English Version Force de Défense d'Israel sur Internet
Inscription gratuite
AccueilInfos IsraelBlogs Juifs et IsraéliensVidéo IsraelOpinions : monde Juif et IsraelLe MagTOP SitesLa BoutiqueJuif.org TV

Communauté Juive

Actualité: MADOFF, ISRAËL et les JUIFS - EXCLUSIF : La liste des associations juives cruellement touchées par l'escroquerie de Madoff

ISRAEL MADOFF : Les associations juives sont cruellement touchées par l'escroquerie de Madoff

Les amis de Madoff, dont de nombreux membres de la communauté juive, sont particulièrement touchés par l'ampleur de l'escroquerie. Même s'il est encore très difficile de quantifier les pertes des fon…

Lire la suite

196 commentaires
JEAN : C'EST LA PLUS BELLE !!!!!
Moi qui suis un bon et un vrai pied noir d'Alger,juif ,d'origine immémoriale,qui ai connu la guerre d'Algérie,qui vois plein de pieds noirs,permets moi de douter que tu sois fille de pieds noirs,
Car tu aurais la mémoire transmise par tes parents de l'horreur du terrorisme;

AHAHAHAHAHAHAHA!!!!
Et l'attentat de la casbah qui a declenche l'ofensive du FLN ??
ET l'OAS ????
nom de code de l'attentat du Petit Clamart : Olive Anchois Sardine !! O.A.S : Ca sent le MOMO tout craché, ca. Mais le JEANNOT aussi, la veritééééééééé !!!!

Vous n'avez qu'a creer un nouveau site: www.sac.com comme ca on ira y deposer son sac poubelle
Rigole
Envoyé par - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 19:25
A Pipo:

1°) Le Petit Clamart c'était, si mes souvenirs sont exacts, un attentat contre De Gaulle alors qu'il circulait en voiture officielle, DS19 si je me souviens bien. Vous regrettez que l'attentat ait échoué??

Vous êtes tellement perturbé dans vos raisonnements, qu'on ne sait jamais si vous êtes fish or meat comme disent nos amis anglais (poisson ou viande);

2°) Quant à l'offensive du FLN, pas besoin de la dater de l'attentat de la casbah, les coups tordus, guet-apens dans le djebel, etc..., tout était déjà largement organisé en sous-main, bien avant cet attentat.

Les "événements" en algérie ont débuté en fait par l'attaque d'un car qui transportait, entre autres, un couple d'instituteurs qui partait au bled pour, justement, instruire les enfants de ces voyous (1955/56, si je ne m'abuse).

3°) Quant à votre suggestion de créer un nouveau site, vous pouvez le faire vous-même, rien qu'avec votre pseudo qui est un vrai poème....Mais vous y serez bien seul, croyez-moi.





Envoyé par Viviane_005 - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 19:52
mais vous etes de la vieille ecole vous avez vecu la guerre moi jamais ce qui explique notre difference de pensees . Vous etes encore dans la guerre vous vivez dans un monde qui est revolue . Juste pour vous prevenir la guerre d'algerie ele est fini il est temps de tourner la page jean maurice viviane pipo .de gaulle il est enterré et on est plus en 1962 on est en 2009
je comprend pourquoi vous avez la haine des arabes.
En fait n vit pas dans le meme monde toi viviane et moi .
Envoyé par Nadine_005 - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:00
En 2009, y a pas de guerre Nadine ? Pas de terrorisme, pas de mouvements dhjiadistes.
Mais d'où sortez-vous donc Alice au pays des merveilles ?

22 janvier 2008 : Israël continue de fournir électricité et aide humanitaire aux Palestiniens de la bande de Gaza [1] . Malgré l'intensification des tirs d'obus et de roquettes des groupes terroristes palestiniens de la bande de Gaza (plus de 4 000 missiles et roquettes ont été tirés depuis qu'Israël s'est retiré unilatéralement de la région en août 2005), l'État hébreu persiste à rechercher la paix avec les Palestiniens. Le 24 janvier 2008, Tzipi Livni, Ministre israélienne des Affaires étrangères déclare : « Nous devons mettre fin au conflit entre nos deux nations, nos deux peuples... Et c'est à cette fin qu'un État palestinien répondant aux aspirations des Palestiniens doit voir le jour. Israël est la mère-patrie du peuple juif, il doit en être de même de la Palestine pour les Palestiniens. » [2]

