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Blog : Votre juriste en Israel

Dialogue avec les chrétiens : une démarche inutile ?

Le grand rabbin de France nous a bassiné pendant la campagne précédant son élection sur l'importance du dialogue judéo-chrétien. Le pape Benoît XVI a dans son livre sur Jésus rendu un vibrant hommage à l'ouvrage de J. Neusner précisément sur le dialogue imaginaire entre Jesus et des rabbins. [...]
566 commentaires
Avec jean le catho, quand on lui lance la balle il va la chercher mais le problème c'est qu'il "la ramène"
Envoyé par Moshé_007 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:40
Nous vivons une époque de mal-être individuel. Bien que le mouvement féministe se soit fixé pour but de réparer les graves injustices dont souffrait la société sexiste, les résultats, jusqu'à présent, ne sont pas probants, et n'ont pas vraiment apporté un surcroît de bonheur à l'humanité. Ni pour les hommes, ni pour les femmes.

La société occidentale, en fait, demeure sexiste. Les femmes sont utilisées comme des objets sexuels destinés à provoquer la stimulation nécessaire pour faire augmenter les ventes.

Dans l'introduction de ce classique des premiers temps du féminisme, "Our Bodies, Our Selves" (Nos corps et nous) , les auteurs évoquent le peu de respect que la société américaine accorde aux qualités traditionellement féminines, telles que, par exemple, l'aptitude à se montrer compatissantes et bonnes cuisinières. Elles attribuent l'origine de leur féminisme au désir qu'elles ont d'être traitées avec une dignité égale à celle dont les hommes sont l'objet. Si cette dignité ne peut s'acquérir que par comparaison avec les critères masculins de réussite, eh bien, concluent-elles, nous devons jouer le jeu !

Le monde de la Torah et le monde occidental sont de nature différente, et le sexisme de la société occidentale est tout simplement inapplicable à la vie juive.

Le film récent "Kadosh", qui nous présente une femme juive pratiquante sous un jour des plus négatifs est, soit une fiction née de l'imagination de l'auteur, soit un pamphlet pouvant être utilisé à des fins politiques. (Il est difficile de trancher entre ces deux possibilités).

Les Juifs n'ont jamais approuvé l'exploitation sexuelle ou la manipulation des femmes, et les lecteurs du Talmud n'ont jamais trouvé révolutionnaire la récente "découverte" de la sexualité féminine. La loi juive oblige l'homme à satisfaire sa femme sur le plan sexuel et à faire passer son plaisir, à elle, avant le sien. L'adultère, dans la vie juive traditionnelle, est considéré comme étant aussi abominable et inconcevable qu'un meurtre.

" La Loi juive, d'une manière générale, ne s'adresse ni particulièrement aux hommes, ni aux femmes. "
La Loi juive, d'une manière générale, ne s'adresse ni particulièrement aux hommes, ni aux femmes. Le mariage ainsi que le divorce se font par accord mutuel. Les femmes, tout comme les hommes, sont tenus d'observer le Chabbat, prier, secourir les pauvres et visiter les malades.





QUELQUES FAITS INCONTESTABLES
Il est temps maintenant d'en finir avec cette rumeur selon laquelle le Judaïsme considère que les femmes sont inférieures aux hommes. Aucun lecteur sérieux de la Bible ne peut arriver à une telle conclusion.

Quelques exemples:

1) Abraham avait deux fils : Isaac et Ismaël. Les enfants grandissant, Sarah prit conscience que, dans l'intérêt d'Isaac, Ismaël devait s'éloigner. "Renvoie Ismaël de la maison", dit-elle à Abraham. Celui-ci refusa de l'écouter. Et Dieu dit à Abraham "Ecoute la voix de Sarah, ta femme, car elle a une vision prophétique supérieure à la tienne".

2) Isaac et Rebecca avaient deux fils : Jacob et Esaü. Isaac voulait accorder le droit d'aînesse à Esaü. Rebecca vit ce qu'Isaac ne voyait pas : Esaü était dépravé et assoiffé de pouvoir. Elle fit en sorte que Jacob hérite du droit d'aînesse. C'est une initiative qui sauva le peuple juif.

3) En Egypte, les hommes étaient poussés au désespoir en raison de la rigueur de l'esclavage et de l'oppression. Lorsque les Egyptiens commencèrent à tuer les bébés juifs de sexe masculin, les hommes décidèrent de se séparer de leurs femmes, plutôt que de mettre au monde des enfants pour les voir mourir sous leurs yeux. Les femmes dirent alors: "Nous serons pires que Pharaon si nous acceptons cela. Même s'ils doivent nous faire périr, nous ne devons jamais, de nous-mêmes, renoncer à l'espoir". Les femmes encouragèrent leurs maris à fonder des familles, assurant ainsi la pérennité du peuple juif. L'héroïsme de Myriam, qui n'hésita pas à s'opposer aux vues erronées de son père, Amram (qui présidait le Sanhédrin) fut à l'origine de la naissance de Moïse.

4) Les femmes ne participèrent pas au culte idolâtre du Veau d'Or dans le désert.

