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Israël : Défense au Moyen-Orient

Fatah : le Hamas perd le pouvoir à Gaza

Un site Internet du Fatah a rapporté ce samedi que le chef de la branche armée du Hamas, Ahmed Jabri, avait admis que son organisation était en train de perdre le pouvoir dans la Bande de Gaza.
51 commentaires
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Envoyé par Aleksander - le Dimanche 7 Mars 2010 à 17:46
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Envoyé par Aleksander - le Dimanche 7 Mars 2010 à 18:44
Dans le FLN algérien, les Kabyles étaient nombreux et jouaient parfois un rôle de premier plan ( je pense à des personnages comme Krim Belkacem ). Cela dit, la vulgate arabo-musulmane était ( et reste ) de rigueur chez les indépendantistes algériens et l'interdit jeté sur la langue, la culture les traditions amazighes demeure très fort, quoique battu en brèche ici ou là.

Sur cette question enfouie, les Européens " de gauche " qui ont salué et parfois appuyé les combats indépendantistes algériens ont totalement accepté le black-out qui était fait ( très tôt, d'ailleurs, par le canal de l'Association des 'Ulémas ) et, pratiquement, eux qui se voulaient pour le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ils ont fait chorus avec les oppresseurs arabo-musulmans.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 7 Mars 2010 à 19:21
att < edmond > moi je suis juif d'alger bab el oued , j'ai tjr été oas et pour l'algerie francaises alors que des communistes juifs eux ont soutenu cette independance algerienne alors que les chefs terroristes FLN ont tjr été contre israel des gens comme ben bella , boumedienne qui a islamisé l'algerie qui a été une grande erreur de soutenir cette independance qui a mis dans la merde bcp de familles pieds noirs arrivés en france , mon pére qui etait commercant à alger et mon gd pére qui avait un immeuble a bab el oued payé par son labeur de travail ont tout laissé à ces bougnoules - j'ai honte que la france apres a fait venir ces travailleurs magrebins apres ce que nous a fait la france ! je veux repondre aussi a aleksander " avec les arabes musulmans ilfaut pas etre gentil comme le sont les gouvernants israeliens comme ce likud de merde avec ce peureux de bibi qui a peur des palestiniens comme des syriens et serait prét à ceder a nos ennemis encore pires que la gauche , pour cela je n ai pas du tout confiance en bibi qui devrait étre destitué s"il donne son aval à des concessions dangereuses si israel fait ces tels concessions - pourquoi qu'israel ne leur dit pas a tous ces arabes tout cela nous appartient car vous arabes vous nous avez volé c ette terre de judee samarie gaza et de jerusalem comme du golan qui n'a jamais eu de vestiges arabo syrien mais seulement juif - israel doit rester sur ces positions et ne rien ceder a l ennemi palestinien ou syrien amen !
Envoyé par Marc_031 - le Dimanche 7 Mars 2010 à 20:58
A MARC ,azul ,shalom
Liens et affinités judéo kabyles
14 avril 2007

Le vent d’antisémitisme qui souffle sur l’Hexagone depuis quelques mois a quelque chose d’atypique, au point où il brouille les grilles d’analyse des experts les plus avisés sur le sujet. Qui aurait pu imaginer un jour que politologues et autres spécialistes du décryptage textuel auraient eu à se pencher avec autant de tonicité sur le cas d’un humoriste ? Les imprécations judéophobes de Dieudonné, mu depuis peu en chantre autoproclamé d’un « prolétariat ethnique français » imaginaire, inaugurent une ère de violence verbale inédite, à faire pâlir l’humour noir des ultras de l’extrême droite.

Que le comique fasse sienne la lutte anti-esclavagiste, c’est une chose. Mais qu’il utilise insidieusement cette cause pour stigmatiser le judaïsme et rallier ainsi, pêle-mêle, à son combat petits caïds de banlieue en mal d’identité, pro-palestiniens de circonstance et antisémites de tous bords, c’en est une autre. Les « Noirs », que les schèmes monomaniaques de Dieudonné ont réduits à un groupe humain apatride dont la seule particularité est la couleur, n’ont pas attendu celui-ci pour arracher leurs droits à la liberté et à la souveraineté quand il l’a fallu. Frantz Fanon doit se retourner dans sa tombe. Les Palestiniens, qui viennent d’élire démocratiquement un successeur à Yasser Arafat, sont en passe de pacifier leurs relations avec Israël et réaliser leur destin national. Amalgamante, simpliste et teintée de préjugés racistes, la pensée de l’humoriste dénote une méconnaissance historique patente qui ne doit pas laisser indifférent.