Du 9 au 11 janvier 2008 : Le Président George W. Bush se rend en Israël. Le Président américain débute en Israël une tournée des pays du Moyen-Orient. Il entend par cette visite faire progresser les négociations de paix qui ont débuté à la conférence d'Annapolis en novembre 2007. Bush exhorte le camp palestinien à démanteler ses infrastructures terroristes, et invite Israël à suspendre la construction de colonies, ainsi qu'à supprimer tous les avant-postes illégaux de colons. [3]

27 novembre 2007 : Sommet d'Annapolis. Le Premier ministre israélien Ehoud Olmert et le Président de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas paraphent une déclaration commune à Annapolis (Maryland), préalablement à des pourparlers de paix. Ce document, qui jette les bases d'accords et engagements pour la paix, stipule que les deux parties mettront en place des comités directionnels. Ces derniers devront être dirigés par les responsables de leurs délégations respectives à la conférence d'Annapolis, et se réuniront régulièrement dès le 12 décembre 2007. Les deux parties conviennent de se réunir toutes les deux semaines et se déclarent confiantes quant à la signature d'un accord de paix final avant fin 2008. [4]

25 juin 2007 : Sommet de Charm el-Cheikh II. À Charm el-Cheikh, Olmert rejoint Abbas, Moubarak et le Roi Abdallah II de Jordanie. Les chefs d'État se réunissent pour évoquer les moyens de contenir le Hamas dans la bande de Gaza et de renforcer le Fatah, le parti d'Abbas, en Cisjordanie. En gage de bonne volonté, Olmert annonce que le gouvernement israélien a l'intention de libérer 250 membres du Fatah qui n'ont pas de « sang sur les mains » et qui s'engagent à renoncer à la violence. [5]

1er avril 2007 : le Premier ministre israélien Ehoud Olmert accepte l'Initiative de paix arabe. En réponse au sommet de la Ligue arabe qui s'est tenu le 28 mars 2007 à Riyad, Olmert se félicite de l'initiative arabe, qui a fait l'objet d'amendements depuis sa formulation en 2002. Il invite les chefs d'État arabes à un sommet en Israël visant à étudier cette initiative et à l'améliorer ensemble. [6]

Du 15 au 23 août 2005 : Retrait de Gaza et de la Cisjordanie. Afin d'atténuer les risques pour les Israéliens résidant à Gaza et pour raviver les pourparlers de paix entre Israéliens et Palestiniens, Israël évacue unilatéralement tous ses ressortissants de la bande de Gaza et du Nord de la Cisjordanie. Cette initiative spectaculaire coûte environ 2 milliards de dollars à Israël et implique l'évacuation d'environ 9 000 Israéliens qui vivent dans les zones concernées. L'opération nécessite également l'exhumation et le transfert en territoire israélien de toutes les tombes de Gaza. Le 12 septembre 2005, dans une initiative de paix historique de la part d'Israël, le dernier soldat de Tsahal quitte la bande de Gaza. [7]

8 février 2005 : Sommet de Charm el-Cheikh I. Sharon participe à un sommet avec le Président de l'Autorité palestinienne Abbas, le Président Égyptien Hosni Moubarak et le Roi Abdallah II de Jordanie. Le Premier ministre israélien annonce la mise en application du retrait israélien de la bande de Gaza et de certaines parties de la Cisjordanie. Abbas et Sharon acceptent un cessez-le-feu. Sharon annonce qu'il espère que ce retrait constituera une avancée dans la feuille de route pour la paix. [8]

18 décembre 2003 : Quatrième conférence d'Herzliya. Lors de cette conférence, le Premier ministre Sharon présente un plan stipulant un retrait israélien unilatéral de la bande de Gaza et de la Samarie du Nord en échange de garanties sur la paix. Le Cabinet israélien approuve le plan le 6 juin 2004 et la Knesset (le Parlement israélien) donne son assentiment le 25 octobre 2004. Ce plan de retrait constitue un immense sacrifice dans l'espoir d'obtenir la paix. Il prévoit l'évacuation de près de 9 000 résidents israéliens habitant à Gaza et en Cisjordanie. Israël propose également ce retrait afin d'encourager une avancée du processus de paix du côté palestinien. [9]

