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Israël : Défense au Moyen-Orient

Des milliers de Libanais et de Jordaniens aux frontières d'Israël dimanche pour la Nakba

Dans le cadre des manifestations de la Nakba, des milliers de Libanais et de Jordaniens se masseront dimanche aux frontières d'Israël pour revendiquer leur ''droit au retour''. Selon l'un des organisateurs des manifestations libanaises, 50.000 participants venus de ''tous les camps de réfugiés'' seront présents pour ''le plus grand rassemblement palestinien à la frontière israélo-libanaise depuis 1948".
Rappel Guysen: la "Nakba", ou catastrophe que constitua pour les Palestiniens la création de l'Etat juif, s'est traduite par l'exode de quelque 760.000 Palestiniens, encouragés par les pays arabes à s'exiler après avoir reçu la promesse qu'ils rentreraient chez eux par la grande porte ''une fois que les juifs auraient été jetés à la mer'' par leurs soins.
21 commentaires
--- 750.000 palos sois disant réfugiés, que les pays palos ont mis de coté,
pour avoir des avantages par l'amérique et les Européens , ces mendiants éternels ,
qui pleurnichent sans cesse , et n'ont jamais travailler de leurs vies, que voler et tuer ,
et continuent à le faire §§ alors que plus d'un millions de juifs éxpulsés par les pays
muzz qui n'ont rien demandés ?eux, et les juifs du monde ont fait d'un désert répugnant une oasis, un paradis, que
tout le monde nous envie et que ces muzz pédophiles et cancéreux veulent prendre ! ! !.
Envoyé par Chabbat - le Dimanche 15 Mai 2011 à 00:33
Ils croient peut-être pouvoir jouer la grande scène de l'acte III de la super-production " Révolutions arabes " ? ... Une grande marche millénariste et irrésistible qui submergerait toutes les défenses d'Israël et les conduirait à occuper triomphalement Tel Aviv et Jérusalem ... - Israël a les moyens, policiers et militaires notamment , de faire échouer ces fantasmagories. Et " on " ne fera pas à Israël le coup de la Libye ou de la Côte d'Ivoire !! Rigole Rigole Rigole
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 00:43
Qui tient la Judée et la Samarie tient la veine jugulaire d’Israël » -(Menahem Begin à Jimmy Carter en 1977)
admin 7 Comments



Jimmy Carter, fermier cultivateur d’arachides, avait transformé la Maison Blanche en un établissement austère. En accord avec ses convictions calvinistes, il se moulait dans le rôle d’un citoyen-président. Il interdisait qu’on l’appelle Chef, avait presque supprimé le budget loisirs, vendu le yacht présidentiel, réduit la flottille de limousines, et, plus généralement, débarrassé son palais de toutes ses manières, artifices et prétentions. Il portait lui-même son attaché-case.

Aussi, lorsqu’il accueillit le Premier Ministre Menahem Begin à la Maison Blanche, en juillet 1977, avec une cérémonie aussi flamboyante que pour un roi, une salve de 19 coups de canon, une revue de tous les services armés et une parade chorégraphique de la Vieille Garde du Corps des Fifres et Tambours, en livrée blanche, de l’Armée Révolutionnaire, les médias estimaient, avec juste raison, qu’il s’agissait d’une marque de haute estime, ou de pure flatterie.

L’ambassadeur américain, Samuel Lewis, a confié qu’il s’agissait d’un peu des deux : «Le Président était persuadé qu’en traitant Begin avec du miel, il en obtiendrait bien davantage qu’avec du vinaigre.»

Et, de fait, les discussions avaient démarré d’une manière décente. Les deux dirigeants et leurs conseillers avaient échangé leurs points de vue sur des sujets aussi sensibles que les pourparlers de paix israélo-arabes de Genève, la mauvaise conduite soviétique dans la Corne de l’Afrique, et les menaces de l’Organisation Armée de la Palestine au Sud Liban. Ensuite, il y avait eu une pause, et quand le café avait été servi, le Président [américain] et le Premier Ministre [israélien] l’avaient siroté en silence, chacun jaugeant l’autre, comme si, d’un commun accord, ils se préparaient à ce qui allait suivre.

