification du pape Pie XII.

Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 18:14
Le sulfureux représentant de l’Eglise catholique pendant la 2e Guerre Mondiale...

Alors que Benoît XVI a défendu la mémoire de Pie XII jeudi dans une messe pour le 50e anniversaire de sa mort et souhaité que le processus de béatification se poursuive, le Crif met en garde: «La béatification du pape Pie XII, en dehors d’un consensus d’historiens indépendants, risquerait de porter un coup dur aux relations de confiance qui se sont établies entre l’Eglise catholique et le monde juif», a déclaré Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), joint par téléphone par la rédaction de 20minutes.fr.

«Il est certain que le pape a pu faciliter le sauvetage de certains juifs de Rome, mais la communauté juive dans son ensemble reste marquée par le fait qu’il ne s’est jamais exprimé avec force sur la monstruosité qu’a été l’extermination des juifs, et que même après
la guerre, il n’a pas trouvé les paroles nécessaires pour s’en indigner à la mesure de l’évènement», a ajouté le président, avant de préciser que «l’attitude du Vatican au cours de la Shoah est un sujet qui revient aux historiens, qui n’ont pas pu, jusqu’à maintenant, obtenir un accès à l’ensemble de la documentation nécessaire» sur la position de Pie XII.
Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 18:16
Benoît XVI a-t-il été nazi quand il était adolescent ?

Toute la journée, hier, le père Thomas Frauenlob a dû répondre à cette question. Il est le recteur du séminaire Saint-Michel, à Traunstein, à 200 km à l’est de Munich, où Joseph Ratzinger a été pensionnaire de 1939 à 1943, soit de 12 à 16 ans.

Cette période est la plus trouble du passé de Benoît XVI. Il a notamment fréquenté les Jeunesses hitlériennes pendant quelques années, quelques fois par semaines, pour des exercices militaires et d’endoctrinement nazi.

Puis, il a servi dans l’armée allemande, tout d’abord dans la défense antiaérienne en 1943, pour défendre une usine BMW où travaillaient des travailleurs forcés du camp de Dachau, et au début de 1945 à construire des fossés antitanks en Hongrie et en Autriche, où il a vu des convois juifs passer en direction de camps d’extermination. Il a alors déserté et a été emprisonné quelques mois par l’armée américaine, comme beaucoup d’ex-soldats allemands, avant d’être libéré à l’été 1945. Il est alors retourné terminer son lycée à Traunstein, dans le grand séminaire aux murs teints à la chaux, et aux volets de bois brun rêche, au pied des Alpes bavaroises.

La question irrésolue concerne les Jeunesses hitlériennes : le jeune Ratzinger aurait-il pu y échapper ? Tous les Allemands de son âge devaient-ils s’y inscrire ?

À cause des droits de scolarité

Dans des entrevues récentes, il a affirmé qu’il n’avait pas eu le choix de se joindre aux Jeunesses hitlériennes. Son frère Georg Ratzinger a renchéri, expliquant qu’il s’agissait « de la loi à l’époque ». Benoît XVI a aussi affirmé que son père, gendarme, n’aimait pas les nazis, dont le mouvement est né en Bavière.

Mais des journalistes ont trouvé des Allemands qui avaient aussi été adolescents durant la Deuxième Guerre mondiale, et avaient fréquenté d’autres séminaires en même temps que Joseph Ratzinger. Pourquoi eux ont-ils eu le choix ? Le jeune Ratzinger a-t-il décidé de son plein gré d’assister aux entraînements des Jeunesses hitlériennes ?

« Les séminaristes qui n’ont pas fréquenté les Jeunesses hitlériennes fréquentaient des séminaires plus chers, dont les élèves étaient dispensés de cet entraînement », affirme le père Frauenlob, en entrevue avec plusieurs journalistes dans son bureau méticuleusement rangé. « Le père de Joseph Ratzinger venait de prendre sa retraite. Peut-être ne pouvait-il pas se permettre des droits de scolarité plus élevés. »

Donc, insistent deux journalistes américains, s’il l’avait voulu, Joseph Ratzinger aurait pu éviter les Jeunesses hitlériennes en payant plus cher ? Le recteur Frauenlob s’emporte : « Je n’étais pas là à ce moment, je vous rapporte les informations que j’ai prises ces derniers jours sur la question, notamment auprès de Georg Ratzinger. Je ne ferai pas d’autres commentaires sur ce point. »

Les journalistes américains changent de stratégie : n’est-ce pas insultant pour les Allemands qu’une controverse sur le nazisme vienne entacher les célébrations pour l’élection

d’un pape bavarois ? Le père Frauenlob se calme : « Ce sont des faits du passé, on peut en parler ouvertement. » On a l’impression qu’il récite une leçon de contrition sur les horreurs du nazisme.

Horreur de l’endoctrinement

Dans l’histoire officielle de Benoît XVI, les Jeunesses hitlériennes ont joué un rôle important. Plusieurs biographies rapporte que c’est là qu’il a appris à détester l’endoctrinement.

Or, c’est ce sentiment qui explique sa conversion de « progressiste » à « conservateur », durant les années 60. Quand il a accompagné la délégation allemande au concile Vatican II, au début des années 60, il faisait partie des « Konzilteenagers », un groupe de jeunes théologiens allemands qui voulaient décentraliser l’Église catholique et adapter son magistère au monde moderne. Puis, durant les révoltes étudiantes de 1968 en Allemagne, il a retourné sa veste : le dogmatisme de gauche de plusieurs factions étudiantes lui aurait rappelé l’endoctrinement des Jeunesses hitlériennes, et l’aurait convaincu qu’il fallait désormais travailler à préserver la tradition catholique.

Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 18:24
Nouvelle pétition pour Guilad auprès de la Croix-Rouge
http://www.isranews.com/index.php?option=com_petitions&view=petition&id=124&limitstart=20

Envoyé par Jacqueline_013 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 18:38
Le passé de ce pape actuel est pour le moins pas très "catholique"quand à ces rapports avec les nazis.L'important, aujourd'hui, est de le voire réabilite un évèque niant la schoa donc antisémiste, Dans ce cas, comment accepter de voire venir à Jerusalem, un ennemie des juifs.
Om ne peut pas être ami d'antisémiste et prétendre aimer le peuple juif. Et bien qu'il reste dan sa rome, le peuple juif n'a que faire de gens qui ne l'aime pas. Chalom à tous Gerard.David
Envoyé par Gerard.david - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 20:27
effectivement ce type n'as pas a posé un seul pied sur la terre d'Israel.

non mais ca va pas la tête !

Envoyé par Shmuel_002 - le Dimanche 25 Janvier 2009 à 20:32
Mahomet a réagi avec colère quand les Juifs refusèrent de le reconnaître comme le dernier des prophètes.



Dans notre précédent chapitre, nous avons longuement évoqué l'impact exercé par la judaïsme sur les intellectuels romains antérieurement à l'avènement du christianisme. De même, les Juifs qui vivaient dans la péninsule arabique ont exercé une influence considérable sur leurs voisins arabes.
Lorsque les Juifs se sont révoltés contre l'Empire Romain, certains ont fui dans des régions non soumises à Rome et ont fondé en Arabie beaucoup de villes et de villages. Une ville très célèbre, Yathrib, a presque certainement été fondée par des Juifs. Yathrib est aujourd'hui mieux connue sous le nom de Médine, considérée comme la deuxième ville sainte de l'islam, après La Mecque.
Tout comme à Rome, les Juifs locaux attiraient à leur mode de vie beaucoup de convertis et encore bien plus d'admirateurs.
M. Hirsch Goldberg, dans Jewish Connection (p. 33), résume l'histoire du monde arabe avant le début du septième siècle :
En Arabie, des tribus entières se sont converties au judaïsme, y compris deux sortes de Himyarites (peuple du sud de l'Arabie). Ernest Renan, le critique français de la Bible, remarquait qu'il s'en est fallu de très peu que toute l'Arabie soit devenue juive.
Un de ceux que l'attachement intransigeant des Juifs au monothéisme a le plus impressionné a été un jeune négociant nommé Mohammed ibn Abdallah.


Dans les premières étapes de son réveil spirituel, Mahomet a été grandement impressionné par les Juifs.

Bien que ses voyages l'aient mis au contact du christianisme et qu'il en ait fortement subi l'influence, il lui trouvait des aspects inacceptables. C'est ainsi que la doctrine de la Trinité ne lui semblait pas strictement monothéiste. Voici ce qu'il aurait dit à son sujet :
Les incroyants sont ceux qui disent : " Allah est le Messie, le fils de Marie ! "... Les incroyants sont ceux qui disent : " Allah est un de trois ! " Il n'y a qu'un seul Dieu. S'ils ne renoncent pas à de telles affirmations, ceux d'entre eux qui ne croient pas seront sévèrement punis. (Coran, Sourate 5, 71 à 73)
Il ne fait aucun doute que, dans les premières étapes de son réveil spirituel, Mahomet a été grandement impressionné par les Juifs. Voici ce qu'écrit S. D. Goiten dans Jews and Arabs (p. 58 et 59) :
Les valeurs intrinsèques de la croyance en un Dieu unique, créateur du monde, Dieu de justice et de pitié, devant Lequel chacun, qu'il soit de rang élevé ou modeste, assume une responsabilité personnelle, sont venues à Mahomet ce qu'il n'a jamais cessé de proclamer d'Israël.
Il possédait certainement une certaine connaissance de la Tora, puisqu'il a cité Moïse parfois inexactement il est vrai plus de cent fois dans le Coran, le livre sacré de la religion qu'il a fondée. Des 25 prophètes énumérés dans le Coran, 19 sont de souche juive, et beaucoup de lois rituelles de l'islam, comme la circoncision et l'interdiction de manger du porc, reproduisent celles du judaïsme.
Envoyé par Roland_002 - le Lundi 26 Janvier 2009 à 00:21
Mahomet et les Juifs

Le seul obstacle que Mahomet avait rencontré à Médine comme ailleurs était les Juifs, ceux ci étant peu disposés à accepter sa version arabe du judaïsme. Tout comme ils avaient jadis rejeté le christianisme, de même ont ils repoussé l'islam.
A noter cependant que les Juifs ont eu beaucoup moins de conflits avec l'islam qu'avec le christianisme. L'islam est une religion purement monothéiste, tandis que le christianisme incorpore beaucoup de données issues de la mythologie païenne. L'islam ne prétend pas que Mahomet a été un " dieu " ou un " fils de Dieu ", ou que Dieu est composé de trois parties. L'islam respecte beaucoup de lois et de coutumes d'origine juive, contrairement au christianisme qui a désavoué la loi de la Tora pour la remplacer par la foi en Jésus.


Le point d'accord le plus important a été qu'Abraham était le père tant des Juifs que des Arabes
Envoyé par Roland_002 - le Lundi 26 Janvier 2009 à 00:25
Membre Juif.org





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