Les déclarations judéophobes de Dieudonné faites récemment à Alger me choquent profondément. Elles m’interpellent en ma qualité de citoyen français et européen, originaire de Kabylie. L’humoriste français ignorait sans doute qu’il foulait la terre d’un judaïsme millénaire, plongeant ses racines dans le socle punico-berbère antéislamique de cette région. Pétri de clichés orientalistes marinés à la sauce Al-Qaïda « branche humoristique », il ne pouvait pas se douter un instant que cette vieille terre de pluralisme et de syncrétisme religieux abrite la plus ancienne synagogue du monde et l’une des pages d’histoire les plus glorieuses du christianisme : saint Augustin et son école de pensée.

Dieudonné doit savoir que ses anathèmes ne font pas l’unanimité en terre de ceux qu’il identifie à l’emporte-pièce comme des « frères bougnoules », y compris dans la mouvance arabiste.

La réalité empirique offre parfois d’agréables surprises, qui ont le louable mérite de tailler en brèche les thèses dogmatiques développées ici et là dans de nombreuses chapelles « bien-pensantes » de la République. L’Afrique du Nord n’est ni la « banlieue » de la France, ni ce « monde arabe » enturbanné de Delacroix et autres orientalistes de tout poil avides d’exotisme.

Au terme de séjours que j’ai entrepris ces dernières années dans cette partie du globe, notamment en Algérie, j’ai eu l’occasion de me rendre compte qu’il n’existait pas d’animosité avérée à l’égard des Juifs, sauf dans la mouvance arabo-islamiste pure et dure. En Kabylie, une région berbérophone contestataire, j’ai plutôt décelé un surprenant courant philosioniste.

C’est précisément sur cette aire géographique, que j’ai sillonnée dans le cadre de recherches universitaires, que va porter ici mon propos. Il ne prétend ni à l’exhaustivité ni à la vérité ultime. Il apporte toutefois un certain nombre de pistes de réflexion utiles à la compréhension des recompositions multiformes plus globales qui affectent le monde.

La formule « philosionisme kabyle » n’est pas mienne. Je l’ai empruntée à un ami journaliste, lequel, à l’issue d’une passionnante enquête menée auprès d’un éventail représentatif de citoyens français originaires de Kabylie, a établi qu’il existait un véritable élan de sympathie des Kabyles à l’égard des Juifs en général et du sionisme en particulier. Un constat que je partage en grande partie, même s’il y a lieu d’y apporter quelques nuances ici et là.

Depuis l’indépendance algérienne acquise en 1962, la Kabylie est en proie à des soulèvements chroniques contre le pouvoir central. Sa lutte acharnée pour son identité kabyle et l’instauration d’un État démocratique ouvert à la diversité culturelle et cultuelle a conduit à l’émergence d’une élite politique moderniste et laïque mettant en cause l’hégémonisme culturel arabo-musulman dans lequel s’est façonné l’État algérien. En Kabylie, on voue une méfiance notable à l’égard de toutes les influences du « monde arabe ».

Si, à l’instar de tous les peuples, les Kabyles sont travaillés par différentes cultures (berbère, française, algérienne...) et différents courants politiques (socialisme, trotskisme, anarchie, capitalisme, démocratisme), religieux (islam maraboutique, catholicisme, protestantisme évangéliste, laïcisme, athéisme, agnosticisme, paganisme...), en revanche ils présentent une homogénéité identitaire forte, articulée autour de la langue kabyle et de taqvaylit (philosophie de vie kabyle), qui les démarque du reste de l’ensemble algérien. Parce qu’ils ont été le fer de lance de l’opposition à la dictature et à l’islamisme, les Kabyles n’ont cessé d’être taxés par la propagande des régimes successifs de l’ère du parti unique de comploteurs à la solde de la France - « hisb Fransa » (parti de la France) - et du « sionisme ». Au lendemain du raz-de-marée électoral du Front islamique du salut (FIS) au premier tour des législatives de décembre 1991, Saïd Sadi, le laïque leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), un parti d’obédience kabyle, eut des mots âpres : « Nous nous sommes trompés de société ». Une déclaration lourde de sous-entendus.

Nourrissant une attitude de rejet viscéral vis-à-vis de l’« arabo-islamisme », des franges significatives du militantisme kabyle ont développé, très tôt, une sympathie vis-à-vis du sionisme. S’adressant au président algérien de l’époque, Houari Boumediene, dans un courrier rédigé en pleine Guerre des Six jours, Mohand Arav Bessaoud, le leader kabyle de l’Académie berbère, une organisation berbériste pionnière très agissante dans les milieux ouvriers kabyles de la région parisienne, affirmait en substance : « En voulant aider de nombreux pays arabes contre le petit et vaillant peuple d’Israël, vous portez un rude coup au prestige international de l’Algérie, d’autant que ces derniers n’envoyèrent aucun de leurs soldats aux côtés des Berbères durant la guerre de libération qui ne dura pas sept jours, mais sept ans (1) ».

