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Blog : Europe-IsraelSelon le président islamiste Erdogan: « Les musulmans ont découvert l'Amérique, pas Christophe Colomb »![]() Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé samedi, très sûr de lui, que le continent américain avait été découvert par des musulmans dès le XIIe siècle, et non pas par le navigateur génois Christophe Colomb plus de deux siècles plus tard. « Les contacts entre l’Amérique latine et l’islam remontent au XIIe siècle. […] Source: Europe Israel - analyses, informations sur Israel, l'Europe et le Moyen-Orient 23 commentaires
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Hypothèse de la circumnavigation chinoise.
En 2002, une thèse controversée du Britannique Gavin Menzies a soutenu qu'une partie de la flotte de Zheng He aurait contourné le sud du continent africain pour remonter l'Atlantique jusqu'aux Antilles, qu'une autre partie aurait franchi le détroit de Magellan pour explorer la côte ouest de l'Amérique et, finalement, qu'une troisième partie aurait navigué dans les eaux froides de l'Antarctique. Les côtes de l'Australie auraient même été atteintes lors de ces voyages d'exploration7. Dans cet ouvrage il stipule que des preuves archéologiques datant de cette époque ont été retrouvés sur la côte ouest des deux Amériques.
Christophe Colomb est le premier navigateur dont les pérégrinations transatlantiques sont attestées tant par des écrits (dont certains autobiographiques) que par de nombreux témoignages de ses contemporains ou des preuves matérielles (Amérindiens ramenés en Europe et présentés à la cour d'Espagne). Il réalisa quatre voyages d'Europe en Amérique au nom des Rois Catholiques : en 1492, 1493, 1498 et 1502.
Les voyages de Christophe Colomb.
La découverte accidentelle en 1492
Lors de son premier voyage en 1492, Christophe Colomb pensait avoir débarqué aux « Indes orientales », contrées aux richesses légendaires décrites entre autres par les récits de Marco Polo. Le 12 octobre, il débarqua sur une île des Bahamas appelée Guanahani (probablement San Salvador, mais dont la localisation exacte est encore discutée). Le 28 octobre, il découvrit Cuba. En novembre, il atteignit l'île d'Hispaniola."
Jean Cabot (Giovanni Caboto alias John Cabott) a touché Terre Neuve en 1497 en partant de Bristol (Angleterre), donc un an avant que Colomb ne débarque dans l'actuel Venezuela en 1498. De nombreuses personnes considèrent donc que c'est Cabot qui a réellement découvert l'Amérique, en faisant dater la découverte non pas de 1492, mais de l'arrivée sur le continent américain, ce que Colomb n'a fait que lors de son troisième voyage en 1498".
Amérindiens, Échange colombien et Histoire démographique des Amérindiens.
Le continent américain était habité depuis plusieurs dizaines de milliers d'années. Aussi l'expression « Découverte de l'Amérique » a été vivement critiquée et accusée d'eurocentrisme par les populations d'origine amérindiennes, différents mouvements sociaux, des hommes politiques américains ainsi que par divers spécialistes[réf. souhaitée]. Certains ont soutenu[Qui ?] que l'usage de l'expression « Découverte de l'Amérique » devait être réservé à l'arrivée en Amérique des premiers chasseurs paléolithiques.
L'ensemble de ces réflexions a amené les historiens à évoquer des expressions plus adéquates telles que « L'arrivée de Christophe Colomb en Amérique » ou « L'arrivée des Espagnols en Amérique ». On utilise aussi éventuellement l'expression « conquête de l'Amérique » pour désigner le processus d'occupation du Nouveau Monde à partir de sa découverte."
Publié par Martin Koppe, le 23 octobre 2012
Un secon site viking a été mis au jour sur l'île canadienne de Baffin
On ne connaissait jusque que là que le site viking de l'Anse-aux-Meadows, découvert dans les années 60. L'archéologie viking en Amérique du Nord accueille maintenant un deuxième site dont l'origine a été confirmée lors d'une conférence début octobre. Des preuves d'échanges entre les Scandinaves et les Amérindiens ont également été présentées.
C’est pas parce qu’il n’y avait pas de monastère à piller là-bas que les Vikings ne sont pas allés explorer le Nouveau-Monde plusieurs siècles avant Christophe Colomb. Lors de la conférence by land or by sea: changing worlds, qui s’est tenue au Canada début octobre, l’archéologue Patricia Sutherland a annoncé avoir trouvé un second site viking sur le territoire canadien. Situé sur l’île polaire de Baffin, le site archéologique est étudié depuis 1999.
Là-bas, les archéologues ont retrouvé dans les restes d’un bâtiment vieux de plusieurs siècles des pierres à aiguiser qui portent des traces de bronze. Or, les Vikings maitrisaient la métallurgie de cet alliage, mais pas les Amérindiens de la région. Ils ont également retrouvé des cordelettes, les premiers éléments à leur avoir mis la puce à l’oreille, fabriquées par un procédé de tissage totalement inconnu des locaux.
