|
Blog : Europe-IsraelLe Bateau Français pour Gaza ne partira pas !!!! Les membres de la communauté juive de France ont envoyé cinq cent lettres de protestation contre la flottille de Gaza, empêchant le navire, acheté par les organisateurs pour 530.000 euros, d'accoster à Marseille. "De nombreuses batailles restent à livrer jusqu'à Septembre", dit un des membres de la communauté. L'un des navires qui devait [...] 44 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - i24 News
Il y a 2 heures - Kountrass
7 Juin 2025 - Le Figaro
6 Juin 2025 - Le Figaro
5 Juin 2025 - Futura-Sciences Actualités
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
23 Mai 2025 par Blaise_001
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 24 minutes
Personne ne les assureras sans qu'ils présentent un carnet de route comprenant, un port de départ et un port de destination, sans assurance, impossible de quitter un port français, turque ou n'importe quel port, c'est le droit maritime !
Maintenant ils ont ACHETÉ un bateau, il faut en plus d'une assurance et un carnet de route, trouver un capitaine, qui lui, devra se porter responsable de son embarcation, bonne chance !
Le capitaine est juridiquement entièrement responsable de son navire, si quoi que ce soit arrive et qu'il n'a pas respecté le droit maritime, il est responsable de tout au niveau légal, c'est à dire qu'en cas de non respect du droit international maritime, le navire peut être confisqué et le capitaine tenu pour responsable de toutes les éventualités encourues et que si il y a des morts, il en porte la totale responsabilité, Mission impossible ! ! !
- Ce qui prouve que le terrain juridique ne doit pas être abandonné. L'an dernier, Israël a été un peu pris par surprise sur ce plan. Cette année, on a vu se multiplier les mises en garde : des actions judiciaires seraient intentées contre ceux qui organiseraient des actes de piraterie, y participeraient ou les couvriraient : voilç de quoi donner à réfléchir aux assureurs, aux autorités portuaires, aux professionnels de la mer - et sans doute à pas mal d'autres.