|
Israël : Défense au Moyen-OrientIsraël : « Nous renverrons la Syrie à l'âge de pierre !»D'après le « Sunday Times », Israël aurait adressé un très sévère avertissement à Bachar El Assad, par l'intermédiaire d'une tierce partie, au sujet du récent transfert de missiles balistiques de longue portée au Hezbollah : « Si ces missiles sont tirés sur Israël, la Syrie sera considérée comme directement responsable, et c'est elle [...]
61 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 11 heures - i24 News
Il y a 11 heures - Times of Israel
12 Août 2025 - Le Figaro
11 Août 2025 - Le Figaro
25 Juillet 2025 - Le Monde diplomatique
Il y a 11 heures par Rafael_003
10 Août 2025 par Claude_107
30 Juillet 2025 par Blaise_001
30 Juillet 2025 par Blaise_001
27 Juillet 2025 par Blaise_001
Il y a 11 minutes - Torah-Box
14 Août 2025 - Torah-Box
12 Août 2025 - Le Monde Libre
8 Août 2025 - Le Monde Libre
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 18 minutes
La Syrie est un pays frontalier, pour Israël ; et aucun traité de paix n'a jamais pu être conclu avec les Syriens, lesquels se sont toujours rangés parmi les ennemis les plus constants et les plus déterminés d'Israël ( cf. le " Front du refus " ).
Israël n'a pas d'ambitions territoriales concernant la Syrie. A l'inverse, la Syrie sous la dictature de la dynastie Assad, mais aussi avant, se fantasme comme " la Prusse du Proche-Orient ". C'est-à-dire comme fédératrice virtuelle du Machrek, avec l'annexion ou, dans un premier temps, la mise en tutelle, du Liban. Et, bien sûr, la liquidation d'Israël Elle fait d'ailleurs de l'annexion qu'elle souhaiterait faire du Golan un préalable à toute discussion, à toute négociation éventuelle.
Elle se fait l'alliée de Téhéran et le relais efficace entre le régime iranien et ses vassaux et affidés, tout particulièrement le Hezbollah, qui a pris de facto le contrôle du Liban. Téhéran surarme le Hezbollah. Celui-ci dispose de plus de 40 000 missiles, dont, tout récemment, des missiles qui peuvent semer la mort en n'importe quel point d'Israël - ce qui est en quelque sorte une première en matière d'armement d'un groupe terroriste, les Américains n'ayant doté les groupes islamistes d'Afghanistan - du temps où ils luttaient contre les Russes
(desole si je ne ne met aucun accent, j ai un clavier suedois
J imagine aussi, si meme israel acceptait une paix, abbas ne pouvant gerer la situation avec le hamas, l onu se proposera pour garder la region, et c est reparti comme en (non pas 40 quoi que) 67.
Autre chose, Shaul. Rencontrer les dirigeants arabes ? - Mais Israël ne demande pas mieux. Depuis 1947-49, Israël est demandeur, en ce qui concerne des rencontres avec les dirigeants arabes. Ce sont ceux-ci qui s'y refusent. u qui rompent les pourparlers , même lorsque ceux-ci, comme en 2000, ont abouti pour eux à des concessions extraordinaires ( et que, pour ma part, je juge scandaleuses, soit dit au passage ).
Enfin, en menaçant Bachar el-Assad de ramener la Syrie " à l'âge de la pierre " si un des missiles venait à toucher Israël, Benyamin Netanyahu n'a fait que rappeler qu'Israël avait les moyens de punir très durement toute vatteinte à son peuple. Si Bachar continue, il finira par l'avoir, sa grosse fessée. Comme Papa.
Sois sérieux, il y a une certaine décrédibilisation de notre part.
Depuis la mort d'Arrafat, nous avons relevé le moindre pretexte pour ne pas bouger.
Tu sais quoi ?
Il nous faudrait un Sadate chez nous.
Un gars qui en a et qui prend son téléphone pour dire :
" Salut les syriens, j'arrive cette après midi discuter le bout de gras avec vous. A toute."
Imagine une seconde l'effet dans le monde entier!!!
Et là, crois moi, on rattrape 20 ans de conneries et d'erreur de communication.
EXPDRRRR
Mais y a plus que la peau sur les os
C est pas 20 ans toi que tu dois rattraper
Dites mi les gars, savez vous qu'en 2050, les études démographiques prouvent qu'il y aura 50% de juifs et 50 de musulmans en Israël.
Et là, vous faite quoi ? Vous restez comme des gamins avec vos Uzi à tirer sur tout ce qui bouge ?
Je dis ça comme ça, car après tout, ce n'est pas sur ce site que l'on va changer quoique ce soit.
D'ailleurs ici, on ne change rien, on se rassure.
Depuis Itzak Rabin, on n'a plus de leader.
A part ça, à chaque fois, au cours de ces vingt dernières années, qu'Israël a cru pouvoir désamorcer la haine en mettant en application le principe " paix contre territoires " , ce principe s'est retourné contre lui : l'évacuation du Sud-Liban est présentée comme une défaite d'Israël et le Sud-Liban devient une vaste base militaire pour le Hezbollah. L'évacuation de Gaza aboutit à faire de cette zone un 'Hamastan d'où des milliers de roquettes sont tirées sur Israël ...
De plus, en l'état actuel des choses, que pourrait dire Netanyahu à Bachar el-Assad ? - " Tiens, mon pote, je te donne le Golan. Comme ça, tu pourras contrôler nos ressources d'eau, balancer des missiles sur la Haute-Galilée comme vous le faisiez avant 1967. Et puis, tu pourras y installer tes petits copains du Hezbollah. Tiens, puisque je suis à Damas, je vais en profiter pour voir ton autre copain, Khaled Mechaal. J'ai des petits cadeaux pour lui aussi : la moitié de Jérusalem ; la Judée-Samarie ; le " retour " des " réfugiés " : enfin, dis-lui bien que c'est pour commencer : le reste est négociable " ...
Essaye de comprendre deux minutes.
Aller voir la Syrie, ce n'est pas donner le Golan, que l'on redonnera de toute manière un jour mais avec des conditions strès strictes concernant l'eau. Car le Golan, c'est l'eau avant tout.
C'est faire preuve de courage et d'audace politique.
C'est symbolique et dans le même temps cela envoi un message clair au monde entier.
Tu ne peux pas rester chez toi barricadé en attendant la prochaine guerre que tu vas gagner.
Ce n'est pas un projet de vie dans la région.
C'est refaire un gheto qui, relis mon post, s'écroulera à cause du ventre des 20% d'arabe en Israël.
Alors tu fais quoi , Tu ne bouges pas et tu implore Dieu ?
Mais Dieu, Edmond, il se fout de nos histoires.
Alors prenons notre destin en main et allons voir nos ennemis.