"Alors que les preuves de Patricia Sutherland étaient déjà convainquantes, explique au National Geographic son collègue James Tuck, elles sont maintenant indiscutables." Les chercheurs ont également retrouvé des traces de fourrure de rats européens, un os de baleine taillé à la manière des Vikings du Groenland et des pierres maçonnées à l’européenne.
A plus grande échelle et sans trace d’habitations, divers artéfacts comme des pierres à aiguiser ont été retrouvés sur quatre sites d’une zone de 1.600 kilomètres de long. Ces pierres ont montré la présence de traces de bronze, de cuivre et de fer forgé. Elles ont donc bien appartenu à un moment donné à des Vikings. Les archéologues en concluent que ces derniers ont dû procéder à des échanges avec les Amérindiens de l’époque, le peuple de Dorset.
A la recherche de morses et de renards
Les Vikings, en plus de leur curiosité et de leur goût pour l’aventure, se seraient en effet intéressés à cette région car divers produits nordiques, comme l’ivoire de morses et les fourrures de renards, étaient très prisés en Europe. Les Vikings auraient ainsi mis en place un système de troc avec les chasseurs de la culture de Dorset afin d‘échanger du bois et des métaux contre des défenses et des peaux de bêtes.
Mais la question de savoir si oui ou non les Vikings ont bien atteint le nouveau monde a longtemps fait débat. Les textes islandais indiquaient qu’ils étaient allés suffisamment à l’ouest du Groenland, un temps colonisé par les Vikings, pour avoir à priori pu atteindre des îles aujourd’hui canadiennes.
L’existence de fausses preuves comme la fameuse carte trafiquée du Vinland a pu semer le trouble, mais un premier site archéologique a finalement été découvert dans les années 60 au lieu-dit l’Anse-aux-Meadows, sur l’île de Terre-Neuve. Les datations nous indiquent que l’avant-poste devait être utilisé entre 989 et 1020, selon les chercheurs. On sait donc à présent qu’ils n’étaient pas les seuls nordiques à avoir fait ce grand voyage.
Abu Rehan Al-Biruni, lettré musulman, aurait peut-être découvert le Nouveau Monde des siècles avant Christophe Colomb, grâce à la seule puissance de ses calculs.
History Today
| S. Frederick Starr
31 Décembre 2013
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Al-Biruni, érudit de génie, était un touche-à-tout. Outre l’existence d’un autre continent, il s’était également intéressé aux phases de la Lune, comme le prouve cette illustration de sa main provenant d’un de ses ouvrages. Al-Biruni, érudit de génie, était un touche-à-tout. Outre l’existence d’un autre continent, il s’était également intéressé aux phases de la Lune, comme le prouve cette illustration de sa main provenant d’un de ses ouvrages.
Photo DR
Depuis plus de cent ans, universitaires, passionnés et farfelus se posent la question : qui a vraiment découvert l’Amérique ? Certaines théories, totalement excentriques, évoquent la présence de Phéniciens à Rhode Island, ou de Chinois dans ce qui n’était pas encore la baie de San Francisco. Dans les années 1950, Thor Heyerdahl, anthropologue et navigateur norvégien haut en couleur, affirmait que les Péruviens, à bord de voiliers en balsa, faisaient régulièrement l’aller-retour entre les Amériques et la Polynésie, longtemps avant que Christophe Colomb ne prenne la mer.
Abu Rehan Al-BiruniPlus sérieusement, des spécialistes scandinaves se sont penchés sur les sagas nordiques, en quête de preuves de l’antériorité de la découverte des côtes nord-américaines par leurs ancêtres. L’histoire des Vikings fendant les flots à bord de leurs navires pour explorer et coloniser le Groenland est aujourd’hui bien connue. Elle a été confirmée par des fouilles archéologiques le long du littoral groenlandais. Au début du XXe siècle, le professeur norvégien Gustav Storm a aussi démontré que les hommes du Nord avaient effectué plusieurs voyages jusqu’au Canada, vers des contrées qu’ils avaient baptisées Markland (le sud de l’actuel Labrador), Helluland (l’île de Baffin) et Vinland (la Nouvelle-Ecosse).
A peu près à l’époque où les Vikings exploraient le Groenland, une découverte d’un autre genre se déroulait loin de tout océan. Depuis des milliers d’années, des négociants venus de ce qui est aujourd’hui l’Ouzbékistan, le Turkménistan et l’Afghanistan convoyaient des marchandises dans de longues caravanes parcourant l’Eurasie. Rentrés chez eux, ces marchands d’Asie centrale racontaient leurs aventures, consignant des informations détaillées sur la géographie et le climat des terres qu’ils avaient visitées, des récits qui étaient ensuite rassemblés et étudiés par des lettrés locaux.