5) Lorsque les douze explorateurs vinrent rapporter que la terre d'Israël était peuplée de géants, les hommes se lamentèrent et voulurent repartir en Egypte. Pas les femmes. En conséquence de cela, les hommes reçurent la punition de mourir dans le désert, tandis que les femmes méritèrent d'entrer en Erets Israël.

Il est impossible de lire, année après année, ces passages de la Torah, ainsi que de nombreux autres, et d'arriver à la conclusion que la Torah considère les femmes comme étant inférieures aux hommes. Bien au contraire, les femmes sont constamment présentées comme étant plus dignes de confiance que les hommes dans leur jugement et dans leur dévotion à Dieu. Le Talmud précise que les femmes ont été créées avec une binah yetera , une mesure supplémentaire de connaissance intuitive.


QUELLE EST DONC LA DIFFERENCE ?
Le Judaïsme professe cependant que les hommes et les femmes sont différents.

" Le sexisme ne consiste pas à constater l'aptitude qu'ont les femmes à se montrer compatissantes et bonnes cuisinières, mais à mépriser ces qualités. "
En fait, le féminisme authentique ne nie pas qu'il existe des différences entre les sexes sur le plan physique, émotionnel et mental. Il insiste plutôt sur l'importance égale qu'il convient d'accorder à ce qui est purement féminin. Pour les auteurs de "Our Bodies, Our Selves", le sexisme ne consiste pas à constater l'aptitude qu'ont les femmes à se montrer compatissantes et bonnes cuisinières, mais à mépriser ces qualités.

Les auteurs déplorent que, dans notre société, on apprenne aux femmes que l'aptitude à savoir cuisiner est moins glorieuse que l'aptitude des hommes à savoir faire preuve d'agressivité (encore que certains hommes soient doués pour la cuisine et que certaines femmes puissent se montrer agressives, mais les archétypes sexuels reposent cependant sur des réalités).

Toutes les différences ne donnent pas lieu à des comparaisons désobligeantes. Tel homme doué d'une grande créativité mais dont la mémoire laisse à désirer, et tel autre doué d'une bonne mémoire mais sans aucune fantaisie ne se valent pas. Mais ils se valent dans leur désir de se rapprocher de Dieu. Le Judaïsme constate que les hommes et les femmes, tout en étant égaux dans leur attachement à Dieu, ont des tempéraments et des dons de nature différente. Et donc, pour leur permettre de se réaliser, Il leur a assigné à chacun une voie différente.

"Dieu créa l'homme à son image….Mâle et femelle Il les créa" nous dit la Torah, et le Talmud, à partir de cela, comprend que l'être humain est formé de l'union de l'entité féminine et de l'entité masculine.

C'est pourquoi certaines mitsvoth, telle que l'allumage des bougies de Chabbat ou le prélèvement de la 'hallah sont réservées aux femmes.

Lorsqu'une femme décide d'accomplir des mitsvoth auxquelles elle n'est pas soumise, on peut légitimement s'interroger sur ses motivations. Est-elle zélée au point d'avoir épuisé tout le champ des mitsvoth quelle doit accomplir, et cherche-t-elle à en augmenter le nombre ? Où bien souhaite-t-elle imiter ce que font les hommes ? Si cette dernière réponse est la bonne, elle ne se rend pas compte qu'en fait, elle se rend elle-même coupable de sexisme. Elle a repris à son compte l'affirmation selon laquelle ce que font les femmes est sans valeur et que se comporter comme un homme apporte une plus grande estime de soi.

Notre Torah peut être une source de force morale et un point de repère dans un monde en constante évolution. Mais uniquement à condition que nous nous débarrassions de nos préjugés et que nous sachions lire ensemble ce qu'elle nous enseigne réellement.

Lamed.fr
Envoyé par Sonia_004 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:47
sauf que chez nous, le rav contact les familles, rencontrent les preposes au mariage et organisent les rencontres ou le garcon et la fille ont la possibilite d'echanger leurs esperances, ce qu'ils attendent de leur partenaire dans le mariage... les mariages ne sont pas imposes depuis longtemps en israel, ce qui n'etait pas le cas en galuth. la fille ou le garcon devaient obeissance aux parents et ils s'ecrasaient. si tu as vu un violon sur le toit, c'est un exemple sur ces mariages-la. donc ca c'est bon pour les familles pratiquantes orthodoxes, pour les traditionnalistes, c'est par connaissances, rencontre et autres, et les laics ? pour etre franche, j'en sais rien. le mariage pour eux ne veux plus dire grand chose.
pour les deux premiers cas, le rabbin responsable de la rabbanuth de la ville, convoque le jeune homme et sa femme recoit la jeune femme, et le jeune couple, chacun de son cote recoit une etude avant le mariage, les obligations de chacun, les lois de purete, etc. une fois qu'ils se sentent prets a sauter le pas... c'est le mariage.
chez les orthodoxes, ces etudes sont enseignees beaucoup plus jeunes. ne va pas croire sylviane, l'erreur est humaine car nos rabbanim responsable de ma petite ville, se sont fait avoir avec un "gendre", il a revele ce qu'il etait apres le mariage..... immediatement divorce ! le pere, (rabbin de ma ville) a paye le prix fort pour obtenir le divorce pour sa fille. le gendre etait un speculateur ? je ne trouve plus le mot. Embarrassé
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:49
Jocelyne,
Ok donc les conseils de Rav ron chaya étaient uniquement destiné a son cours et lorsqu'il parlait de "bon numéro" c'était pour le cas ou le jeune homme religieux a de l'attirance pour une jeune fille juive dont il ignore si elle est religieuse..
Et donc que la jeune fille religieuse n'a pas besoin de ses conseils la car elle sait ou elle doit faire son choix pour tomber sur un "bon numéro "
Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:49
Jocelyne, arrête de mettre du bois dans le feu
Envoyé par Moshé_007 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:30

