|
Israël : Défense au Moyen-OrientLe Fatah envisage une nouvelle « intifada des pierres » à JérusalemEst-ce que l’échec des pourparlers de paix entre Israël et les palestiniens déclenchera une nouvelle vague de violence dans la région ? Une source du Fatah, le soi-disant parti (groupe) politique (terroriste) modéré du président Mahmoud Abbas, a déclaré dimanche que suite à la reprise des constructions et à l’impasse dans les négociations avec Israël, plusieurs organisations terroristes pensent qu’il est temps de renouveler la lutte violente sous la forme d’une nouvelle « intifada des pierres ».
Avec pour toile de fond la situation politique explosive, les leaders du Fatah recherchent des alternatives depuis quelques semaines. Selon cette source, le mouvement va envisager de revenir à la lutte dans certains districts du Fatah, y compris à Jérusalem.
Des responsables du mouvement craignent que l’impasse politique ait terni l’image du Fatah, en particulier à la lumière du fait qu’il n’y a pas de signe d’une augmentation de la « lutte populaire » contre Israël, comme l’avait décidé la conférence du mouvement, et adopté comme politique par ses dirigeants.
La source a indiqué qu’à la lumière des développements récents, le Fatah est dépeint comme était trop passif (un problème pour un groupe terroriste, même modéré), et qu’il s’installe comme ne délivrant que des déclarations à la presse. Cet état de fait doit avoir un rapport avec la corruption légendaire des dirigeants palestiniens, qui, contrairement à leur population, gouttent au luxe et aux mannes de dollars et d’euros envoyés par les occidentaux.
Il a souligné, toutefois, que le discours interne sur la question n’entraîne pas nécessairement un retour immédiat à la voie du terrorisme, à cause de ce qu’il définit comme des « considérations supplémentaires », dont l’influence de nombreux membres du Fatah sur le gouvernement de Salam Fayyad (le premier ministre palestinien), qui s’opposent fermement à toute lutte violente, y compris les jets de pierres.
La source note qu’il y a une différence entre les membres du mouvement et la volonté du peuple palestinien qui semble vouloir un nouveau conflit avec Israël. Une remarque qui devrait aider les journalistes français à ne pas s’apitoyer sur le sort des soi-disant civils palestiniens qui pourraient, logiquement, êtres victimes de leur envie d’en découdre avec Israël. Articles connexes
45 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - i24 News
Il y a 2 heures - Times of Israel
Il y a 7 heures - Le Figaro
2 Mai 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
Il y a 8 heures - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 23 minutes
mais en france helas c est une autre histoire, mais ca viendra toujours en retard comme dab
Durant plus de 700 ans – du début du 8ème siècle à pratiquement la fin du 15ème siècle – des dirigeants musulmans ont gouverné l’Espagne, et l’islam prospéra sur la péninsule ibérique. En 732 apr. J.-C., une armée musulmane aux ordres de l’émir Abd al-Rahman se retrouva à environ 250 kilomètres de Paris, avant d’être stoppée à mi-chemin entre Tours et Poitiers, en France. L’islam se répandait en Europe et atteignit son apogée au 8ème siècle. Ensuite, les forces non musulmanes reprirent du terrain et, finalement, en 1492, les armées du roi Ferdinand et de la reine Isabelle reprirent le dernier bastion musulman : Grenade. Après cette date, l’Espagne fut débarrassée de la domination musulmane. En quelques années, le reste de la population musulmane se convertit à d’autres croyances, et l’islam disparut des contrées qu’il avait soumises.
Cinq siècles plus tard, de nouveaux convertis en Espagne, associés à des immigrants musulmans, pour inaugurer la nouvelle grande mosquée de Grenade, provoquèrent l’étonnement d’un grand nombre d’Européens : « Se pourrait-il que l’histoire se répète ? » A l’avenir, l’histoire conflictuelle entre l’Europe et l’islam aura des conséquences importantes sur les événements. Nous devons prendre conscience des faits historiques, et savoir où aura lieu, d’après la Bible, ce conflit inévitable.
Cette prescience politique pourrait nous inviter à considérer avec un peu d'inquiétude une autre de ses formules, énoncée lors de la campagne présidentielle de 1974: «Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, mais le seul ennemi commun qui pourrait exister serait l'islam.» L'actualité européenne de ces derniers mois donne en effet l'impression que dans la plupart des pays membres l'islam est devenu sinon un ennemi, du moins un problème commun (lire les reportages en Allemagne, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et au Danemark). D'un seul coup, cet espace de tolérance ne supporte plus ce qu'il acceptait il y a encore peu. La Grande-Bretagne, qui a perdu son flegme, ne veut plus qu'on brûle les livres de Salman Rushdie à Bradford, l'Allemagne s'inquiète soudain des prières installées de longue date dans les jardins publics de Mannheim, l'Espagne se met à condamner des imams qui s'inspirent de trop près du Coran. Partout semble décrétée «la fin de la dictature de l'euphémisme», selon la formule du ministre français de l'Intérieur annonçant que nous sommes «en guerre» contre le «djihadisme global».