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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlBenoît XVI dans l'ombre de Jean Paul IILa visite du Pape n'a pas enthousiasmé les foules israéliennes. Georges Bush, le dernier invité officiel, avait drainé à l'aéroport Ben Gourion une foule immense qui avait tenu à saluer en masse, pour la dernière fois, le meilleur ami d'Israël. Peu de citoyens se sont déplacés pour le nouveau pape parce que la froideur de Benoît XVI à leur égard ne les y incitait pas. Le président Shimon Pérès, en service commandé, avait pourtant fait l'effort de prononcer des paroles de bienvenue en latin «Salut au croyant parmi les croyants qui entame aujourd'hui une visite en terre sainte» mais il savait qu'il avait une rude tâche pour dissiper la méfiance accrue des Israéliens vis-à-vis de son invité.
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33 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 51 minutes
il ment!!! plusure fois il est avoue les au contraire!!!
le voici un pape qui ment aussi!!? tres magnifique image de la crètiennete!!!!!
Sur le site du Vatican, trois biographies sont citées. Seul « Le Sel de la Terre » évoque la jeunesse du pape. Dans ce livre paru en 1996, le futur souverain pontife s'était entretenu avec le journaliste allemand Peter Seewald. Peu de temps après l'élection du pape, les médias font état de ce passé. Une dépêche de l'AFP exhume alors cet entretien, dans lequel Benoît XVI évoque son passé au sein de l'organisation nazie :
« Joseph Ratzinger, né en 1927, et son frère Georg, âgé de trois ans de plus, n'étaient d'abord pas allés aux Jeunesses hitlériennes, a-t-il raconté. Lorsqu'elles sont devenues obligatoires en 1941, son frère y a adhéré. Lui était trop jeune. Mais, du séminaire où il était, il a ensuite été inscrit contre son gré.
Dès que j'ai quitté le séminaire, je ne suis plus allé aux Jeunesses hitlériennes', a déclaré Mgr Ratzinger, dans un entretien avec le journaliste Peter Seewald, cité par la Sueddeutsche Zeitung.
Et cela a été difficile car la réduction des frais de scolarité, dont j'avais besoin, était liée à l'attestation de visite des Jeunesses hitlériennes', a-t-il ajouté, dans cet entretien. »
Une histoire qui a fait grand bruit à l'époque et que le Vatican n'a jamais démentie. Jusqu'à aujourd'hui. Rue89 a donc contacté l'auteur Peter Seewald en Allemagne. Qui se dit également surpris :
« Je m'étonne que le Vatican nie ce fait, mais je n'ai pas le communqué sous les yeux et je n'ai rien entendu de tel… Car nous en avons parlé dans le livre d'entretien “Salz der Erde” publié en 1996. »
Il rappelle toutefois que l'enrôlement de Benoît XVI au sein des Jeunesses hitlériennes en 1941 (il a alors 14 ans) ne peut en aucun cas être considéré comme un acte volontaire :
« Ce qui est très important de dire, car l'on voit fleurir partout des contre-vérités du genre “Ratzinger est un ancien nazi”, c'est qu'il n'en a jamais été membre de son plein gré.
Il y a été forcé, alors qu'il s'y refusait. Il faut absolument replacer cet épisode biographique dans son contexte historique : quand une famille mettait ses enfants aux Jeunesses hitlériennes, elle recevait une somme d'argent pour payer l'école.
Les parents de Joseph Ratzinger étaient pauvres, mais ils ont assumé de ne pas envoyer leurs enfants aux Jeunesses hitériennes.
Les Ratzinger avaient une position très antinationale : le père, qui était policier, a abandonné son travail avant l'heure pour en marquer son opposition au régime d'Hitler.
Puis une loi est passée, qui a rendu les Jeunesses hitlériennes obligatoires : les Ratzinger n'ont plus eu la possibilité de dire non. Mais il faut réaffirmer que le pape n'a jamais été volontaire. »
Le démenti très catégorique du Vatican intervient afin de calmer la polémique qui entoure ce voyage. Federico Lombardi a appellé à distinguer l'enrôlement de l'engagement volontaire :
« Les Jeunesses hitlériennes étaient un corps de volontaires qui soutenaient de manière fanatique l'idéologie des nazis.
Le corps des auxiliaires de la défense antiaérienne dans lequel il a été recruté vers la fin de la guerre « n'avait rien à voir avec les Jeunesses hitlériennes, ni avec les nazis et leur idéologie ». »
Le président du parlement israélien, Reuven Rivlin, a notamment reproché au pape d'avoir un passé trouble :
« Avec tout le respect dû à Sa Sainteté, on ne peut ignorer le fardeau qu'il porte, en tant que jeune Allemand ayant rejoint les Jeunesses hitlériennes et en tant qu'adulte ayant rejoint l'armée d'Hitler, qui a été un instrument de l'extermination. »
Rappelons que les Jeunesses hitlériennes ont été déclarées obligatoires pour tous les jeunes Allemands à partir de 1939, soit deux ans avant l'adhésion de Joseph Ratzinger.
