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Israël : Défense au Moyen-OrientLe Hezbollah quittera le gouvernement si la crise autour du tribunal Hariri n’est pas régléeLe Hezbollah et les alliés du groupe terroriste prévoient de quitter le « gouvernement » libanais, ce qui renverserait le gouvernement d’union, selon une déclaration faite par un haut responsable mercredi.
La décision prise par le groupe terroriste chiite soutenu par l’Iran est liée aux tensions résultant de l’enquête du tribunal international sur l’assassinat en 2005 de l’ancien premier ministre libanais Rafik Hariri. Des membres du Hezbollah devraient êtres mis en accusation par le tribunal, qui remettra ses conclusions dans « quelques heures ou jours » selon un rapport paru mercredi dans le journal libanais An Nahar.
Un fonctionnaire allié du Hezbollah a dit que les ministres du groupe et leurs alliés démissionneront du gouvernement sauf si le premier ministre soutenu par l’occident, Saad Hariri, s’engageait à répondre à leur demande d’organiser une réunion d’urgence du Cabinet pour parler de la crise liée au tribunal.
Hariri est actuellement en visite d’état aux Etats-Unis, où il devrait rencontrer le président américain Barack Obama mercredi.
Parmi les sujets sur lesquels les deux hommes devraient discuter, les tensions au Liban résultant de l’enquête de l’ONU sur l’assassinat de l’ancien premier ministre devraient avoir une place importante. Il était le père de l’actuel premier ministre.
La Syrie et l’Arabie Saoudite ont récemment échoués à parvenir à un accord visant à calmer la situation.
L’enquête du tribunal sur le meurtre devrait directement accuser des membres du Hezbollah. Beaucoup craignent que ces conclusions pourraient entraîner une reprise des hostilités entre les rivaux chiites et sunnites ou, dans le pire des cas, qu’elles entraîneraient l’effondrement d’un gouvernement d’union déjà très fragile.
Obama et Hariri devraient également discuter d’autres questions régionales.
Obama a également discuté mardi de la situation au Liban lors d’une conversation téléphonique avec le roi Abdallah d’Arabie Saoudite, selon la Maison Blanche.
Obama a dit au roi que, compte tenu « de leur volonté commune du bien-être du Liban et pour soutenir le premier ministre Hariri, il a hâte de continuer à travailler ensemble avec l’Arabie Saoudite et d’autres partenaires pour soutenir la souveraineté du Liban, son indépendance et sa stabilité, » selon une déclaration publiée par la Maison Blanche. Articles connexes
56 commentaires
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les USA viennent de lui tailler les croupieres et tout le magreb soutenu avec sa complicte va tomber comme un chateau de cartes s en suivront la jordanie l iran et c est la le coip de grisous orchestré par Obama l amerique reprend la main quitte ensuite a s investir au nom de la democratie pour la proteger juste retour des choses apres avoir ete decriée on n y est pas encore mais wait and see
israel verra aussi les palestiniens de cisjordanie demander la democratie et vouloir etre integres a la jordanie dans un etat qui leur a ete usurpe par la famille royale avec la complicite des anglais
toute la geopolotique va changer ce ne sera pas la fin des problemes pour israel mais le debut d une aventure diplomatique sans precedent depuis sa creation avec les risques de guerre s eloigner peu a peu
IL Y A 48 H ELLE PROPOSAIT CRS FORMATION ET METHODES A BEN ALI ERREUR SUPREME OBAMA DOIT BIEN RIGOLER EN CE MOMENT APRES AVOIR RECU SARKO IL Y A 3 JOURS SANS RIEN LUI DIRE LUI QUI SAVAIT WIKILIK INFO
L ALLEMAGNR VA TIRER UNE FOIS DE PLUS LES MARRONS AUPRES DES AMERICAINS ET LA FRANCE DEVRA SE CONTENTER DE SE NOURRIR DE MIETTES
IL FAUT QU ELLE OPERE UN VIRAGE A 180° CESSER DE CROIRE QUE L ON PEUX A L INFINI JOUER LES FUNAMBULES ET ADOPTER DES REFLEXES NOUVEAUX PLTEAU QUE DE CRIER AU LOUP ET CAUTIONNER DES GAZAOUITES ETC....LEUR RENDRE VISITE COMME VA LE FAIRE ALLIO MARIE NE PEUX QUE LES RENFORCER LE VENT TOUNE ET LA FRANCE VA DEVOIR TIRER LA GRAND VOILE
chalom.fawzi
Ou alors c'est la fuite en avant et il continue a armer le Hezbollah, comme avec les missiles anti-chars.
Ce sera un bourbier pour la France et rien d'autre ou alors un affrontement direct avec Israel
De toute façon le nouveau modèle tunisien risque bien de tourner une page dans ce monde arabe pourrit et à bout !
Que va-t-il se passer ? Comment va évoluer la Tunisie et, au-delà, l'ensemble du Maghreb et du monde arabo-musulman ? Est-on là au début d'une vague révolutionnaire qui changerait complètement la donne géo-politique ?
Pour certains - je pense au trotskyste Edwy Plénel, patron de " Médiapart " - , le mouvement tunisien en cours valide la stratégie du NPA : l'alliance stratégique avec les masses de l'immigration musulmane ( on donne Olivier Besancenot, candidat probable du NPA à l'élection présidentielle de 2012 comme devant arriver à la quatrième place, derrière le PS, Mme Marine Le Pen, et Nicolas Sarkozy - l'ordre de préséance entre ces trois personnes n'étant pour l'heure pas garanti ). Pour Plénel, " la question sociale peut être un levier là où nous ne voyons que la question religieuse " : tout est dit, dans cette phrase très claire : peu importent les tropismes islamistes des masses musulmanes ( en Tunisie, en France et ailleurs ) : ce qui compte vraiment, et la Tunisie vient de le montrer, c'est la question sociale - la question religieuse n'étant qu'épiphénoménale.