Ensuite, Begin présenta, d’une manière extrêmement détaillée, la croyance du Likoud au droit inaliénable du peuple juif sur la terre d’Israël. S’agissant du premier sommet entre un Premier Ministre du Likoud et un Président américain, Menahem Begin avait décidé que Jimmy Carter entendrait sa position à la source même.
Le Secrétaire d’État, Cyrus Vance, homme habituellement calme, commença à s’agiter en entendant dire qu’Israël ne renoncerait ni à la Judée, ni à la Samarie, ni à la bande de Gaza. Il soutenait que cela rendrait vain tout plan de paix pour une conférence de Genève.
Le Président pensait de même. Carter affichait un masque de politesse, en regardant ses notes, mais on pouvait voir, à ses mâchoires serrées, qu’il contenait son irritation intérieure. Il répondit, avec son accent de paysan : « Monsieur Le Premier Ministre, mon impression est que votre insistance sur vos droits sur les Territoires et Gaza peut être interprétée comme un signe de mauvaise foi. Elle fera comprendre votre intention de rendre permanente l’occupation militaire de ces zones. Cela mettra un terme à tous les espoirs de négociation. Il serait incompatible avec mes responsabilités de Président des États-Unis de ne pas vous le dire, aussi exactement et aussi sincèrement que je le peux, MONSIEUR BEGIN ! »

Tandis que l’exaspération faisait étinceler ses yeux d’un bleu pâle, Carter martelait : “Il ne peut y avoir d’occupation militaire permanente de ces territoires conquis par la force”



Nous, les officiels israéliens, qui étions autour de la table de conférence, dans la Salle du Conseil, où avait lieu la réunion, regardions chacun d’eux du coin de l’œil. Mais Begin s’était préparé à cette rencontre avec ce Président de la période post-Watergate et de renouveau moral, Carter, le prêcheur, sensible à la droiture personnelle.

Puis, Begin se pencha en arrière et se mit à fixer, d’un regard faussement doux, au-dessus de la tête du Président, le vieux chandelier de bronze, qui surplombait la grande table de chêne. Il n’allait pas se laisser bousculer.

Il savait que lui et le Président étaient sur des trajectoires totalement différentes, et qu’il s’agissait d’une confrontation sans issue à propos du cœur du pays biblique. Carter était tout aussi ferme, il ne plierait pas. Néanmoins, Begin devait, d’une manière ou d’une autre, persuader cet homme de jugement, désireux de soigner et de guérir, ce réalisateur énergique à l’esprit empirique d’ingénieur, qu’il voulait vraiment et honnêtement la paix, et que les Territoires n’étaient pas seulement une question de droits historiques, mais aussi une question de sécurité, vitale pour son peuple.

Quand il recommença à regarder Carter, ce fut avec un regard grave et impérieux.

« Monsieur le président, je vais vous confier quelque chose de personnel – non à mon sujet, mais au sujet de ma génération. Ce que vous avez entendu concernant les droits, qui sont ceux du peuple Juif, sur la terre d’Israël, peut vous sembler académique, théorique, voire discutable. Mais pas à ma génération. Pour ma génération de Juifs, ces liens éternels sont des vérités irréfutables et incontournables, aussi anciennes que le temps qui s’est écoulé. Elles touchent au cœur même de notre identité nationale. Car nous sommes une nation ancienne qui revient chez elle. Nous sommes comme une génération biblique de souffrance et de courage. Nous sommes la génération de la Destruction et de la Rédemption. Nous sommes la génération qui s’est relevée de l’abîme sans fond de l’enfer »



Sa voix envoûtante avait des accents de réflexion profonde et semblait rejoindre la mémoire des générations. L’âpre ardeur de son langage focalisait l’attention intense des assistants autour de la table.

«Nous étions un peuple sans espoir, Monsieur Le Président. Nous avons été saignés à blanc, non pas une fois, ni deux fois, mais de siècle en siècle, encore et encore. Nous avons perdu un tiers de notre peuple en une génération, la mienne. Un million et demi de ses membres étaient des enfants, les nôtres. Personne n’est venu à notre secours. Nous avons souffert et sommes morts seuls. Nous ne pouvions rien faire. Mais maintenant, nous pouvons. Maintenant, nous pouvons nous défendre nous-mêmes »



Soudain, il se mit debout, le visage aussi dur que l’acier, et dit avec intrépidité : «J’ai une carte » – Un aide déroula énergiquement une carte d’un mètre sur deux entre les deux hommes. Et Begin poursuivit : «Cette carte n’a rien de remarquable, c’est une carte standard de notre pays, sur laquelle figure l’ancienne ligne d’armistice, appelée ‘Ligne Verte’, telle qu’elle a existé jusqu’à la Guerre des Six Jours, en 1967 ».

