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Israël : Défense au Moyen-OrientHamas : « nous allons occuper Haïfa et Akko »Alors qu’Israël et les palestiniens, enfin, une partie des palestiniens, tentent de renouveler les pourparlers de paix, le Hamas continue ses déclarations de guerre : le ministre de l’intérieur du gouvernement (…) Hamas à Gaza, Fathi Hamad, a déclaré lundi que les palestiniens « occuperont Haïfa et Akko ».
S’exprimant lors d’une visite dans une ‘université’ de la ville de Khan Younis, Hamad a fait référence à l’opération israélienne dans Gaza, disant que « l’ennemi sioniste est encore blessé par sa défaite dans la guerre, et se prépare à une nouvelle tentative de détruire la résistance palestinienne. » Personne n’oublie pourtant les supplications du Hamas, durant cette opération israélienne (et non pas une ‘guerre’), pour que la communauté internationale presse Israël d’y mettre fin.
Hamad a aussi mentionné les menaces de poursuites contre les responsables israéliens à travers le monde. « Les commandants ont peur de voyager dans de nombreux pays, » selon lui.
En ce qui concerne le premier ministre Benyamin Netanyahou, Hamad a déclaré : « nous allons occuper Haïfa et Akko. Nous aurons des armées du monde entier, et les convois qui arrivent à Gaza sont porteurs de messages à notre peuple, lui disant que nous devons respecter la voie du djihad. L’ennemi cherche à imposer un siège sur nous, mais ils sont ceux qui sont en état de siège et derrières des clôtures. » Une remarque qu’on pourrait lui suggérer de faire à la presse internationale, qui continue de croire que Gaza est dans un état catastrophique. Apparemment c’est loin d’être le cas, on dirait même qu’ils en redemandent.
Le ministre de l’intérieur du Hamas s’est tourné vers le président palestinien Mahmoud Abbas, disant que « peu importe le nombre de concessions que vous faites, elles ne satisferont pas les israéliens et les américains. »
Ces remarques ont été faites avec en toile de fond des messages véhiculés par le Hamas à nombre d’éléments internationaux. Le chef du bureau politique (…) du groupe terroriste, Khaled Mashaal, a même déclaré à Newsweek que son groupe ne s’opposerait pas à un accord de paix si celui-ci gagne le soutien de l’opinion publique palestinienne. Articles connexes
26 commentaires
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aujourd ' hui , le kosovo est indépendant , et l ' albanie va en faire très prochainement une province albanaise , alors je me pose la question , à quand les nouvelles conquêtes islamiques ( ou musulmanes ) sur le continent européen , que ce soit la france , l 'allemagne , l 'italie , la belgique , l 'angleterre ... etc...
mon D.. que de laxisme ... et les états unis d 'amérique , ?
pourquoi pas ?
l 'avancée des islamistes est là , avec le laxisme du monde libre qui va à sa perte !
Qu'ils s'occupent déjà de retourner chez EUX EN EGYPTE d'où ils ont été balancés avec pertes et fracas par mou-ba-raque qui en avait marre de leurs con..eries et de la destruction de son pays par ces "cinglés"!!!!
On arrive bientôt à halloween, c'est la période des déguisements, alors ils se préparent les "hallalloween"...
Si ils pensent faire "soi-disant peur" au monde entier avec leurs cagoules, il faudrait déjà qu'ils commencent par les mettre à l'endroit. Comme d'hab., tout ce qu'ils font, ils le font de travers, même porter une cagoule. (Hi, han!!!!).
AM ISRAEL HAY
A présent, Israël a la même vision de la part des USA. Alors que les Etats-Unis sont devenus essentiels à la sécurité d’Israël après 1967, Israël est beaucoup moins dépendant des USA aujourd’hui. La quantité d’aide que les Etats-Unis fournissent à Israël a diminué de façon significative à mesure que l’économie israélienne a augmenté. Sur le long terme, une rupture avec les USA serait significative, mais on note avec intérêt que sur le court terme, les Israéliens seraient en mesure de fonctionner très efficacement. Israel fait face cependant à ce problème stratégique : sur le court terme, il dispose d’une liberté d’action, mais ses actions pourraient changer le cadre stratégique dans lequel il opère sur le long terme. La menace la plus significative pour Israël n’est pas l’opinion mondiale ; bien que non négligeable, l’opinion mondiale n’est pas décisive. La menace pour Israël est que ses actions vont générer des forces dans le monde arabe qui en définitive modifieront l’équilibre du pouvoir. Les conséquences politico-militaires de l’opinion publique sont la question clé, et c’est dans ce contexte qu’Israël doit évaluer sa rupture avec la Turquie.
