Israël : Défense au Moyen-Orient

A la bonne heure ! Car il ne s'agirait pas qu'Israël arme un pays qu'il risque maintenant d'avoir un jour contre lui.

A la bonne heure ! Car il ne s'agirait pas qu'Israël arme un pays qu'il risque maintenant d'avoir un jour contre lui.

Et je l'affirme plutôt deux fois qu'une ! Ah mais ! Nom d'un homme ! comme dit Milou dans " Tintin chez les Bachi-Bouzouks " .

Les "amis" d'aujourd'hui sont les ennemis de demain!!!! BIEN FAIT ISRAEL!!! À part le fait de passer à nos ennemis notre technologie!!!

Il faut effectivement qu'ISRAËL fasse attention à la vente de ses armes pour
que celles-ci ne soient pas décortiquées par les experts iraniens que les turcs
devenus amis des iraniens puissent trouver les contres mesures et les rendre
inoffensives.
De plus, la Turquie sous ce régime islamiste se tourne avec les états fondamentalistes
qui base leur fonctionnement sur la religion en complète contradiction avec ce qu'avait
instauré par Mustafa Kemal.
L'amitié entre ISRAËL et la TURQUIE que l'on croyait solide est en train de s'écrouler et
malheureusement, l'armée turque a perdu en grande partie sa possibilité d'être le
défenseur de la démocratie puisque la religion islamique est en passe de redevenir
la loi.

Effectivement, c'est une mesure de prudence élémentaire ! !

UNE SEULE DEVISE,NE RIEN FOURNIR A AUCUN PAYS ARABE,MEME AMI,DES ARMES OU NOUVELLES TECHNOLOGIES QUI POURRAIENT SE RETOURNER CONTRE LUI ET SURTOUT NE JAMAIS DEROGER A CETTE LOI. NONO

comme pour les chars et les hélicoptère d attaque, la Turquie trouvera d autre partenaire. ca ne peut rendre que la turquie plus forte!

ISRAEL attention on peux pas avoir le beure et l'argent du beure!!!!!!!!!!!!!!
donc plus de vente d'armes ni des manoeuvres avec le traitre islamo turque erdogan qu il aille en enfer

Je voudrais ajouter une remarque : il n'y a pas, pas beaucoup de pays musulmans qui soient de véritables démocraties ( on pourrait établir que la confusion du temporel et du spirituel est à la source de cette situation, mais .c'est un point que je n'aborderai pas ici ). Dans le meilleur des cas, tout ce qu'on peut espérer, c'est un régime autoritaire qui réprime le terrorisme et le fanatisme tout en garantissant les droits des individus dans le domaine, sinon politique, du moins civil.
Tel était, à peu près, le régime installé par Mustapha Kemal Atatürk. Par rapport au Califat, c'était, pour les individus et pour les groupes de la société civile, un immense progrès : on pouvait vivre, travailler, gagner de l'argent, vivre normalement sans avoir à craindre les exactions de l'agha local.
Ce régime, laïc, avait pour pilier l'armée. Il eut contre lui, dès ses débuts, les nostalgiques du Califat et les intégristes de l'Islâm, qui continuaient de dominer les populations frustes des campagnes; par contre, il bénéficiait de la neutralité très positive des confréries çoufies.
Lentement mais sûrement le pays se développait. Il faisait partie ( c'est toujours le cas ) de l'OTAN et avait établi d'excellents rapports avec Israël.
Dans les années 60 et 70, il s'orienta vers l'entrée dans l'Union Européenne. Tel était en tout cas le souhait des milieux d'affaires et aussi des classes moyennes urbaines supérieures, notamment l'intelligentzia, très occidentalisée.