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a ETUDIER et SURTOUT n'interpretez pas ce texte dans un sens mauvais ! c'est juste un peu de lumiere de nos SAGES ZTSKL.
Vaera: Un silence qui en dit long…
Une grande mitsva: Un silence qui en dit long…
Par Rav Mordéhaï Bendrihem
Toutes les vérités sont bonnes à dire ? Pas forcément… Il existe une mistva de se taire quand on sait qu’on ne sera pas pris en considération. Une histoire ‘hassidique véridique va nous le prouver, avec humour et émotion !
Lorsque D.ieu demanda à Moché rabbénou d’aller voir Pharaon pour obtenir qu’il libère les Bné-Israël, Moché lui dit : « Quand j’ai dit aux Bné-Israël que nous allions sortir d’Égypte, ils ne m’ont pas écouté. Comment Pharaon, le roi d’Égypte, pourrait-il m’entendre ? »
Dans le Talmud (traité Yébamoth, p. 65b), il est rapporté une mitsva étonnante : de la même manière que nous avons le devoir de dire une chose qui va être pris en considération, il est interdit de dire une chose qui ne sera pas entendue.
A ce propos une petite histoire. Le Rav Israël de Vijnitz avait l’habitude de faire quelques pas tous les soirs avec son assistant (gabbaï) pendant une demi-heure. Un soir, leur promenade les mène jusqu’à la maison du directeur de la banque de la ville, qui n’était pas particulièrement proche du Rabbi.
► Mystère, mystère…
Le Rabbi frappe à la porte, un domestique ouvre et le fait entrer dans le vestibule, toujours accompagné de son gabbaï, extrêmement surpris de cette situation, dans la mesure où il ne comprend pas très bien de qu’ils viennent faire dans la maison du banquier.
Ce dernier, qui est un notable, propose un siège au Rabbi sans comprendre non plus quel bon vent l’amène, mais désirant faire honneur à cet invité de marque.
Et là, contre toute attente, le Rabbi, avec un visage sympathique et souriant, n’entame pas la conversation. C’est le silence total. Gênés, le banquier et le Gabbaï se regardent, cherchant à comprendre le motif de la visite du Rabbi. Finalement, le banquier fait quelques allusions pour le découvrir. Le gabbaï, comprenant ces allusions, déclare même :
- Je suis aussi étonné que vous de cette visite, dont je ne connais pas la raison…
Le Rabbi reste quelques minutes assis, silencieux. Puis il se lève et s’apprête à partir. Notre hôte, toujours aussi médusé, l’accompagne quelques pas à l’extérieur de la maison, et lui dit :
- Kevod harav, avec tout le respect que je vous fois, je ne peux pas m’empêcher de vous questionner. Quelle et la raison de votre venue ?
- Je suis venu pur accomplir une mitsva, répondit le Rav.
- Laquelle ?
- Il y a une mitsva qui consiste à dire quelque chose qui sera pris en compte. Et il y a une autre qui nous ordonne de se taire quand on sait qu’on ne sera pas entendu. Aujourd’hui, j’ai quelque chose à te dire, et je sais que ce ne sera pas pris en compte. C’est la raison pour laquelle je suis venu faire cette mitsva de me taire.
- Pourquoi dites-vous cela ? Peut-être vais-je prendre en considération ce que vos voulez me dire !
- Non, je sais bien que vous ne pourrez pas, c’est impossible.
Et plus le Rabbi refusait de parler, plus le banquier insistait. Finalement, le rabbi accepta.
- Il y a une femme qui est veuve, pauvre, très pauvre, et qui doit énormément d’argent à la banque pour le prêt fait sur sa maison, qui contient une clause d’hypothèque. Dans quelques jours seulement, la banque va vendre aux enchères sa maison, et elle va devoir partir de chez elle, pour se retrouver dans la rue. Je voulais vous demander, en tant que directeur de la banque, de renoncer à la dette de cette veuve. Mais je me suis dit que jamais vous en pourrez considérer cette demande. C’est pour cela que je suis venu pour au moins accomplir cette mitsva de me taire…
Peut-être encore plus surpris par la réponse du Rabbi que par son silence, le banquier répondit :
- Cette veuve ne me doit pas de l’argent personnellement. Elle a une dette envers la banque. Comment pourrais-je intervenir ?