Il est donc à prévoir que les événements qui se sont produits - et, plus encore, ceux qui, viendraient à se produire - en Tunisie seront, sont déjà, scruté de très près- notamment par tous ceux ( et ils sont nombreux à l'extrême-gauche et, plus largement, à gauche ) à qui ils offrent, près d'un demi-siècle après la victoire de la
Révolution algérienne, un nouvel espoir, un nouvel avatar du substitutisme qui marque, depuis très longtemps, l'extrême-gauche et la gauche européenne, pour qui la stratégie qu'avait définie Mao Zedong, dès les années trente du siècle dernier ( encercler les " villes " - les métropoles des pays développés - par les " campagnes " - c'est-à-dire par les masses de tous les Tiers mondes ) offre un Ersatz de l'introuvable révolution prolétarienne - et un Sonderweg bienvenu vers le triomphe de la révolution mondiale.
Maintenant, si on laisse un moment de côté Plénel et Besancenot, comment peut-on ( certes à chaud, et avec tous les risques que cela comporte ) analyser les événements de Tunisie et, surtout, évaluer leur impact sur la Maghreb tout entier et sur le Machrek ?
D'abord, je ne suis pas sûr que la Tunisie fasse totalement et tout simplement exemple pour ces régions - car elle constitue un cas très particulier. Zine El-Abidine Ben Ali a perdu la partie : vae victis ! - Mais son régime, s'il n'avait rien d'une démocratie au sens où nous l'entendons, était cependant loin d'être le pire, à beaucoup près, de tous ceux qui florissent en ces régions. Ben Ali était corrompu ? - Bien sûr ! Comme TOUS les dirigeants arabes sans exception ( les pétro-monarques étant hors-jeu de par la manne des pétro-dollars ). Il était autoritaire ? - Sans aucun doute. Mais, encore une fois, si on le compare à ses pairs et compagnons des pays arabes, on verra qu'il y a pire ...
J'irai plus loin : si la révolution triomphe aujourd'hui à Tunis, c'est que Ben Ali n' a pas fait ce que d'autres auraient fait sans états d'âme : noyer le mouvement dans le sang. Il y a eu des morts ? - Certes, et on ne peut que le déplorer, à commencer par ce malheureux jeune homme de Sidi Bouzid, Mohammed Bouazizi. Mais, il n'y a pas eu le bain de sang ( quelque 800 morts ) par lequel le régime du général Chadli Bendjedid avait répondu aux émeutes de la misère à Alger en octobre 1988 ( sans parler des 300 000 morts de la guerre civile qui a suivi les élections de décembre 1991 ) ; ni celui dans lequel ( 10 000 à 30 000 morts ) Hafez El-Assad avait plongé la ville de Hama en février 1982.
Je voudrais faire une comparaison qu'on pardonnera à l'ancien prof' d'Histoire que je suis : la révolution des Trois-Glorieuses jette à bas, en juillet 1830, le régime du roi Charles X. Les combats font au total ( soldats + insurgés ) quelque 1300 victimes en trois jours. Pourtant, le roi Charles X choisit de ne pas ECRASER le mouvement populaire, et de fuir.
Dix-huit ans plus tard, les Journées de Février viennent à bout de la Monarchie de Juillet. Elles font 350 victimes en trois jours. Le roi Louis-Philippe se voit conseiller par Adolphe Thiers et par le général Bugeaud d'assiéger Paris et de déclencher une répression de grande ampleur. Il refuse ce plan ( que Thiers devait appliquer vingt-trois ans plus tard, contre la Commune de Paris ), car il ne veut pas, déclare-t-il en
substance, plonger son peuple dans un bain de sang. Et lui aussi part pour l'exil plutôt que d'ECRASER le peuple.
C'est, en gros, ce que vient de faire Ben Ali.
La Tunisie est un pays qui a subi - dans une certaine mesure, certes - l'empreinte de quelque chose qui, sans être de la démocratie, y touchait tout de même par certains côtés.
Tout cela pour dire que je suis sceptique quant à la valeur d'exemple ou de modèle que pourrait prendre, ailleurs au Maghreb, ou au Machrek, la " révolution de jasmin " . Bien sûr, je peux me tromper complètement : on ne devrait pas tarder à le savoir.
Une autre question que l'on peut se poser ( mais la précédente : l'extension, ou non, du mouvement , y est liée ) est ce qui pourra bien sortir des urnes. Le mouvement islamiste Ennahda est interdit ( et son chef, Rachid Ghannouchi, est en exil ). Cette interdiction sera-t-elle maintenue ? Et, même si elle l'était, les islamistes ne trouveraient-ils pas les moyens de tourner l'interdiction ? - Qu'adviendrait-il d'un régime islamiste à deux heures d'avion de Paris ? Sa seule existence suffirait-elle à déstabiliser les Etats voisins ? Verrait-on la France intervenir ... ?
Verra-t-on, enfin, en Algérie, au Maroc, en Lybie ; en Jordanie, en Cisjordanie ( je reprends ce mot - qui ne fait pas partie de mon vocabulaire - au post de Jcl ), en Egypte, En Iran ( ... ) , se propager une onde de choc issue de Tunisie ?