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Blog : Europe-IsraelVidéo : Newt Gingrich: les Palestiniens, ?un peuple inventé? ? Palestinians an ?invented' peopleNewt Gingrich va se faire déchiqueter vivant pas les médias européens, et le monde musulman va encore avoir une crise d'urticaire. Le candidat républicain à la présidentielle a simplement eu le courage de dire cette réalité pourtant historique : Il n'y a jamais eu d'Etat palestinien indépendant. Ce prétendu ?peuple palestinien' est une création arabe contre Israël. Newt Gingrich, favori de l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine, qualifie les Palestiniens de [...] 34 commentaires
| Membre Juif.org
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de renvoyer la question à l'intérieur même des milieux républicains américains en mettant en cause une frange particulière, les chrétiens fondamentalistes. cela indique que les " Palestiniens " vont s'impliquer dans les débats et les affrontements pré-électoraux américains et tenteront d'agir à l'intérieur même du parti républicain en jouant telle tendance contre telle autre.
Et, de fait, la différence entre la confirmation, par Newt Gingrich, de ses propos et la mise au point de R. C. Hammond indique bien qu'il n'y a pas, à l'intérieur du parti républicain, unité de vues sur la question d'Israël et du Proche-Orient.
Il faut donc s'attendre à de très dures luttes d'influence, dans les milieux républicains, entre deux " lignes " . L'une, que traduit bien le communiqué de R.C. Hammond, demeure fidèle à la ligne de tous les gouvernements américains depuis des années ( y compris l'administration Bush ) - c'est-à-dire qu'elle se place dans la continuité du cadre défini par les accords d'Oslo : la fameuse " solution à deux Etats " ( qui est aussi, au moins officiellement, celle des gouvernements israéliens ).
L'autre ( celle de Newt Gingrich, apparemment ) - et c'est là en effet une voix tout à fait nouvelle dans les milieux politiques américains - récuse le présupposé sur lequel se fondent les accords d'Oslo et la construction d'une " solution à deux Etats " : à savoir, l'existence d'un peuple palestinien.
Pour la première fois depuis très longtemps, on entend donc
Il faut tout de même saluer le courage de cet homme, Newt Gingrich, car, comme vous le savez, la tendance actuelle est plutôt au soutien à la cause palestinienne!!
Je souhaite vraiment qu'il soit élu ce brave homme, pour enfin, remplacer le pire des présidents américains de l'histoire...
un would be candidat américain à la Présidence se situer EN DEHORS du cadre conceptuel des accords d'Oslo. Ce serait là, si cette voie pouvait être confirmée ( mais le communiqué de R. C. Hammond indique que ça n'ira pas de soi ) puis avalisée par le vote des citoyens américains en novembre 2012, une véritable révolution et un gigantesque pas en avant. Il y a très longtemps que, pour ma part, j'exprime sur notre site l'espoir que sera accompli ce que j'appelle le " Schritt zurück aus " des accords d'Oslo. Je prêchais pour que des hommes politiques israéliens puissent trouver un jour à la fois le courage et l'occasion politique d'effectuer ce " pas qui rétrocèderait " des accords d'Oslo. Mais il est évident que si ce pas était effectué au sommet u pouvoir américain, ce serait quelque chose de tout à fait décisif.
J'ai adore ses livres sur l'histoire alternative de la 2 guerre mondiale telle que "Day of infamy".
Les gauchos vont commencer a s'affoler si des combinaisons Guy Milliere+-Gingich +-Barry Rubin commencent a taper sur le meme clou (tordu) qu'est le mythe du pseudo peuple palestinien invente par le kgb et nasser,, le clou ve bien finir par casser !
Gingrich a absolument raison, il n'y a pas, il n'y a jamais eu de peuple palestinien. Le dire à haute voix, sans ambiguité, demande beaucoup de courage et d'assurance par les temps qui courent. On peut s'attendre à ce que des groupes de pression bien organisés s'attaquent à lui, à commencer par les Francais qui ont avant tout peur de perdre leurs "amis" arabes... et tout ce qui va avec.
Espérons que des gens comme l'Espagnol José Maria Aznar prendront sa défense dans l'espace public.
Et que ceux qui croient en D.ieu prient pour qu'il soit élu.