- C’est exactement ce que je vous disais, répondit le Rav. Ce que j’avais à vous dire ne peut pas être pris en compte.
Le Rabbi mit fin à la conversation et repartit chez lui.
► Il l’a fait !
Seulement, cette histoire tournait dans la tête de notre banquier, qui ne trouvait plus le sommeil. Finalement, il se dit en lui-même : « Je suis capable d’entendre ce qui m’a été dit. » C’est ainsi qu’il décida de prendre sur lui la dette de la veuve, et de rembourser lui-même la banque. Ainsi, il permettait à cette pauvre de veuve de rester chez elle, lui évitant la mendicité.
De ce récit ‘hassidique véridique, nous apprenons que cette mitsva de se taire est valable dans toute situation où l’on perçoit que l’on ne sera pas entendu. Et quand on ne parle pas, et que notre interlocuteur sent un mystère, cela peut déclencher la volonté, présente en chaque Juif, de mieux faire, de comprendre, d’agir pour le Bien. Le silence est d’or. Ce silence permet de faire entendre certaines vérités. Finalement, l’interlocuteur a envie de savoir, et il est donc plus disposé à entendre.
Le Rabbi, est allé encore plus loin dans ce sens : dans la mesure où il n’y a pas de mitsva de rester chez soi, et de ne rien dire, il a cherché à réellement appliquer le commandement divin en se déplaçant dans un endroit où il savait qu’il ne serait pas entendu, et en se taisant !
De notre côté, nous devons être capable d’une remise en question, comme celle dont fut capable ce banquier hors du commun, et savoir écouter l’autre.
C’est une idée très importante qui permet de ne jamais se scléroser dans ses convictions ou ses certitudes. Et le Juif est suffisamment dynamique pour vouloir toujours entendre ce que l’on ne veut pas lui dire… Profitons-en !
Simon,
« A force de lire tes commentaires et les exemples que tu donne sur ce site, me donne la haine encore plus d'entendre tes bétises à la C.. »
Ca c’est ton problème. Je resterai le temps que je veux ici. Mais tu veux que je te dise quelque chose qui vas te rassurer : je ne compte pas rester ici pour une longue durée. Je ne suis pas juif, je n’ai pas de raison de m’installer ici. Vraiment pas envie d’ailleurs.
Mais les propos de Jocelyne mont choqué, au début je voulais laisser faire, mais j’ai parlé (quelle couillon !), alors maintenant faut aller jusqu’au bout de la conversation avec elle, pas le choix !
Pour le vote Hamas je parlait de la Cisjordanie aps de Djénine en particulier.
« Concernant Djénine il y a eu des morts des deux cotes, que veux tu en conclure? »
Ce que je veux dire c’est que il ya eu des victimes innocente des 2 coté. On ne peut pas dire que tout ceux qui sont mort l’ont mérité ou l’on voulu, non ?
Tu ne ma rien montrer du tout avec tes vidéo. Je connaissais déjà tout cela. Des vidéo et des articles montrant a quel point les palestiniens musulmans sont méchant, y en a presque autant que des vidéo montrant a quel point Israël est méchante. Ca n’avance à rien. Mais rien dans ce que tu mas montrer me prouve que parmi les morts de Djénine ils étaient tous coupable. Parce que al guerre c’est comme ca ya des dommages collatéraux, c’est inévitable.
T’as pas comprit le sens de mes propos : je ne défends pas les terroristes. Mais si ta phrase ma choqué « ils se sont fait exploser tout seul », c’est surtout pour les victimes innocente a Djénine. Regarde cette vidéo :
http://video.google.ca/videosearch?rlz=1C1CHMG_frCA291CA303&sourceid=chrome&q=Dr%20Ezzeldin%20Abou%20al-Aish&um=1&ie=UTF-8&sa=N&hl=fr&tab=wv#
Elle montre la tragédie du Dr Ezzeldin Abou al-Aish, un médecin palestinien, cultivé, travaillant hôpitaux israéliens de Soroka et de Sheba. Quelqu'un de bien sous tout rapport. Au moment même ou il parlait, a la tv israélienne, en directe, il était en train de perde trois filles et une nièce tuées par un obus de char israélien pendant les combats à Gaza. Surement que des terroriste était dans le coin, on ne sait pas. Cest comme ca la guerre, cest cruel.