Il fit courir son doigt le long de la frontière défunte, qui serpente au centre du pays.

« Et, comme vous le voyez, nos cartographes militaires ont simplement indiqué les très faibles distances de la profondeur de défense que nous avions, lors de cette guerre »

Il se pencha au-dessus de la table et désigna la zone montagneuse, de couleur brun sombre, qui couvre la partie nord de la carte. « Les Syriens tenaient les sommets de ces montagnes, Monsieur Le Président. Nous étions tout en bas » – Ses doigts se posèrent sur les hauteurs du Golan, puis s’arrêtèrent sur la bande de terre verte, en dessous. « Là, c’est la vallée de Hula. Sa largeur est inférieure à 10 miles [16 km]. Ils tiraient au canon sur nos villes et nos villages du sommet de ces montagnes, jour et nuit »



Carter regardait, les mains croisées sous le menton.

Les doigts du Premier Ministre allaient maintenant plus au sud, vers Haïfa, il continua :

« La ligne d’armistice était à moins de 20 miles [32 Km] de notre plus grande ville portuaire » Ensuite, il s’arrêta sur Netanya : « Ici, notre pays se réduisait à une étroite bande, large de 9 miles [moins de 14 Km 500] »

Le Président américain hocha la tête et dit : « Je comprends »

Mais Begin n’était pas sûr qu’il ait vraiment compris. Son doigt tremblait et sa voix grondait : « 14 Km et demi, Monsieur Le Président ! Inconcevable ! Indéfendable ! »

Carter ne fit aucun commentaire.

Le doigt de Begin était maintenant au-dessus de Tel Aviv et martelait la carte : «Ici vivent un million de Juifs, à 12 miles [18 Km] de cette ligne d’armistice indéfendable. Et ici, entre Haïfa, au nord, et Ashkelon, au sud» (ses doigts couraient du haut en bas de la plaine côtière) – «vivent les deux tiers de notre population totale. Et cette plaine côtière est si étroite qu’une attaque par surprise, menée par une colonne de chars, pourrait, en quelques minutes, couper le pays en deux. Car celui qui tient ces montagnes» (l’extrémité de ses doigts tapotait les sommets de la Judée et de la Samarie) «tient la veine jugulaire d’Israël entre ses doigts »

Ses yeux sombres, intenses, balayèrent le visage de marbre du puissant homme assis en face de lui, et, avec la conviction de celui qui a toujours combattu pour tout ce qu’il a obtenu, il déclara de manière lapidaire : «Messieurs, il n’est pas question de revenir à ces lignes. Dans notre environnement impitoyable et implacable, aucune nation ne peut être rendue aussi vulnérable et survivre».

Carter pencha la tête en avant, pour mieux inspecter la carte, mais ne dit toujours rien. Ses yeux étaient aussi indéchiffrables que de l’eau.

«Monsieur le Président», poursuivit Begin, sur un ton qui ne tolérait pas l’indifférence, «c’est la carte de notre sécurité nationale, et j’utilise ces termes sans emphase et dans leur sens le plus littéral. C’est notre carte de survie. Et la différence entre le passé et aujourd’hui, c’est uniquement cela : la survie. Aujourd’hui, les membres de notre peuple peuvent défendre leurs femmes et leurs enfants. Dans le passé, ils ne le pouvaient pas. En fait, ils devaient les livrer aux tueurs nazis. Nous avons été ‘tertiés’, Monsieur Le Président… »

Carter leva la tête. « Quel mot est-ce là, Monsieur le Premier Ministre ? »

– «Tertiés, pas décimés. L’origine du mot ‘décimé’ est un sur dix. Quand une légion romaine était coupable d’insubordination, un homme sur dix était passé au fil de l’épée. Dans notre cas, ce fut un sur trois – ‘tertiés’ ! »

Alors, les yeux humides et d’une voix décidée, tenace, et en pesant chaque mot, Begin déclara : « Monsieur, j’en fais le serment devant vous, au nom du peuple juif : cela n’arrivera plus jamais »

Puis l’émotion le submergea. Il crispa ses lèvres, qui commençaient à trembler. Il fixa la carte sans la voir, luttant pour endiguer les larmes qui lui venaient aux yeux. Il crispa les poings et les pressa si fort sur la table, que leurs articulations devinrent toutes blanches. Il se tint là, la tête courbée, le cœur brisé, plein de dignité.