Le changement le plus important pour Israël ne serait pas l’unité entre les Palestiniens, mais un retour de la stratégie politique de l’Egypte vers la position qu’elle tenait avant Camp David. L’Egypte est le centre de gravité du monde arabe, le plus grand pays, et auparavant la force motrice derrière l’unité arabe. C’était la puissance qu’Israël craignait par-dessus toutes les autres. Mais l’Egypte de Moubarak a fait évoluer sa position par rapport aux Palestiniens, et bien plus important, permis à la puissance militaire de l’Egypte de s’atrophier.
Si le successeur de Moubarak choisit de s’aligner avec ces forces et décide de reconstruire la capacité militaire de l’Egypte, alors Israël serait confronté à une équation régionale très différente. Une Turquie hostile alignée avec l’Egypte pourrait accélérer le rétablissement militaire égyptien et créer une menace significative pour Israël. Le parrainage turc de l’expansion militaire syrienne augmenterait encore plus la pression. Imaginez un monde dans lequel les Egyptiens, les Syriens et les Turcs forment une coalition qui ranime la menace arabe sur Israël et les Etats-Unis revenant à leur position des années 1950 quand ils ne soutenaient pas matériellement Israël, et il devient clair que le pouvoir émergent turc associé à une évolution politique du monde arabe représenterait un profond danger pour Israël.
Les dirigeants libanais n’avaient pas montré beaucoup d’empressement à recevoir chez eux un personnage sulfureux mais ils en avaient été contraints par le président syrien qui bénéficie toujours d’une force de pression locale. Ils avaient alors tout fait pour limiter l’impact de cette visite en minimisant leur collaboration parce qu’ils craignaient qu’Ahmadinejad n’use de provocation à l’encontre du voisin israélien. Ils ont donc trainé des pieds pour orienter la visite vers un échec cuisant. De ce point de vue, les libanais se sont montrés courageux et efficaces.
L’opinion libanaise n’était pas favorable à mêler le Liban aux querelles irano-israéliennes. Le gouvernement de Saad Hariri est déjà suffisamment empêtré de la présence de milices islamiques armées sur son territoire. Après avoir déploré le fait qu'Ahmadinejad considère le Liban comme « le seul pays de confrontation avec Israël », l'ancien député Farès Souhaid avait estimé que : « jusqu'à présent, le Hezbollah disait qu'il ne constitue pas une structure iranienne au Liban et que son objectif est de défendre la terre libanaise occupée et de participer au pouvoir. Mais la visite d'Ahmadinejad a permis d'abattre les cartes sur ce plan et a montré que l'allégeance du Hezbollah à l'Iran est plus forte que toute autre allégeance. »
Pourtant, ma rigolade est freinée par la considération que la réconciliation peut-être en cours entre Fata'h et 'Hamas, si elle se confirmait et si, comme on le laisse prévoir, elle se concrétisait par l'entrée en Judée-Samarie ( via la Jordanie ) de contingents militaires du 'Hamas ( des brigades Ezz El-Din El-Kassam ), pourrait se traduire, non pas par l' " occupation " de Héifa et d'Akko par les tueurs du 'Hamas, mais par des tirs de missiles sur ces villes.
Cela étant déclencherait immédiatement la prise de contrôle militaire totale par Tsahal de toute la Judée-Samarie.
on entend que cette essay!!!
pour nous un tres belle pretexte pour finire definitfment avec eux,un fois pour tout!!
-et cette fois peu importe ce qui-ils disent les onusiens,les ue,et d'usa,-----on arret quand on est finie!!