4 juin 2003 : Sommet de la paix à Aqaba. Ariel Sharon et Mahmoud Abbas participent à un sommet en Jordanie pour réaffirmer leur engagement envers la feuille de route. Sharon promet de retirer les troupes israéliennes des zones palestiniennes, tandis qu'Abbas s'engage à mettre fin à l'Intifada et à faire disparaître la culture de la haine des Palestiniens envers Israël. Les chances de réussite du sommet volent en éclats le 19 août 2003, suite à un attentat-suicide perpétré par des terroristes palestiniens à Jérusalem. Le 1er septembre 2003, le cabinet israélien décide d'entrer en guerre contre le Hamas et d'autres groupes terroristes et de suspendre le processus diplomatique avec l'Autorité palestinienne tant que cette dernière n'aura pas prouvé les mesures prises pour mettre fin au terrorisme. [10]

30 avril 2003 : Feuille de route pour la paix. Inspiré par le discours du Président Bush du 24 juin 2002 et par les dispositions des Accords d'Oslo, ce plan est supervisé par le Quatuor, composé des États-Unis, de l'Union européenne, de la Fédération de Russie et de l'Organisation des Nations Unies. Il appelle à une modification importante du gouvernement palestinien et se solde par la nomination de Mahmoud Abbas au poste de Premier ministre de l'Autorité palestinienne. La feuille de route jalonne la progression vers un accord sur le statut définitif, en établissant une série d'étapes dans les domaines sécuritaire et politique. Ce document constitue un point de référence permettant de mesurer l'avancée du processus de paix entre Israël et les Palestiniens. Le Quatuor se réunit régulièrement pour évaluer la progression du plan. [11]

24 juin 2002 : La vision du Moyen-Orient de Bush. Lors d'une allocution prononcée dans le Jardin des Roses, le Président George W. Bush propose un nouveau plan de paix entre Israël et les Palestiniens, évoquant la création d'un État palestinien souverain dans un futur proche. Cette vision implique un changement à la tête de l'État palestinien (ce qui marque une admission de la corruption et du refus de mettre fin au terrorisme caractérisant le régime d'Arafat) ainsi qu'une reformulation du mode de gouvernement démocratique pour les Palestiniens. Par ailleurs, George W. Bush invite les Palestiniens, ainsi que d'autres États arabes qui soutiennent ou tolèrent le terrorisme, à renoncer à ces activités. Ce plan évoque principalement les obstacles au processus de paix émanant des Palestiniens, dans la mesure où les Israéliens ont, à plusieurs reprises, offert des concessions en échange d'un traité de paix, tout en mettant en application diverses concessions. Le plan appelle également à un renforcement de la démocratie dans l'ensemble du monde arabe. [12]

28 mars 2002 : Initiative de paix arabe. Les chefs d'État arabes se retrouvent lors du sommet de Beyrouth. L'Arabie saoudite propose un plan de paix entre Israël et les Palestiniens. Ce plan porte le nom d'Initiative saoudienne ou Initiative de paix arabe. Il stipule le retrait intégral d'Israël sur les lignes du 4 juin 1967, soutient le « droit au retour » pour tous les réfugiés palestiniens et leurs descendants et évoque la création d'un État palestinien dont la capitale serait Jérusalem Est. Les États arabes présents s'engagent à ne pas avoir recours aux moyens militaires pour mettre fin aux hostilités et indiquent que si Israël accepte les conditions stipulées sans les modifier, les pays arabes considéreront que le conflit arabo-israélien est terminé et normaliseront leurs relations avec Israël. Shimon Pérès, ministre israélien des Affaires étrangères répond à cette initiative au nom d'Israël, déclarant qu'Israël considère ce plan encourageant mais que ce projet doit être abordé directement avec les Palestiniens et qu'aucun accord ne peut être conclu tant que les activités terroristes se poursuivent, cette condition n'étant pas mentionnée dans l'initiative arabe. [13]

Du 22 au 27 janvier 2001 : Conférence de Taba. Nous sommes en plein cœur de la Deuxième Intifada. Après le Sommet de Camp David, Israéliens et Palestiniens se retrouvent une dernière fois pour tenter de trouver un accord aboutissant à la création d'un État palestinien. Israël offre 94 % de la Cisjordanie en plus des concessions territoriales portant sur le territoire israélien. La dernière proposition représente 97 % de la surface demandée par les Palestiniens. Le « droit au retour » est également envisagé. Pourtant, la conférence débouche une nouvelle fois sur une impasse. Une déclaration commune émanant des Israéliens et des Palestiniens indique que les deux parties n'ont jamais été aussi proches d'un accord et exprime l'optimisme avec lequel elles envisagent l'avenir. [14]