Un silence de mort se fit dans la salle.

Saisi par sa méditation personnelle sur la Shoah infernale, Begin regardait fixement vers le lointain, au-delà de Carter, avec une étrange retenue dans les yeux. C’était comme si, dans sa contemplation, il passait au travers de ce Président baptiste, sudiste, membre du Renouveau, sur cette route à l’intérieur de lui-même, depuis cette intimité juive, profonde, lieu d’une plainte infinie et d’une foi éternelle, et d’une longue, longue mémoire, comme s’il était enfoui là, avec Moïse et les Maccabées.
Carter baissa la tête et se figea dans une attitude d’immobilité respectueuse. D’autres regardaient ailleurs. Le tic-tac de l’horloge ancienne sur la cheminée de marbre devint soudain audible. Une éternité semblait suspendue à chaque battement. Le silence était assourdissant. C’était comme l’éclair d’une résolution nationale de ne jamais revenir à ces lignes [d’armistice].

Graduellement, avec lenteur, le Premier Ministre se dressa de toute sa hauteur, et la salle reprit vie. Carter suggéra respectueusement une pause, mais Begin répondit que ce n’était pas nécessaire.


Il avait fait son devoir.




Par Yehuda Avner, ancien diplomate, conseiller de quatre Premiers ministres, dont Menahem Begin.

The Jerusalem Post du 11/9/2003

Envoyé par Elie_043 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 07:45
boker tov,j'ai mis l'article de la rencontre carter begin,
un enseignement de plus pour comprendre la complexité de la situation ou se trouve israel,
aujourdhui je me pose la question "que ferais begin,ou golda,ou d'autres ces fins diplomates qui manquent a israel,
il faut un homme nouveau qui fasse ce que fait stanley fisher aux finances d'israel,un homme qui prendra de grandes decisions,j'en ai marre d'entendre dire tsahal gagnera toutes les guerres,il faut etre realiste,
en 1967 israel a gagné en attaquant en premier,
en 1973 israel gagna par miracle,et nous tous etions inquiés pendus a la radio 24h sur 24,
la guerre du liban n'a pas eu l'effet escompté ni plomb durci;
alors que faire,
j'ai lu et relu l'entretien carter begin,les conclusions pour ma part sont identiques a ceux de begin,
rien de rien ne doit etre donné,
jerusalem etait occupé par les jordaniens et non par les palestiens,
idem pour la judée samarie,le roi ne desirai plus reprendre cette terre,israel n'a fait que reprendre ce qui etait a lui,
c'est ma conviction, si israel capitule devant obama,ce sera comme dit begin des frontieres pas defendables
Envoyé par Elie_043 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:01
Bon, maintenait ce la marche a la ghandi sauf que leur lider est un assassin et un usurpateur. Cette marche est un échantillon de ceux qui vont faire en 11 décembre 2011 et mars ou avril 2012 dans la fin des quadratures de planètes avec pluton ?
Lundi 14 mars 11.30 la lune en cancer opposé a pluton réveille le carre formé avec Uranus ( tzunami) explosion du réacteur. Samedi 12 mars 2011 un carré est forme entre Uranus et pluton, le dernier a eu lieu en 1933 lors de la monté des forces noirs du nazisme, désormais est Pluton qui mène le jeux, mars va rentrer dans le carré entrent en bélier le 2 avril, il va aiguillonner le carre Uranus-pluton deux fois jusque 16 ou 17 avril. . Et cette structure restera actif jusqu'à l'été 2016. les dates en pics amplifiés sont juin 2012, septembre 2012 et novembre 2013 et avril 2014 significative n'est pas ?
Envoyé par Arturo - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:01
on n'a pas besoin d'une madame soleil,la guerre ne se fait pas avec la conjonctio des astres et des planetes....
Envoyé par Elie_043 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:20
Begin est un grand homme et la description très bien faite passionnante et émotive cela m'a touché profondément. Vraiment carter étais un raciste du sud un confédéré. Un abrutis, et Begin au contraire étais un titan qu'avait avec lui tout la charge de vérité en que concerne le contenu historique du vécu réel du peuple juifs et que l' a donné crédibilité et autorité a son élocution et a son argument !!! tic tac. Je le fait confiance au premier ministre dans son prochaine discours avec Obama et on verrais dans que trempe est lui fait !!!! Cela va être le tic tac de la compte....rebours.. ca risque de déchirer l'Amérique en deux!! Jamais laisser le Golan !!! plut tôt que se déchire la Syrie e avec le Liban!!! bon exposé réaliste !!!
Envoyé par Arturo - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:44
Oui, merci, Elie, pour ce rappel. Derrière Jimmy Carter et Cyrus Vance agissait en sous-main l'âme damnée des politiques extérieures des Présidents démocrates : Zbigniew Brzezinski, toujours actif aujourd'hui, bien qu'âgé de plus de 80 ans, derrière Baraq 'Hussein Obama, et partisan, aujourd'hui comme hier, d'une instrumentalisation politique de l'Islâm au service de la domination américaine. Ce sont les équipes de Brzezinski qui ont conçu et mis en oeuvre, sous Johnson, l'instrumentalisation politique des généraux musulmans de l'armée indonésienne contre le puissant parti communiste indonésien, en 1965 ; qui ont, ensuite, sous Carter, mis au point une alliance avec les groupes islamistes les plus durs ( par exemple Gulbuddin Hekmatyâr ou encore ... un certain ... Ben Laden ) en Afghanistan pour y piéger l'URSS ( comme celle-ci avait réussi à piéger les Américains au Viêt'Nam ) - alliance qui est allée jusqu'à livrer à ces groupes des missiles sol-air " Stinger " . Brzezinski a encore à son actif le lâchage du Shah d'Iran par Carter. Son machiavélisme est sans limites : il a été jusqu'à une époque très tardive, un soutien fort actif des Khmers Rouges ( parce que ceux-ci se positionnaient, en Asie du Sud-Est, comme les ennemis des Viêt'Namiens - et donc des Soviétiques ) faisant détourner à leur profit des aides alimentaires du PAM. C'est lui aussi qui, il y a un ou deux ans, avaient émis l'idée qu'en cas d'opération aérienne israélienne contre les installations nucléaires
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:49
(suite)