tu as raison, il faut que j'economise pour l'hiver...
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:50
Le pouvoir de ne pas avoir jouer de roles ?
Plus sérieusement de porter un enfant ?
D'etre source ?
complementaire en tout cas une source seule c'est sterile
je suis entierement d'accord avec égaux en droit et pas tout a fait identique ...


Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:31

sylviane, tu penses que les femmes religieuses restent cloitrees chez elles comme les bonnes soeurs ? Rigole
mais elles sont tres actives au contraire, tu ne peux t'imaginer le nombre d'associations dont elles s'occupent,
a l'etranger je ne sais pas, mais en israel ? elles sont tout le temps en mouvement en plus de leur interieur, d'ailleurs les rabbins sont en train de donner des cours aux hommes pour qu'ils aident leur femmes dans les taches menageres, car beaucoup se plaignent que lorsqu'ils arrivent chez eux apres leur travail, leur femme est super NERVEUSE et tout valse chez eux. les rav disent aux femmes de s'octroyer 2 a 4 heures, ( pas plus autrement en rentrant elles auront aussi le mari a remettre sur pied.) lol.
le jour qui convient pour le couple, afin de s'occuper d'elles-meme et de confier la garde des enfants et de la maison a leur mari, ils sont en train de faire l'education des hommes israeliens, qui s'y connait quand meme en lavage du sol et l'epluchage des patates surtout s'ils ont fait l'armee. c'est assurement un test formidable pour donner la joie au mari de retourner le lendemain a son boulot. remerciant D' de ne pas l'avoir fait FEMME ! Clin d'oeil
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Dimanche 30 Août 2009 à 17:01
Jocelyne,
Pas facile de prendre toute les garanties et un manipulateur peut toujours espérer berner.
Le tout est de s'en rendre compte le plus vite possible ... histoire de tourner la page avec le moins de dégâts possible.
Que l le pere rabbin ai pu se tromper et l'admettre afin que sa fille puisse continuer sa vie est le plus beau message de force tranquile qu'il ai pu donner a sa fille ... le droit a l'erreur en toute bonne foi ..pouvoir reparer autant que faire ce peut ..et continuer avec plus d'amour ..plus de rigueur et de moins en moins de rigidité ..
c'est cela que j'ai ressenti ,dans ce qui fait que je continuer a chercher dans ce chemin la qu'est la religion juive

Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 30 Août 2009 à 17:04
Donc aucune réaction à ce que je suis cassé de vous écrire !
Envoyé par Moshé_007 - le Dimanche 30 Août 2009 à 17:06
Jocelyne ,
Je dois m'absenter un moment
Je te repondrais plus tard ...
Clin d'oeil
Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 30 Août 2009 à 17:06
Envoyé par Sonia_004 - le Dimanche 30 Août 2009 à 16:47

sonia, meme sans entrer dans le cadre religieux, je me suis faite incendiee une fois sur un forum, FR2, parce que j'avais dit que le chomage, et les bas salaires c'etait a cause des femmes qui travaillaient... j'en ai drolement entendu, comment moi une femme ! parle de la sorte ? la femme a la maison ? la femme n'aurait donc pas le droit de s'epanouir dans une carriere....
j'avais pourtant specifie que les femmes qui se levaient aux aurores pour aller nettoyer les sols des bureaux, des grands magasins, faire des menages et autres, si c'etaient vraiment des projets de carriere a grande ambition. mais bon.
j'ai dit qu'il serait bon de faire un sondage sur ce que pensent ces femmes, et ce qu'elles prefereraient, une subvention de mere au foyer ou gagner la meme chose dans la serpillere.
les jeunes filles orthodoxes si elles le desirent vont jusqu'a la fin de leurs etudes afin de decrocher des diplomes mais pas de femme de menage. elles entrent ensuite dans l'education des enfants handicapes, dans les bureaux sociaux, hopitaux et autres... il faut oublier le temps des debut 1900... ou meme les francaises non-juives et non pratiquantes avaient tout juste le droit de se taire ! il faut tout replacer dans le contexte de l'epoque.
nous sommes entres dans le 3eme millenaire.
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Dimanche 30 Août 2009 à 17:11
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 16 minutes