Du 11 au 25 juillet 2000 : Sommet de Camp David. Désireux de respecter l'échéancier établi par le mémorandum de Charm el-Cheikh, Arafat et Barak participent à un sommet organisé par le Président Clinton à Camp David. Afin d'obtenir une paix durable, Barak propose une série de concessions, notamment le retrait israélien de l'intégralité de la bande de Gaza et de 95 % de la Cisjordanie, la création d'un État palestinien indépendant dans les zones précitées, le démantèlement de toutes les implantations israéliennes dans les zones confiées aux Palestiniens, une compensation territoriale en dehors de la Cisjordanie pour les implantations restant sous contrôle israélien, le contrôle palestinien sur Jérusalem Est et la majorité de la Vieille Ville (à l'exception du Quartier juif), et la « souveraineté religieuse » sur le Mont du Temple. En contrepartie, l'accord impose à Arafat de déclarer la fin du conflit et exclut toute revendication ultérieure sur le territoire israélien. Arafat rejette cette offre sans proposer d'autre solution. Le sommet se solde par un échec mais une déclaration trilatérale pose les bases de prochains pourparlers. [15]

4 septembre 1999 : Mémorandum de Charm el-Cheikh. Ce mémorandum prend pour thème les retards enregistrés dans l'application des Accords d'Oslo. Ces retards sont imputables aux manquements des Palestiniens envers leurs engagements pour la sécurité ainsi qu'au refus d'Israël de redéployer ses troupes après la recrudescence de la menace terroriste dans la zone A (sous contrôle intégral palestinien en matière de sécurité et de gestion administrative). À la même période, Yasser Arafat et Ehoud Barak, le Premier ministre israélien, se rencontrent pour réaffirmer leur engagement envers le processus de paix d'Oslo et fixer une nouvelle date butoir pour la fin des pourparlers de paix : le 13 septembre 2000. [16]

23 octobre 1998 : Mémorandum de Wye River. Le président américain Bill Clinton accueille Netanyahu et Arafat lors d'un sommet destiné à établir les modalités d'application de l'Accord Oslo II, conclu en 1995. Le Mémorandum insiste sur l'importance du respect par les Palestiniens de leurs engagements en matière de sécurité. En contrepartie, à chaque phase négociée de manière satisfaisante, les Palestiniens auront droit à un pourcentage spécifique de territoire (accordé par le biais de mesures diverses, telles que le redéploiement de troupes israéliennes). [17]

17 janvier 1997 : Protocole d'accord sur le redéploiement dans la ville d'Hébron. Le redéploiement de soldats israéliens de la ville d'Hébron, dernière ville palestinienne sous contrôle israélien, est régi par l'Accord d'Hébron. Le protocole est signé par Yasser Arafat et Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien. C'est la première fois que le gouvernement israélien dirigé par le parti du Likoud soutient un retrait des territoires de Cisjordanie (également appelée Judée-Samarie), alors que cette doctrine était auparavant associée au parti travailliste. [18]

26 octobre 1994 : Traité de paix entre Israël et la Jordanie. Après une série de rencontres, le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et le Premier ministre jordanien Abdoul-Salam Madjali signent le traité de paix entre Israël et la Jordanie. Ce traité délimite la frontière internationale, interdit les hostilités entre les deux nations, pose les bases de l'utilisation de l'eau pour les ressources partagées, entérine la liberté de déplacement entre les deux pays ainsi que l'accès aux sites religieux à Jérusalem et normalise formellement les relations entre Israël et la Jordanie. Les relations diplomatiques commencent le 27 novembre 1994. D'autres accords bilatéraux sont signés lors des années suivantes dans divers secteurs tels que l'environnement, le commerce et le tourisme. [19]

28 septembre 1995 : Oslo II. L'accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, parfois appelé « Oslo II » ou « Taba », élargit et remplace l'Accord Gaza-Jéricho de 1994. Ce nouvel accord aborde de nombreux aspects de la transition vers l'autonomie palestinienne, notamment les points suivants : conditions du retrait israélien des zones d'habitation palestiniennes dans la bande de Gaza et la Cisjordanie, modalités de l'élection par les Palestiniens du Conseil palestinien récemment établi et division de la région en trois secteurs correspondant aux responsabilités des groupes en matière de sécurité, à savoir les zones A, B et C. En outre, Israël libère des prisonniers palestiniens en gage de bonne volonté. [20]