Pour de nombreux Kabyles, travaillés par le berbérisme, le sionisme et Israël tiennent lieu d’idéal de résistance à l’« arabo-islamisme » qu’il convient de suivre. Au-delà de leur aspect identificatoire de lutte contre une même idéologie « ennemie », ils incarnent aussi des modèles réussis de luttes minoritaires pour l’universalité, contre l’oubli et l’extinction d’une partie du patrimoine de l’humanité. À ce titre, L’État des Juifs de Theodor Herzl fut longtemps et demeure un livre de référence dans les cercles avertis.

Objet méconnu des sciences sociales, le philosionisme kabyle a longtemps été un phénomène diffus, difficilement objectivable compte tenu du poids de la censure et de l’autocensure dont ont fait l’objet les Kabyles tout au long des années de plomb du parti unique. Palpable dans la mouvance berbériste, il s’inscrivait dans une posture d’opposition à l’arabo-islamisme. Avec l’ouver ture politique survenue en Algérie à la fin des années 1980 et la montée concomitante de l’islamisme, le philosionisme kabyle s’est insinué dans le discours anti-islamiste propagé par les franges « éradicatrices » kabyles comme le RCD et ses relais berbéristes du Mouvement culturel berbère (MCB).

Plus qu’aucun autre parti kabyle, le RCD s’est attiré la sympathie de segments importants de la communauté juive en France, dont certaines personnalités influentes ont même fini par relayer le discours éradicateur. Une posture, au demeurant, soutenue par certains cercles dirigeants algériens (particulièrement l’armée), en guerre contre le terrorisme islamiste. Pourfendant l’islamisme tout au long des années 1990, le RCD n’a pas hésité à condamner à maintes reprises les attentats qui ont endeuillé Israël à cette époque. Proche de ce parti, le chanteur kabyle engagé Lounès Matoub, assassiné en 1998 après avoir été l’otage miraculé du GIA en 1994, connu pour sa ferveur kabyle, a exprimé à maintes reprises sa judéophilie, arguant que « le peuple kabyle est frère de tous les peuples opprimés, notamment le peuple juif victime de la Shoah ». Membre de l’Internationale socialiste, le Front des forces socialistes (FFS) d’Hocine Ait Ahmed, une vieille formation politique kabyle, qui a pris les armes contre le pouvoir central algérien en 1963, a publiquement condamné la Shoah, au milieu des années 1990, la qualifiant de « séquence apocalyptique de l’histoire ».

Aucun regroupement politique en Algérie n’a eu le courage d’adopter de telles positions politiques. Au sein d’un État algérien se définissant comme exclusivement arabo-musulman, elles sont passibles d’excommunication.

Avec le « Printemps noir » de 2001, un soulèvement kabyle pacifique violemment réprimé par les autorités algériennes faisant 125 morts et des milliers de blessés, le philosionisme kabyle prend un tournant beaucoup plus net. Victimes d’insultes racistes proférées à coups de haut-parleurs par les brigades de CNS (équivalent des CRS), des jeunes manifestants se lancent dans un jeu de provocation en scandant des slogans favorables à Ariel Sharon. J’ai pu lire de mes propres yeux, sur des murs, dans des villages reculés de Haute-Kabylie, des inscriptions pour le moins édifiantes : « Ici Tel-Aviv », « Tizi-Ouzou, Tel-Aviv »... Cette évolution générale est également très palpable dans les débats parfois virulents qui ont cours sur les forums des sites internet kabyles.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les jeunes Kabyles de Kabylie sont nettement plus philosionistes que les Kabyles de France, dont un bon nombre sont façonnés par les discours - ambivalents à l’égard du sionisme et d’Israël - des organisations politiques, syndicales et associatives françaises. Les discours des premiers sont moins policés que ceux des seconds, dont un certain nombre n’ont pas consommé la rupture avec l’identité « beure » dans laquelle l’idéologie des pouvoirs publics et politiques les a confinés (leaders d’organisations antiracistes, artistes, sportifs...).