iraniennes, les forces américaines positionnées dans le Golfe devraient détruire les appareils israéliens.
Enfin, c'est à Brzezinski et à ses équipes qu'il faut attribuer ce que j'appelais, en novembre ou en décembre, le " plan B " d'Obama : en gros, subvertir le monde arabo-musulman en y bâtissant partout une alliance entre Etats-Unis et Frères Musulmans d'où les " révolutions arabes " en cours : cette hypothèse que j'ai faite est aussi, grosso modo, celle de journalistes très sérieux comme Marc Brzustowski et d'organes extrêmement bien informés comme " DEBKAfiles " .
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 15 Mai 2011 à 08:56
Je le sais que on fait pas la guerre ni la paix avec les planètes, mais je trouve bizarre cette conjonction et je l'impression que les planètes et le ciel que Dieu gouverne, sont au pas des événements de la terre. Ce cela que je voulait dire ! Est significative que connaitre les face de la lune est science dans la agriculture, et influence dans la croissance de le homme. Les planètes travaillent dans la formation biochimique des plantes et aussi le Soleil qui nous donne son énergie. avec les éclaires que ionisent l'air aidant les apparitions des champignons et outres . Ce Dieu avec sa science que a mis tout en place. En ce que concerne a moi je y reste en référence avec la lune parce que on ne doit pas la négliger. Elle fait monter les mares, le posions montent a la surface le cheveux poussent. les liquides des végétaux montent ou descendent. la floraison se mets en marche.. Il faut savoir couper les arbres quand les liquides sont descendu dans les racines. Si tu vais recueillir des racines ou des fleures, ou de feuilles médicinales, est nécessaire faire attention a la lune. et aussi le jour que tu semés. les périodes de la femme si son elles réguliers sont dicté par la lune etc etc etc. Mais je ne crois pas que l'astrologie va formater mon avenir ni mon caractère ou va me dire si je vais gagner la lotto ou la guerre. Mais je y crois que tout ce que est dans le système solaire est en relation plus o mois avec la terre nourrice.
Envoyé par Arturo - le Dimanche 15 Mai 2011 à 09:23
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