25 juillet 1994 : Déclaration de Washington. Pour la première fois, le Roi Hussein de Jordanie et le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin se rencontrent en public à Washington. Ils posent d'importants jalons vers la mise en œuvre d'un traité de paix. Alors que les deux pays sont encore en guerre, un armistice est conclu. Les deux nations acceptent de respecter les résolutions 242 et 338 de l'ONU afin d'obtenir une paix intégrale et durable. Israël accorde à la Jordanie un rôle particulier dans la supervision des sites sacrés musulmans de Jérusalem. Les deux chefs d'État abordent également la future collaboration économique entre Israël et la Jordanie. [21]

4 mai 1994 : Accord de Gaza-Jéricho (ou Accord du Caire). Cet accord conclu entre Israël et les Palestiniens aborde les conditions du retrait israélien initial de la bande de Gaza et de Jéricho ainsi que la création de l'Autorité palestinienne. Bien qu'Israël retire toutes ses forces armées de ces zones (et plus tard de certaines villes palestiniennes de Cisjordanie), l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat ne satisfait pas aux impératifs de sécurité qui lui imposent de réprimer les groupes terroristes tels que le Hamas et le Djihad islamique palestinien. [22]

14 septembre 1993 : Ordre du jour commun Israël-Jordanie. Après presque deux années de pourparlers bilatéraux entre Israël et la Jordanie faisant suite à la Conférence de Madrid, les deux nations signent un Ordre du jour commun posant les bases d'un prochain traité de paix entre elles. [23]

13 septembre 1993 : Accords d'Oslo. Suite aux négociations secrètes entre les Israéliens et les Palestiniens à Oslo, après la conférence de Madrid, le Premier ministre Yitzhak Rabin et le chef de file palestinien Yasser Arafat se serrent la main et signent la « Déclaration de principes sur des arrangements intérimaires d'autonomie », plus connue sous le nom d'Accords d'Oslo. Cet accord stipule le transfert de la souveraineté aux Palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, avec en premier lieu une phase d'intérim. L'objectif de cette démarche consiste à obtenir une autonomie gouvernementale et la tenue d'élections parmi la population palestinienne, puis la signature d'un accord sur le statut définitif dans lequel un État palestinien permanent pourrait signer un armistice avec Israël. Lors de la négociation des Accords, Rabin et Arafat correspondent par écrit. Arafat indique que l'OLP reconnait Israël et s'engage envers la paix, tandis que Rabin déclare qu'Israël reconnaît l'OLP comme un partenaire légitime dans les pourparlers de paix. La stratégie du « territoire contre la paix » est très largement employée lors des négociations. Les Accords d'Oslo sont appliqués dans le cadre de rencontres échelonnées. [24]

Du 30 octobre au 1 novembre 1991 : Conférence de paix de Madrid. Les États-Unis et l'URSS organisent ensemble une conférence en Espagne pour établir le cadre de négociations de paix entre, d'une part, Israël et, d'autre part, la Jordanie, la Syrie, le Liban et les Palestiniens. Il s'agit des premiers pourparlers de paix directs et publics entre Israël et ces quatre partenaires depuis 1949. Cette conférence de trois jours donne lieu à des pourparlers bilatéraux entre Israël et chacun de ses voisins, ainsi que sur des pourparlers multilatéraux portant sur les thèmes du commerce, du développement des ressources et de la prévention de conflits. Cependant, l'initiative de Madrid ne débouche sur aucun accord. [25]

14 mai 1989 : Initiative de paix israélienne. Le Premier ministre israélien Yitzhak Shamir et le ministre de la Défense Yitzhak Rabin annoncent un plan de paix, fondé sur les Accords de Camp David, et articulé autour de quatre thèmes principaux : renforcement de la paix avec l'Égypte (l'un des piliers dans la région), mise en œuvre de relations de paix intégrales avec les pays arabes, amélioration des conditions pour les réfugiés par le biais d'initiatives internationales et établissement d'un gouvernement autonome par intérim, avec notamment des élections palestiniennes, lors d'une période de cinq ans visant à l'établissement d'une « solution permanente ». [26]