Vecteur d’une vision géopolitique inédite, la jeunesse de Kabylie n’a éprouvé aucun scrupule à exprimer son soutien à l’intervention américaine contre la dictature baassiste irakienne, identifiée au génocide kurde. Quelques mois auparavant, lors des attentats du 11-Septembre, le mouvement des archs de Kabylie avait organisé une imposante manifestation de soutien au peuple américain à Vgayet (Bougie). Les manifestants étaient bardés de drapeaux kabyles (bleu, vert, jaune) et américains.

L’ensemble de ces gestes et prises de position auraient somme toute été anodins s’ils n’avaient pas revêtu les contours d’un discours politique assumé publiquement par des figures militantes kabyles - il est vrai peu nombreuses - de premier plan. Leader du Mouvement pour l’autonomie de la Kabyle (MAK), le chanteur engagé Ferhat Mehenni (ex-RCD), s’exprimant sur la chaîne de télévision communautaire TFJ, a fait sensation en se disant favorable à l’ouverture d’une chancellerie israélienne en Kabylie, dans la perspective d’une autonomie politique de cette région.

Les liens entre Juifs et Kabyles sont innombrables et multiformes. À l’heure actuelle, ils s’expriment notamment dans les milieux associatifs et artistiques en France Les chanteurs kabyles comme Idir ou feu Lounès Matoub ont été les premiers artistes originaires d’Algérie à s’afficher avec des chanteurs juifs comme Enrico Macias ou d’autres. Projetant de retourner sur sa terre natale, Enrico Macias avait prévu de donner une série de concerts en Kabylie et de se recueillir sur la tombe de son « ami » feu Lounès Matoub. Les contacts sont également nombreux dans les sphères universitaires en France et en Amérique du Nord. Au demeurant, des centres de recherches israéliens suivent de près la problématique berbère et kabyle, publiant des travaux fort documentés sur le sujet.

La laïcité et la francophilie notables de la culture politique kabyle constituent certainement des éléments déterminants de ce lien qui trouve ses soubassements dans la période coloniale. Si les Kabyles furent exonérés par le décret Crémieux (1870) qui conféra la nationalité française à la plupart des Juifs d’Algérie, en revanche ils furent très tôt francisés par l’école de Jules Ferry. Du reste, nombre d’entre eux durent s’installer en métropole dès le début du XXe siècle pour trouver du travail. Sensibilisés précocement aux diverses luttes politiques qui avaient cours en France, ils croisèrent et fréquentèrent des « camarades » de confession israélite dans les organisations de masse, syndicalistes, socialistes et résistantes.

Ces affinités traversèrent le temps et se manifestèrent de nouveau durant la guerre d’Algérie (1954-1962). Alors que de nombreux intellectuels juifs français prirent position contre la torture et la colonisation (Henry Alleg, Pierre Vidal-Naquet, etc.), des chefs kabyles des organisations révolutionnaires algériennes, prophétisant une Algérie multiculturelle et multiconfessionnelle, à l’instar de Ramdane Abane, appelaient Juifs d’Algérie et Européens à se fondre dans le creuset anticolonial.

Présidées par des contextes sociohistoriques et politiques propres, ces affinités procèdent, à n’en point douter, d’un ciment anthropologique commun plus ancien. Elles plongent leurs racines dans le socle berbère préislamique où de nombreux Berbères épousèrent le judaïsme au contact de tribus juives berbérisées. Les traces de ce passé sont encore présentes. De nombreux Juifs séfarades portent des noms typiquement berbères dont ils ignorent l’origine : Timsit (incendie), Zemmour (olive), Mellul (blancheur), Azeroual (celui qui a les yeux bleus), Azoulay (bon)...

En Kabylie, la présence juive est attestée jusqu’à une date très récente dans la région côtière de Vgayet (Bougie). Moins visible en Haute-Kabylie (Djurdjura), elle est toutefois rapportée par la tradition orale à Ait Yenni et dans ses alentours. Administrateur des Services civils de l’Algérie et fin connaisseur de la Kabylie, Jean Morizot soulignait de fortes affinités entre Kabyles et Juifs, s’exprimant jusque dans leurs métiers respectifs : « Il est aisé de le constater aujourd’hui jusque dans la métropole où les uns et les autres ont volontiers transféré leurs activités. Ainsi, par exemple, on voit, côte à côte, Algériens israélites et Algériens kabyles exploiter la plupart des cafés et hôtels ouverts à Paris. » Cela le conduisait à se poser cette question cruciale : « Est-ce seulement coïncidence ou est-ce ascendance commune ? » (2). Ces proximités frappantes, sur lesquelles l’anthropologie devra se pencher un jour, se retrouvent sur le plan linguistique. De nombreux termes hébreux présentent un sens voisin en kabyle : Torah (tura, elle est écrite), Israël (izra ilu, il a vu Dieu), talit (talawt, couverture)...