Le plus brillant de ces érudits était Abu Rehan Al-Biruni (973-1048). Né à Kath, près de la mer d’Aral, il s’était dans sa jeunesse familiarisé avec les mathématiques, l’astronomie, la minéralogie, la géographie, la cartographie, la géométrie et la trigonométrie. Il parlait le persan, l’arabe et le chorasmien, la langue de la dynastie sunnite qui régnait alors sur une grande partie de l’Iran. Par la suite, il apprit également le sanskrit.
L’astrologie d’Abu Rehan Al-Biruni
A 17 ans, Biruni calcule la latitude et la longitude de Kath. Puis, s’aidant de sources grecques antiques, il collecte des données géographiques sur le monde méditerranéen, auxquelles il entreprend d’ajouter les coordonnées d’autres lieux situés aux quatre points cardinaux. Ayant lu des auteurs antiques comme Claude Ptolémée (90-168 de notre ère), mais s’inspirant aussi de sources plus récentes et de ses propres observations sur le terrain, il en déduit que la Terre est ronde. A l’âge de 30 ans, il fait appel aux systèmes les plus sophistiqués de son temps pour en calculer la circonférence précise.
Arrivé à la conclusion que la Terre est une sphère, il entreprend de placer sur la nouvelle carte du monde qu’il dresse tous les endroits connus à son époque. C’est là qu’il s’aperçoit que, selon ses calculs, toute la masse eurasienne, du point le plus occidental de l’Afrique au point le plus oriental de Chine, ne représente que deux cinquièmes du globe. Qu’y a-t-il sur les trois cinquièmes restants ? La plupart des géographes, de l’Antiquité jusqu’au XIe siècle, considéraient que le continent eurasiatique était entouré d’un “Océan mondial”. Mais un monde ainsi couvert d’eau ne risque-t-il pas d’être déséquilibré ? Biruni en conclut qu’un ou plusieurs autres continents doivent exister. Ces terres sont-elles des déserts sauvages ou abritent-elles des populations ? Se replongeant dans ses données sur les latitudes et les longitudes de lieux connus, il constate que l’homme peuple une vaste bande nord-sud qui va de la Russie au sud de l’Inde et au cœur de l’Afrique.
C’est en 1037 que Biruni parvient à ses conclusions historiques quant à l’existence du Nouveau Monde, en se fondant sur ses recherches menées pendant trente ans. Peut-on dire qu’il a découvert l’Amérique durant le premier tiers du XIe siècle ? En un sens, non, bien sûr. Il n’a jamais posé les yeux sur le Nouveau Monde ni sur les continents dont il parle dans ses écrits. Alors que les Vikings, eux, ont bel et bien débarqué en Amérique du Nord un peu avant l’an 1000, même s’ils n’ont pas compris à l’époque ce qu’ils venaient de trouver. Mais Biruni mérite au moins autant qu’eux le titre de découvreur de l’Amérique. Surtout que le processus intellectuel par lequel il a fini par conclure à l’existence d’un nouveau continent n’est pas moins époustouflant que ses conclusions elles-mêmes. Car plutôt que les méthodes de navigation aléatoires des marins vikings, il a usé d’une habile combinaison d’observations méticuleuses, de données quantitatives soigneusement collectées et de logique rigoureuse. Il faudra attendre encore près cinq siècles avant qu’une analyse aussi rigoureuse soit appliquée à l’exploration du monde.
—S. Frederick Starr
Publié en décembre History Today (extraits) Londres
La histoire de l'humanité est constitué par de différents couches séculaires des événements que par fois ne sont pas directement connexes temporellement dans le fils de l'histoire avec leurs respectives civilisations et cultures .
Cet particularité de composition de la histoire est semblable aux strates géologiques de la terre qui sont enfuis par le temps en couches successives formant une architecture unique que seul l'expert peut faire lecture de cet phénoménologie géologique ou historique.
Dans cet sujet de qui à fait la découverte et revendique cet droit sur des contrés ou des continents ou outres choses dans l'histoire de l'humanité, le paramètre temporale d'un époque comme existence en soi doit être tenu en considération pour ainsi pouvoir déterminer si ce qu’étais caché pour une époque ne l’étais pas pour une outre et ainsi successivement jusque maintenant .
La valeur déterminante actuelle de l'histoire de la société humaine est faite par ceci que fait foi en terme et en forme et étant semblant et véridique ou possible aux événements passés avec les différents progressions historiques de l'homme dans son parcours dans un tout réel.
Ce que les sciences veulent en partie nous expliquer plus o mois avec les recherches, découvertes, antécédents ,documents etc de notre domination contemporaine comme civilisation doit tenir à la réalité..
Est un canaille camouflé, donc la Turquie doit éclater et on va y voir ce qui est le premier qu'a mis le pied dans l'univers si est son idole ou le Suprême Seigneur Hachem, et en Turquie si son les kurdes ou eux...