26 mars 1979 : Traité de paix entre Israël et l'Égypte. Israël et l'Égypte signent un traité stipulant les conditions suivantes : démilitarisation de la péninsule du Sinaï par les deux pays, retrait d'Israël sur les lignes du 4 juin 1967, abandon des bases militaires, des implantations, des routes et des gisements pétrolifères du Sinaï et normalisation par l'Égypte de ses relations avec Israël. Les autres pays arabes s'opposent à cet accord et el-Sadate est assassiné par des extrémistes musulmans en 1981. Néanmoins, le traité est respecté. [27]

17 septembre 1978 : Accords de Camp David. Après 12 jours de négociations acharnées entre Israéliens et Égyptiens à Camp David, les deux délégations signent les Accords de Camp David. Ce document comporte deux volets : le premier pose les bases d'un gouvernement palestinien autonome en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Le deuxième aborde les futures négociations de paix entre Israël et l'Égypte, invitant à la signature d'un traité de paix dans un délai de trois mois, comprenant un retrait israélien intégral du Sinaï. [28]

19 novembre 1977 : Suite à l'invitation de Menahem Begin, Premier ministre israélien, le Président égyptien Anouar el-Sadate est le premier chef d'État d'un pays arabe à se rendre en Israël pour aborder les perspectives de paix entre les deux pays. [29]


Envoyé par Hélène - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:16
En quelle année êtes-vous née Nadine ?

Et l'histoire pourrait vous donner des idées sur le pourquoi du comment.
Ne dénigrez pas ceux qui vous mouche le nez...

Pipo n'a pas d'arguments très solides, Ryad encore moins...et Caroline n'a pas terminé son premier devoir...mais peut-être faites-vous partie de la même équipe ? En tout cas vous avez de la lecture à faire... Sourire
Envoyé par Hélène - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:21
A Nadine: vos commentaires prouvent, si besoin était, combien vous et ceux de votre génération vivez mal le présent, car vous ne connaissez rien du passé, et vu le nivellement par le bas des cours dans les écoles et universités de la République depuis des années, je n'en suis nullement étonnée.

Parler de ce qui s'est réellement passé contribue à ne pas tomber dans le piège actuel où tombent les ignorants qui se font "bourrer le crâne" par des personnes incultes mais suffisamment rusées pour les manipuler. Ca a l'air de bien marcher avec vous d'ailleurs.

On peut vous "infuser" n'importe quoi, puisque d'après vos propres paroles, il faut "tourner la page". Encore faut-il tourner une page qu'on connaît, Mme Nadine, ce qui n'est pas votre cas.

Quant à la haine des arabes, je vous retourne le compliment: ce sont eux qui parlent de "rayer Israêl de la carte" et non l'inverse.

Au final, votre crise de "jeunisme" n'est qu'un paravent pour camoufler votre trouille que les arabes viennent s'occuper de vous et de vos futurs enfants, alors, c'est mieux, pensez-vous comme vos amis gauchistes, de faire "ami-ami" avec eux, et de vous réfugier dans les clichés simplistes du ":les juifs n'aiment pas les arabes". Dites-le donc à vos grands-parents et à vos parents, je suis sûre qu'il doit y avoir des discussions animées à ce sujet dans vos familles.

Je plains votre famille d'être accablée d'une petite prétentieuse ignorante comme vous, et je ne correspondrai plus avec vous.
Envoyé par Viviane_005 - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:22
En espérant que les musulmans prendront soin de ces pauvres palestiniens et qu'ils se ligueront contre le Hamas et tous ces mouvements islamistes, terroristes, qui cherchent à islamiser le monde, à instaurer la Charia pour le PROFIT de quelques millionaires...

C'est contre cela que Israël se défend...
Envoyé par Hélène - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:33
Vivianne, je ne serais pas surprise que certains et certaines se disent juifs et juives et que ce ne soit pas du tout le cas. Leur propos sont tellement incohérents et délibérément contre Israël.

La guerre se fait à bien des niveaux !

Chabat Chalom à vous et à tous ceux qui sont AVEC le peuple juif !
Envoyé par Hélène - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:36
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Maurice_019 - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:38
Les musulmans ne sont responsable de rien:

[Coran 8:17] Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient. Autrement dit c'est l'absolution par avance pour un meurtrier pour peu qu'il tue un infidèle au nom d'Allah

Ceci explique cela:

[Coran 2:191] Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
Envoyé par Elie_010 - le Vendredi 2 Janvier 2009 à 20:41
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 33 minutes