Les classifications parfois approximatives de certains experts hexagonaux, nostalgiques d’un « royaume arabe » napoléonien qui ne vit jamais le jour, ne sauraient enfermer dans des carcans les expériences humaines des peuples d’Afrique du Nord. Par-delà leurs proximités historiques lointaines et leurs affinités présentes, Juifs et Kabyles, Judéo-Berbères, restent liés par une destinée de minorités peu choyées par l’histoire. C’est cette mémoire commune qu’il convient maintenant de mettre en lumière pour aller de l’avant. 1. Bessaoud Mohand-Arav, « Lettre ouverte au président Boumediene », in L’Observateur du Moyen-Orient et de l’Afrique, Paris, 7 juillet 1967, p. 16. 2. Jean Morizot, L’Algérie kabylisée, J. Peyronnet & Cie, Paris, 1962, p. 60.

Maxime Aït Kaki
Extrait de L’Arche n° 569, septembre 2005 Numéro spécimen sur demande à info@arche-mag.com

Envoyé par Abel - le Lundi 8 Mars 2010 à 02:09
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Envoyé par Dzfoot - le Lundi 8 Mars 2010 à 06:27
vous n'éte pas le Aleksander que l'on connais sur ce site car celui qu'on connais a un léger accends sur certain mot, en plus il a des idée bien plus profonde et plus sincére que vous.
si c'est pour dire des bétises, alors cela sert a rien de venir ici.
et oui les 3/4 des muzz sont des crapules, et oui les 3/4 des musulman sont radical et dangereux pour l'humanité
ce ne sont pas les juif qui font les problemes dans les rue,
ce ne sont pas les juif qui demande au autorité de bloqué des rue entiere pour prié a même la rue. si ce ne n'est pas du proselitisme et tout ca ce passe en france, belgique,....
donc conclusion oui il y a des groupe dit"dormant" en europe qui sont et attende pour passé a l'acion
quand il y a eu la conquéte arabe et que le temple a était detruit, ils ont directement construit une mosqué a la place de notre temple pourquoi?? marqué leur terrictoire qui ont volé au voleur?
que represente Jerusalem pour eux, si ce n'est une propriété juive qui qu'il convoite
encore une fois ce n'est pas nous, juif qui ont changé ou modifié le cour de l'histoire!
vite notre temple reconstruit
VIVE ISREL
AMEN
Envoyé par Yello - le Lundi 8 Mars 2010 à 08:40
Hamas perd le controlle?-oui mais surtout sur elle mème!!!
Continue comme ça,et entre tuez avec de la forces de Fatah!! Tant mieux pour nous!! Clin d'oeil Tire la langue
Envoyé par Bar-oni - le Lundi 8 Mars 2010 à 08:55
att abel > j ai lu ton article tres interessant mais tout ca je le sais cher ami , en plus je parlais avec une jeune kabyle de passage ici originaire de montpellier m'a dit qu'en kabylie il y avait bcp de nomls comme le lien qui est un nom juif "d'apres le musée de la diaspora a tel aviv "beth hatefousfot" mon nom comme pas mal de coreligionnaires sont des noms de tribus berberes convertis au judaisme , mais peut etre il a du en avoir qui ont cédé a la conquéte arabe tombé sur l'AFN , regarde boumedienne et bouteflika ont islamisé l'algerie "ce que les kabyles n aiment pas , " au fait sais tu que un des descendants d'adbel kader vit en israel et a defendu la cause sioniste , car il etait proprietaire de terres dans le nord d'israel qu il a laissé à israel et se nomme golan et en plus a embrass le judaisme - par contre je veux que tu saches que les palestiniens sont un faux peuple inventé des les années 1960 car ils sont un peuple inventé qui n'auront jamais eretz israel qui appartient rien qu'au peuple juif , et ils ont qu'à aller en jordanie ou co-habitent 80 pc de ces pseudo palestiniens ! sache aussi donne moi ton mail je t enverrais un lien trouvé dans youtube que des palos habitant en judee samarie (terre biblique)
sont descendants de juifs convertis de force par les arabes , pour te dire que tout ca est" fumisterie "que ce peuple palos defendu par la cause pourrie israelienne qui n'ont renie leurs judaismes au profit de ces arabos palos qui veulent s'approprier !!
Envoyé par Marc_031 - le Lundi 8 Mars 2010 à 09:23
Marc

Tu pourrais en faire profiter tous le monde ici en affichant ton lien concernant cette video, c'est pas interdit.
Envoyé par Elie_010 - le Lundi 8 Mars 2010 à 10:27
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 18 minutes