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La caricature du momentReconditionnement du conflit![]() Nous sommes 6 millions de juifs entourés par 250 millions d’arabes, supportés par un milliard de musulmans. Nous sommes les petits, la minorité menacée, et les palestiniens font partie intégrante d’une vaste majorité menaçante !
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Je ne suis pas un expert mais entre suivre la pensée juive qui m'a l'air très sage selon les quelques commentaires publiés par Men, et se baser exclusivement sur les livres sacrés du judaïsme il y a quand meme une sacrée marge, non ? Qu'adviendrait-il de la liberté sexuelle (concubinage, homosexualité etc.) par exemple ? Ou de l'egalité des sexes ? Il me semble que les haredim ne sont pas des modèles de tolerance, pourtant ils suivent les préceptes religieux à la lettre.
Il faut noter que la loi des pays laics se sont inspiré du judaisme (trés en avance sur son temps), tu ne voleras pas, ne convoiteras pas ton prochain, etc...
Il faut aussi noter, que les religieux eux mêmes ne sont pas tj d'accord, cela prouve bien qu'il peut y avoir débat et des améliorations tout comme en politique.
Il est clair que la pensée juive dans ses preceptes de base ( dont évidemment "les dix commandements") a énormement influencé les codifications des sociétés occidentales et elles en sont ses filles. Donc cet aspect plus que positif ne peut être gommé; continuer à appliquer ces preceptes anciens en les adaptant au monde moderne et au monde tout court est notre voie naturelle. par contre, l'aspect "religieux" avec ses rituels et ses contraintes d'observance est une affaire privée; c'est pourquoi la théocratie m'est détestable! Là où elle s'est imposée ( comme tu le dis très justement) et je pense aux pays islamiques, la situation du peuple n'est pas enviable et les dérives auxquelles on assiste sont l'expression de la pensée unique, et la pensée unique ça s'appelle le fascisme! Comme dit Loïc, il faudrait que les lois religieuses soient votées et appliquées scrupuleusement par TOUTE la population pour que ce soit acceptable; dans la pratique, c'est impossible et donc la seule forme respectueuse de tous est la démocratie laïque. Dans une théocratie je ne serais pas respecté, c'est évident et je ne m'avance pas en te disant qu'en Iran je serais mis à mort comme "ennemi de Dieu" et comme athée. Aucun démocrate laïc n'ira mettre à mort un type parce qu'il a la foi ( les seules dérives ne venaient pas des démocrates mais des communistes)
Sur ce je m'en vais répeter car je dois chanter Yerushalaïm shel zahav et je suis entrain de travailler les arrangements. ( as tu entendu l'interprétation d'Ofra Haza?)
shalom lecoulam
En pratique justement ce n'est pas ainsi que ça se passe, si on devait attendre que TOUTE la population soit d'accord pour voter une loi, on serait encore à trainer sa femme par le chignon
A part ça, je ne sais si toi ou Edmond pouvaient m'aider, je me souviens avoir lu un truc du style, comme quoi du temps de napoleon (je crois) qu'un (ou des) religieux avait en parti (ou en totalité) rédigé la loi républicaine (ou un truc du genre
Oui oui je sais....mais que voulez vous, j'ai la mémoire qui flanche, j'me souviens plus trés bien!!!
La Révolution française figurée dans la Bible
http://pyramide.bible.free.fr/revolution_francaise.htm
La légitimité de l’accession à la citoyenneté pleine et entière ne peut être contestée, même si elle comporte des risques sur le plan du maintien des spécificités. D'ailleurs, ces risques ne sont pas inhérents à la citoyenneté. Il est trop facile d'accuser l'environnement de ses propres fragilités et de ses propres tentations. Et que vaut une fidélité qui serait garantie par la contrainte ou l'isolement, et non par un sentiment de responsabilité intérieure ?
LA GRANDE LEÇON DE 1789, BIEN COMPRISE PAR LES PIONNIERS DU SIONISME [nous mettons en capitales — Réd.], c'est qu'il n'y avait plus place désormais pour les Juifs en tant que minorité, ethnique ou nationale, dans les États fondés sur la volonté populaire. Ils devaient, soit devenir des citoyens comme les autres, soit aller ailleurs créer leur propre État. Toutes les tentatives pour sortir de ce dilemme (comme, par exemple celles du Bund ou des pays de l'Europe de l'Est) se sont soldées par des échecs.
Il n'en reste pas moins que, pour les Juifs, la seule citoyenneté idéale, ou simplement vivable, est celle des démocraties pluralistes, aussi peu jacobines que possible. L'égalité n'y est pas payée par le renoncement à sa personnalité et à ses valeurs. On peut librement (et sans devoir sacrifier son potentiel de promotion individuelle ou sociale) y développer ses sources, ses racines, son originalité (plutôt que sa différence, ce qui supposerait une norme unique de référence) ».
Bon je dois sortir à plus les amiches.
Elie, je ne vois pas ... Nombreux sont les révolutionnaires qui étaient d'anciens hommes d'Eglise et qui se sont mêlés d'écrire des textes à portée législative : l'abbé Sieyès ( qui se défroqua après et en vertu de la Constitution Civile du Clergé, a travaillé, me semble-t-il, au texte de la Déclaration des Droits de l'Homme ainsi qu'à celui de la première Constitution, celle de 1791 - et d'ailleurs aussi à celui de la Constitution de l'an III ( 1795 ).
L'abbé Grégoire - celui qui voulait améliorer le sort des Juifs - a eu aussi part à la fabrication de textes de loi. Le fameux Joseph Fouché, ministre de la Police, était un ancien Oratorien ; Maurice de Talleyrand-Périgord, de très vieille noblesse, était évêque d'Autun ... ( il y a un passage délectable des " Mémoires d'Outre-Tombe " dans lequel Chateaubriand, en 1815, à Gand si je me souviens bien, voit de loin passer dans un salon ces deux derniers personnages : " le vice appuyé sur le bras du crime " , dit-il ... ) ... Mais c'est sans doute autre chose que ce à quoi tu penses ...