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Israël : Défense au Moyen-OrientOpposition syrienne : « les émeutiers anti-Israël ont été payés 1000$ »Les manifestants le long de la frontière entre la Syrie et Israël ont été payés des milliers de dollars par le régime du dictateur Bachar al-Assad pour prendre part aux émeutes de dimanche, selon l’opposition syrienne.
Des responsables israéliens ont plus tard appuyé ces revendications, accusant le régime de Damas d’encourager les manifestations le long de la frontière nord.
Les émeutes de dimanche étaient une tentative de « détourner l’attention des massacres en Syrie » a expliqué un responsable. « Les syriens seront tenus responsables de ces événements ».
Dimanche soir, des responsables syriens ont affirmé que 23 personnes avaient été tuées et 350 autres blessées après que Tsahal ait tiré sur les manifestants qui voulaient détruire la clôture frontalière plus tôt dans la journée. Cependant, l’armée a rejeté ces chiffres, affirmant qu’ils ont été gonflés.
Des membres du parti réformateur syrien basés à Washington ont indiqué que des sources proches du gouvernement syrien les ont informé que les manifestants du côté syrien de la ville druze de Majdal Shams étaient en fait des agriculteurs, pauvres, payés par le régime d’Assad.
Selon ces sources, les agriculteurs ont migré ces dernières années du nord du pays, touché par la sècheresse, vers le sud de la Syrie. Ils ont atteint la frontière entre Israël et la Syrie dimanche dans le but de reconstituer les événements de la « journée de la Nakba ».
Le groupe d’opposition syrien a affirmé que chaque agriculteur s’est vu promettre la somme de 1000 dollars pour être présent à la manifestation, et 10 000 dollars à leur famille si ils étaient tués par des tirs israéliens.
Selon le rapport, le salaire moyen d’un citoyen syrien est d’environ 200 dollars par mois, ce qui signifie que la participation à la manifestation de dimanche pourrait avoir fourni au manifestant et à sa famille cinq mois d’aide financière.
Les militants de l’opposition ont noté que de telles tactiques ont été précédemment utilisées par Saddam Hussein, lorsque le parti Baas irakien offrait une récompense de 25 000 dollars aux familles des palestiniens qui sont morts en lançant des pierres sur des israéliens au cours de l’intifada.
Les membres du parti réformateur ont ajouté que ces paiements visaient à détourner l’attention de l’oppression barbare du régime d’Assad contre les manifestants pro-démocratie, un massacre qui a fait bien plus de 1000 morts au cours des trois derniers mois.
Le groupe d’opposition a souligné que bien qu’il estime que le plateau du Golan appartienne à la Syrie, il souhaite récupérer les terres par des négociations pacifiques.
« Si Assad voulait vraiment le plateau du Golan, il prendrait le même chemin pacifique qu’Anouar El-Sadate a pris longtemps avant lui, » a indiqué le groupe dans un communiqué.
Des responsables de Tsahal ont déclaré que les forces postées le long de la frontière syrienne ont fait preuve de retenue dimanche lors des affrontements avec les émeutiers qui voulaient pénétrer en Israël.
« Nous aurions pu prendre la route plus facile des tirs incontrôlés, mais nous avons décidé de fonctionner d’une manière très limitée, » a déclaré un responsable de l’armée.
Des responsables sécuritaires craignent que la frontière avec la Syrie se transforme en un lieu de manifestations régulières et d’émeutes, semblable aux manifestations palestiniennes et de gauche qui se tiennent toutes les semaines dans des villages de Judée Samarie.
Des responsables militaires ont dit que si les émeutes continuaient dans la région de manière régulière, l’armée israélienne devra changer son déploiement dans la région. « A cet instant précis nous avons plusieurs régiments qui sont ici au lieu de suivre leurs plans réguliers, » a déclaré une source militaire.
La zone frontalière avec la Syrie offre également plus de difficultés opérationnelles concernant la gestion des émeutes. Par exemple, les tirs de gaz lacrymogènes à travers la frontière sont limités par la loi, et ne peuvent êtres utilisés comme un moyen collectif de contrôle des foules. Articles connexes
123 commentaires
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Concernant dsk, la russie et l'or, ça j'ai lu, mais l'avocat de diallo, j'ai beau relire je trouve rien, pq l'avocat l'a laché.
J'imagine la raison, le fric ne sera pas de mise au bout du compte.
Je crois que ta position ( je ne parle pas ici de ta propension à prendre le parti des " Palestiniens " ni de la célérité avec laquelle tu " fonces " sur Israël à la moindre occasion ) provient d'un souci de te montrer aux goyim sous ce que tu imagines être " un bon jour " . " Les gens qui écrivent sur ce site doivent savoir qu'ils sont lus aussi par des gens malveillants, ils doivent expliquer leur point de vue comme des avocats, rester crédibles, réalistes, et donner envie aux gens de soutenir Israël. " , écris-tu.