Je reviens sur les déclarations de Newt Gingrich. Peut-être peut-on considérer que commencent à se faire jour, dans certains milieux américains, des doutes et des interrogations sur une voie, concernant le Proche-Orient,, qui avait été tracée, après tout, par les démocrates - Jimmy Carter, Bill Clinton - il y a entre vingt et trente ans, et qui n'avait jamais été remise en cause fondamentalement. Les points de départ sont à chercher, comme toujours, dans la période 1973-1976 : les Etats-Unis ont, osons le mot, perdu la guerre du Viêt'Nam ( pourquoi et comment, ce serait très intéressant de se le demander, mais on ne le fera pas ici). Je tiens pour ma part que c'est la guerre qui décide du sort des nations. Par exemple, la double défaite de la France, à Trafalgar en 1805 puis, dix ans plus tard à Waterloo fait du XIXe siècle un siècle en gros dominé par l'Angleterre. De la défaite américaine au Viêt'Nam suivent les formidables avancées soviétiques en Afrique, par exemple : l'Angola, le Mozambique, l'Ethiopie passent au " marxisme tropical " et, en tout cas, dans la sphère d'influence soviétique. C'est aussi l'époque où, avec l'appui actif de l'URSS, l'Afghanistan quitte, avec le prince Daoud, la sphère d'influence occidentale. C'est aussi l'époque où le monde arabo-musulman, dopé par la défaite américaine et par les reculs du " camp impérialiste " qui s'ensuivent, lance à l'Occident jugé trop pro-israélien le formidable défi que constitue le premier choc
Pour la premiere fois,je suis en desaccord avec Edmond
Les Gi's ont ecrase le vietkong et l'armee nord coreeenne ,L'echec de"l'offensive du Tet" en etait bien le symbole mais les medias,les etudiants 68aires et les egeries de la gooche caviard .... dans le style jane fonda et joan baez ont reussi a demoraliser le "home front"
pétrolier. En résultent toute une série de capitulations occidentales : par exemple, c'est à partir de 1974 que l'Europe occidentale ouvre les vannes à l'immigration massive en provenance du monde musulman ( sur cette question, on peut lire avec beaucoup de profit les écrits de Bat Ye'or ) ; c'est en 1974 que le colonel Houari Boumédienne annonce à l'Europe, depuis la tribune de l'ONU, qu'elle va faire l'objet d'une conquête par " le ventre de nos femmes " . C'est en 1974 encore que Yasser Arafat est reçu triomphalement à l'ONU. En 1976, l'élection de Jimmy Carter à la présidence des Etats-Unis marque la prise en compte d'une nouvelle donne internationale et le lâchage par les Etats-Unis de certains alliés ( par exemple le Shah d'Iran ). C'est aussi dans ces années - la deuxième moitié des années 70 - que commence à s'élaborer une stratégie de pressions et de contraintes systématiques sur Israël, désormais sommé de céder sur la reconnaissance d'un " peuple palestinien " , le reste , à savoir l'objectif de la création d'un [ deuxième, puisqu'existait déjà la Jordanie ] Etat arabo-palestinien, découlant inévitablement de ce présupposé. D'où les accords d'Oslo et la fantasmagorie de la " solution à deux Etats " .
Or, je crois - il me semble que je l'avais exprimé ici, il y a plusieurs mois ou semaines, notamment au moment de l'accord d'échange entre Guilad Shalit et des tueurs arabes - que cette période, cette longue période de près de quarante ans, est sur le point
de se terminer.
Elle touche à sa fin notamment parce que cette fameuse " solution " commence à apparaître pour ce qu'elle est : une pure vue de l'esprit, qui n'a aucune chance de prendre jamais corps sur le terrain.
Mais cette prétendue " solution " n'en conserve pas moins la présence paralysante qui résulte de la force d'inertie et des pesanteurs de l'habitude, ainsi que de la paresse d'esprit et de la lâcheté morale, politique et intellectuelle qui font qu'il est beaucoup plus facile aux diplomates, aux médias, aux politiques, de se vautrer dans le ressassement de formules convenues et éculées que d'avoir le courage de proclamer que le roi est nu, que les politiques suivies depuis plus de trente ans ont échoué et qu'il convient d'en prendre acte.
L'échec de la " solution à deux Etats "est pourtant patent. Cette prétendue " solution " a échoué pour plusieurs raisons : la première est - je le disais ici il y a plus de deux ans - qu'il y a beaucoup plus que deux acteurs : le Fata'h en Judée-Samarie et le 'Hamas à Gaza proposent déjà , en quelque sorte et si l'on peut dire, deux proto-Etats - sans compter les dissidences salafistes, al-qaïdistes, etc. La deuxième est que cette prétendue " solution " nécessite qu'Israël se passe lui-même la corde au cou. Or, les forces politiques qui, à l'intérieur d'Israël,, seraient éventuellement porteuses de cette politique " hara-kirique " ont perdu la main et sont de plus en plus nettement désavouées par l'opinion publique
israélienne.
D'où une situation de blocage, depuis un peu plus d'un an, que les appels dérisoires à la " reprise des négociations " ,ou, dans le style plus rustique de Leon Panetta, l'injonction faite à Israël de regagner cette " f .. tue table des négociations " ne font que souligner davantage. Il est aussi, à noter que ce dont on ( se ) faisait un épouvantail politique - l'initiative de l' " Autorité Palestinienne " ( sic ) à l'ONU semble bien, pour l'essentiel, un fiasco de première.
J'avais aussi cru pouvoir avancer l'idée, ici, que l'accord avec le 'Hamas sur l'échange Guilad contre un millier de tueurs marquait le début d'une sorte de découronnement du tueur de Ma'alot.
Je vais tenter de conclure mon raisonnement : il se peut que, de ces blocages et de la nécessité d'en sortir autrement que par le psittacisme et le radotage ( " solution à deux Etats " ... " solution à deux Etats " ... " solution à deux Etats " ... ), une fraction du personnel politique américain commence à prendre conscience et commence à se dire qu'il est peut-être temps de modifier, en un premier temps, le discours habituel, de rompre avec les schémas traditionnels mais inopérants. C'est cela, à mon avis, qui transparaît dans les déclarations de Newt Gingrich.
Mais cette hirondelle ne fait pas encore le printemps.