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Dernière mise à jour, il y a 25 minutes
bon je crois qu'on dis une société judéo - chretienne.
c a dire je pense basé sur une démocratie.
bon une personne qui soit judéo et chretienne ca existe pas .
aujourd'hui la société comme p.ex la france on devrait dire judéo-islamo -chretienne.
I. − Adjectif
A. − Qui concerne les juifs et les chrétiens; qui appartient aux uns et aux autres. Religion judéo-chrétienne; influence judéo-chrétienne; clivage, ferment judéo-chrétien; (l')Amitié judéo-chrétienne. Le syndicat de la haute banque judéo-chrétienne (Clemenceau, Iniquité, 1899, p. 221). Différend judéo-chrétien sur la personnalité de Jésus (Weill, Judaïsme, 1931, p. 123) :
1. ... le premier moteur immobile est bien loin d'occuper dans le monde d'Aristote la place unique réservée au Dieu de la Bible dans le monde judéo-chrétien.
Gilson, Espr. philos. médiév., 1931, p. 48.
B. − En partic. Qui est commun aux traditions juive et chrétienne. Révélation judéo-chrétienne; doctrine, idée judéo-chrétienne; thème judéo-chrétien; valeurs judéo-chrétiennes. La prohibition judéo-chrétienne de l'idole (Faure, Espr. formes, 1927, p. 131) :
2. ... le Dieu judéo-chrétien n'est pas semblable aux dieux de la mythologie grecque; il n'éprouve ni colères, ni regrets; sa vie intime n'est pas plus troublée par nos offenses que réjouie par nos louanges.
Gilson, Espr. philos. médiév., 1931p. 133.
II. − Subst., HIST. ANC. Chrétien d'origine juive, resté fidèle à la Loi juive. S'il [le christianisme] fût resté (...) tel qu'il était pour les premiers judéo-chrétiens, pour saint Jacques par exemple, il eût conquis l'Orient, et il n'y aurait pas eu d'islam; mais, en revanche, il n'aurait eu aucune influence sur l'Europe (Renan, Avenir sc., 1890, p. 527) :
3. ... la théologie paulinienne situe exactement la faute légale par rapport au péché; la loi n'est pas ce qui définit une existence sans péché, comme les pharisiens et les judéo-chrétiens se l'imaginaient, elle est seulement ce qui fait apparaître le péché...
Philos., Relig., 1957, p. 40-1.
− P. ext. Juif converti. À côté d'eux [les frères Ratisbonne], pour les assister, il y avait tous ces prêtres catholiques, de naissance juive... Tous ces judéo-chrétiens me montraient une grande confiance (Barrès, Pays Lev., t. 1, 1923, p. 28).
REM.
Judaïco-chrétien, -ienne, adj., synon. Ces sectes judaïco-chrétiennes connues sous les noms de Nazaréens, d'Ébionites, de disciples de Cérinthe, etc., dont l'origine remontait (...) à la première phase de Christianisme qui avait suivi la Passion de Jésus (P. Leroux, Humanité, t. 2, 1840, p. 780).
Prononc. et Orth. : [ʒydeokʀetjε̃], fém. [-jεn]. Au plur. des judéo-chrétiens. Étymol. et Hist. 1. 1867 subst. « partisan du judéo-christianisme » (Littré); 1873 adj. « qui a rapport au judéo-christianisme » (Lar. 19e); 2. 1883 « qui appartient à la fois au judaïsme et au christianisme » (I. Loeb, Revue bbg. ds R. des ét. juives t. 6, p. 301 : un ouvrage d'apologétique judéo-chrétienne). Composé de judéo- et de chrétien*. Fréq. abs. littér. : 21.
pas ce que tu recherche je pense
Il ne faut pas confondre Judéo-chrétien avec « Judaïsant » : c'est l'étranger qui imite les Juifs, qui se conforme à leurs croyances et à leurs pratiques. Par extension on appelle Judaïsants ceux qui voulaient imposer aux païens convertis la pratique de la loi Juive. Ils appartenaient sans aucun doute à l'Eglise Judéo-chrétienne ; Mais ils ne se contentaient pas comme les autres Judéo-chrétien de rester fermement attachés à la loi, ils prétendaient l'imposer aux païens convertis. Après le concile de Jérusalem, les Judaïsants qui s'obstinèrent, formèrent un groupe dissident à tendances pharisiennes qui se sépara de la foi orthodoxe. On distingue parfois plusieurs sortes de Judaïsants: seuls les fanatiques obstinés, qui firent de la pratique de la Loi une condition indispensable au salut des païens et furent les ennemis acharnés de St Paul, méritent cette appellation et formèrent dans la suite une secte hérétique.