Eh bien il me semble que nous ne devons pas, que nous ne devons plus, perpétuellement nous positionner en position défensive ; vouloir à tout prix nous montrer comme des gens " décents" , " respectables " , " honorables " , " Salonfähig " , et qui ne sont pas comme leurs adversaires les dépeignent, pas du tout, mais sont des gens bien, des gens comme les goyim, au fond, etc., etc.
Nous ne devons pas chercher à nous rendre tolérables, acceptables, intégrables, etc., etc. Et quémander des égards et de la considération.
J'entends bien qu'il ne s'agit pas non plus de cultiver une sorte de solipsisme politique. Mais nous devons cesser de chercher sans cesse à présenter des excuses et des justifications au fait que nous existons. Et que nous existons différemment des Gentils.
Il y a eu, par rapport à ces attitudes ( celle, par exemple, d'Isaac de Pinto dans sa correspondance avec Voltaire ), une rupture. Et cette rupture est précisément le fait
même du sionisme et constitue le fond de l'attitude psychique et morale qui le sous-tend. Il ne s'agit plus de s'intégrer dans les différentes Nations en leur prouvant et reprouvant sans cesse ( tâche sisyphéenne s'il en fut ) que nous sommes dignes, bien dignes, tout à fait dignes d'être des Français ou des Allemands ou des Anglais ou des Russes ... Il s'agit de sortir de cette logique qui implique que nous soyions perpétuellement en train de plaider pro domo, en train de démontrer que nous sommes bien COMME les Goyim, et que ceux-ci n'ont en conséquence aucune raison de nous repousser, de nous rejeter, de faire fi de nos éternelles protestations de soumission à leurs critères, moeurs, valeurs.
Theodor Herzl, z"l, dit autre chose : nous ne voulons pas nous intégrer à vos Nations. Nous voulons en sortir pour recréer la nôtre. Et la recréer sur la Terre même que le Saint bénit soit-Il a désigné pour être celle de Son peuple.
C'est une rupture. A certains égards,je n'en vois qu'une seule qui lui soit comparable dans l'histoire moderne : celle des Européens qui choisissent de larguer les amarres et de rompre avec l' " Europe aux anciens parapets " pour fonder et peupler les Etats-Unis d'Amérique : là réside sans doute la source profonde du sentiment de sympathie, dans des destinées comparables, que les Américains éprouvent à l'égard d'Israël.
Mais c'est une rupture qui est en même temps un retour aux sources. Car elle est une réplique de celle de Moshé rabenu emmenan
emmenant son peuple hors d'Egypte. Et de celle d'Avraham avinu quittant Ur et son père Térah.
Tu vois, Michel, j'interprète ton attitude - et celle, aussi bien, de " post-sionistes " comme Amos Oz, pour ne citer que lui - comme une incohérence par rapport à ces ruptures ; comme un désir lancinant de se raccrocher à cette " Europe démocratique " dont les accomplissements démocratiques au XXè siècle de l'ère vulgaire se concrétisèrent dans le libre cours qu'elle donna à ses " penchants criminels " à notre égard. Et qui aspire , au XXIè, à parachever l' " Endlösung " en favorisant la liquidation, par l'Islâm ( cf. les exhortations de Qaradawi ), du judaïsme israélien.
Alors que le sens profond de l'appel de Herzl, z"l, était un " Los von Europa " .
Nous n'avons pas à sans cesse chercher à nous faire beaux pour complaire aux nobles esprits de Paris, de Londres ou de Bruxelles.
Selon Jean-Claude Milner ( " Les penchants criminels de l'Europe démocratique " ), Theodor Herzl, z"l, voulait " délivrer l'Europe des Juifs " . On peut nuancer cette affirmation. Mais il me paraît néanmoins tout à fait certain que " le premier devoir des Juifs " , pour citer Milner, " c'est de se délivrer de l'Europe " .
Or, ce à quoi tu nous incites c'est à réinstaller l'Europe dans nos têtes, à nous faire Européens pour complaire aux Européens - sans comprendre que, du sionisme herzélien à la Shoah, une rupture radicale s'est accomplie ; qu'elle est sans remède ; et sans retour.
http://jforum.fr/forum/communaute/article/goldstone-une-premiere-victoire
Tu as signé Michel?
Qui a vu un seul nom arabe lors de pétition pour sirael?
Oui je sais, je sais, c'est pas tous.
Celui qui s'est laissé assimilé par les nations, sous pretexte d'une contrainte quelconque, est un juif mort/vivant.
On peut l'écouter en ce moment même sur radioj