Zineb Dryef et Marie-Sophie Keller
Je n'apprécie pas particulièrement la papauté mais faut arrêter de lui reprocher des faits dont il n'est pas responsable. Vaudrait mieux se focaliser sur ses responsabilités.
Le pape Benoît XVI a assuré qu'il priait pour que le blocus israélien de Gaza soit "bientôt" levé, lors d'une grande messe en plein air célébrée mercredi devant la basilique de la Nativité à Bethléem, en présence de milliers de personnes.
S'adressant aux "pèlerins venant de la bande Gaza déchirée par la guerre", dont une centaine devait assister à la célébration, il a lancé: "je vous demande de rapporter à vos familles et à vos communautés l?assurance que je les garde en mon coeur et ma tristesse pour les pertes subies, les difficultés et les souffrances que vous avez dû endurer. Soyez assurés de ma solidarité dans l?immense tâche de reconstruction à laquelle vous devez faire face et de mes prières pour que l'embargo soit bientôt levé".
Benoît XVI a aussi lancé aux chrétiens de la région: "Ne craignez rien". "C?est le message que le Successeur de saint Pierre désire vous laisser aujourd?hui", a-t-il ajouté.
"Appuyez-vous sur la prière et la solidarité de vos frères et soeurs de l'Église universelle et, par des initiatives concrètes, travaillez à consolider votre présence ici et à offrir de nouvelles opportunités à ceux qui sont tentés de partir", leur a-t-il demandé. "Soyez des ponts de dialogue et de coopération constructive pour l?édification d?une culture de paix qui doit remplacer l?impasse actuelle des peurs et des agressions", a-t-il ajouté.
"Vous avez chez vous les ressources humaines pour construire cette culture de paix et de respect mutuel qui pourra garantir un avenir meilleur à vos enfants. Voilà la noble entreprise qui vous attend. N?ayez pas peur!", a conclu le pape.
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alors? Quand il est mentie?? maintenant ou plus-tot??
Dèja ce la!! Un Haut Chef Religieus Qui est capable Mentire en public!!! Magnifique Pub pour le Cretiennete!!!!!!
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Dur d'être chrétien en Terre Sainte
Abbas lance un message de paix aux Israéliens
Dans l'après-midi, il s'est rendu au camp d'Aïda, à l'entrée de la ville, où vivent 4.600 réfugiés palestiniens près du mur de séparation construit par Israël qui le présente comme une «clôture antiterroriste». Dans la cour d'une école dominée par un tronçon en béton haut de huit mètre de la barrière de séparation, le pape a déclaré qu'il est «tragique de voir des murs continuer à être construits», dans «un monde où les frontières sont de plus en plus ouvertes».
Pour lui, cette barrière est un «rappel incontournable de l'impasse où les relations entre Israéliens et Palestiniens semblent avoir abouti». «Comme il nous tarde de voir les fruits d'une tâche bien plus difficile, celle de construire la paix ! Comme nous prions constamment pour la fin des hostilités qui sont à l'origine de ce mur !», a ajouté Benoît XVI.
Le pape prie pour la levée du blocus à Gaza
Auparavant, le pape a celébré une messe à Bethléem, la ville natale du Christ, en Cisjordanie. Dès le début de son homélie, Benoît XVI a prié pour la levée rapide du blocus, une phrase très applaudie. Au moins 5.000 fidèles se sont massés sur la Place de la crèche, située entre la basilique et une mosquée, baignée par le soleil et surveillée par un impressionnant dispositif policier. Le souverain pontife a, par ailleurs, exhorté les jeunes à ne pas céder au «terrorisme». «Le pape appelle au pardon et à vivre ensemble côte-à-côte avec Israël, nous sommes heureux qu'il ait délivré ce message», a confié Hossam, 30 ans, venu spécialement de Jénine (nord) pour assister à cette messe en plein air.
En fin de journée, Benoît XVI doit retrouver Mahmoud Abbas au palais présidentiel pour un entretien. Cette rencontre sera la troisième entre les deux hommes. En décembre 2005, le président palestinien avait invité le chef de l'Eglise catholique à visiter Jérusalem et les Lieux saints et lui avait symboliquement remis un passeport palestinien.
A son arrivée lundi en Israël, le pape avait plaidé pour une réconciliation entre Israéliens et Palestiniens qui permettra à chaque peuple de «vivre en paix dans (son) pays respectif».
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