Mais si tu entends ses cris dans la vidéo, on ne peut douter de sa sincérité et de la douleur qu’il a éprouvé en perdant ses filles. Cette homme, lui, personnellement, méritait ils de perdre ces fille ? Tu me dira : cest al faute du Hamas. Ok. Et alors, ca ne change rien le « a qui la faute ». C’est pas ca le probleme. C’est que lui personnellement, ne méritait pas de perdre ses filles : c’est une victime de la guerre !
A Djénine, cest pareil. C’est un fait établit que Tsahal, pas par méchanceté, mais pour minimiser les pertes de ses soldats, a été obliger de raser 160 habitations. Les combats au corps a corps devenaient de plus en plus violents. Alors pour protéger les siens, ils ont décidé d’utiliser des bulldozers pour abattre les terroristes qui se cachaient dans les maisons. Ce n’est pas une critique, c’est un fait. C’est comme ca la guerre : on tue ou on est tué. Alors c’est pour ca que je ne critique pas la décision. Mais le résultat est que 4000 personnes se sont retrouvées sans abris. On connaît pas les opinions politique de ces 4000 personnes, tout âge et tout sexe confondu, on ne peut pas dire que ces tous des terroristes.
Est-ce que toi, jocelyne dangya, tu connais personnellement ces 4000 personne ?
Est ce que toi, tu connais la vie de ces 4000 personnes ?
Est-ce que toi, tu pourrais dire avec une certitude absolue, que ces 4000 personne voulait tous se retrouvait sans abris ?
Est-ce que toi, tu pourrais dire avec une certitude absolue, que ces 4000 personnes méritaient ce sort ?
Même question pour les victimes civiles (les civils pas les victimes armée).
C’est a ces question que j’aimerai avoir une réponse vois tu.
Je dit pas que ce sont tous des braves types sympathiques. Mais quand même. Met toi à leur place un peu de perdre ta maison de façon inattendue (Je sais c la faute terroriste mais c pas la question du « a qui la faute » qui est important).
C’est pour cela que, je te le répète, et je ne le retire pas, j’ai été révolté (sur le coup en tt cas) par tes propos qui disait qu’ils se sont fait exploser eux même, pacque je trouve que c’est indécent pour les éventuelles victimes innocente de ce conflit, qui n’avait pas choisit ce qui leur arrive. Les terroristes c’est différent ils sont armé ils veulent se battre. Mais pour les autres, les civiles, non.
Pour ce qui est du reste de tes propos (musulman néant chez pas quoi patati, patata, bla bla bla) : comme je te l’ai dis : les concours d’insulte, je trouve ca gamin. Je ne réponds pas à ca c’est du temps perdu!
Envoyé par Javid
À te lire javid faut croire que si, tu as du mal à comprendre:
1)Encore une fois djenine c´est pas comme tu le racontes.
2)puisqu´il y a eu des morts des deux côtés, pourquoi rapporter djenine comme si c´etait un massacre de palestinien
3)une énième fois, as-tu une meilleur solution, car à te lire on croirait qu´israel tue pour le plaisir.
mais tes informations sont erronés dénués de sens
pourquoi tu te vexe quand on te traite de nazi il n'y a que la vérité qui blesse
je t'ai envoyé un mail sur le conflit entre mozabite et une autre ethnie en algerie créer par le gouvernement car
bouteflika veut etre réélu a 73 ans et constate que la population n'est plus dupe
d'ailleurs se qui sème la terreur ne sont pas des musulmans car ils s'adonnent a des pratique homosexuels et pédophiles sur des jeunes qu'ils envoient se faire exploser ils utilisent l' islam pour imposer le pouvoir barbare
ainsi tu comprend que ce sont des antimusulmans
donc ceci constitue une minorité d'extrémistes et non l'ensemble des musulmans
d'ailleurs je sens que de ce coté il y aura un reveil patriotique arabe qui va s'élever contre les dirigeants corrompus j'espère que tu vivra assez longtemps pour le voir.