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Israël : Défense au Moyen-OrientTsahal : « les manifestants ont causé leur propre mort »6 Juin 2011 - Juif.org
    L’armée israélienne a indiqué lundi que la plupart des manifestants syriens qui ont pris d’assaut la clôture frontalière et le passage de Quneitra en l’honneur de la journée de la Naksa étaient responsables de leur propre mort par le déclenchement des champs de mines sur la frontière.
Pendant ce temps, l’armée a également annoncé aux alentours de 11h30 que, bien que les manifestations avaient pris fin dans la nuit, plusieurs personnes se regroupaient une fois de plus à proximité de la frontière. Aucune violence n’était signalée.
L’Associated Press a rapporté que la police syrienne prévenait les manifestants de s’approcher de la frontière. Le rapport affirme que la police a mis en place des points de contrôle près de la frontière, et les forces de sécurité disaient aux gens de ne pas la franchir, renvoyant les gens chez eux.
Répondant à la violence de dimanche, des sources de Tsahal ont dit que les protestataires qui ont enflammé les champs de mines lors du jour de la Naksa n’avaient pas apporté d’extincteurs avec eux, et représentaient donc un danger pour eux-mêmes et d’autres par un comportement irresponsable. D’autres jetaient des bombes incendiaires à proximité du passage de Quneitra dans le même but.
Ces sources estiment également que de nombreux manifestants ont été blessés ou tués suite à l’incapacité de la croix rouge de les atteindre, en raison du refus des manifestants de mettre fin à la violence afin de permettre les évacuations.
Des responsables de Tsahal ont indiqué que les officiers avaient permis trois cessez-le feu, dont chacun a été mis a profit par les manifestants pour gagner du terrain.
Beaucoup de manifestants sont restés sur la frontière durant tout la nuit, mais la plupart s’étaient dispersés au matin, a déclaré une source de Tsahal, soulignant que les soldats étaient encore en état d’alerte en cas de violation supplémentaire de la clôture.
Dolan Abou Salah, le maire de Majdal Shams, n’était pas convaincu que les manifestants s’étaient dispersés, affirmant qu’ils s’étaient probablement rassemblés sur une colline connue pour être inobservable depuis Israël.
La police entourait encore le village druze, et Tsahal a déclaré le village zone militaire fermée, bien que les habitants continuaient à se déplacer normalement, mis à part une grève scolaire. Des points de contrôle ont été mis en place autour du village afin d’empêcher les résidents d’atteindre la frontière et rejoindre les manifestations.
Entre temps, l’armée israélienne continuait d’enquêter sur les événements de dimanche. La Syrie revendique que 23 manifestants ont été tués et 350 blessés, mais l’armée affirme que ces chiffres ont été grossièrement surestimés.
Des sources au sein de l’opposition syrienne ont déclaré que le régime du dictateur syrien Bachar el-Assad, sous le feu des protestations pro démocratiques, a offert de payer 1000 $ aux manifestants qui se joindraient au mouvement de protestation sur la frontière israélienne, proposant même 10 000 $ aux familles de ceux qui parviendraient à se faire tuer par l’armée israélienne. Articles connexes
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"Personnellement, je me pose la question suivante: Pourquoi en est-on arrivé là?"
Mais tu le disais toi même sur d'autres forum, la raison est que la france se laisse faire, rien ne l'y oblige.
Et donc tu trouvais normal que des arabes en profitent.
Quand il s'agit de passer 7 ans en france sans que tu ne puisses trouver un logement tu t'étonnes.
Mais Mustapha tu as la réponse au dessus, parce que tes compatriotes ont en profiter.
Alors bien sûr tu n'aimmes qu'on généralise, pourtant tu le fais bien en disant "ce sont surtout les politiques...", ça reste neutre.
Les français d'origine étrangère?
J'ai jamais entendu un français d'origine espagnol se plaindre d'avoir été humilier.
Ah....tu parles des mêmes?
Mais alors dit le.
Les étrangers ont toujours été brimés, moqués. Pour les européens, la brimade s'est arrêté aux enfants, qui une fois scolarisés parlaient français sans accent, et qui ont pu, s'ils en avaient les talents, gravir l'échelle sociale.
Les noirs et les arabes ne peuvent pas cacher leur couleur, leur prénom, ni leur physique. Même nés en France, ils doivent continuer à lutter contre les préjugés.
Pour lutter contre ces préjugés, la télévision présente régulièrement des noirs et des gens d'origine maghrébine dans des positions de cadre, de directeur, de policiers. Lentement l'opinion se fait à l'idée que pour être chef, on peut ne pas être "gaullois".
En fait, le nombre de cadres et de patrons d'origine nord-africaine, ou plus ou moins noirs, augmente rapidement.
Il reste ceux qui s'enfoncent eux-même dans leur particularisme, les femmes qui se voilent, les hommes qui s'habillent en taliban, et tous ceux qui pensent qu'ils sont brimés par nature, et qu'ils n'auront jamais leur chance. Ces gens là resteront des étrangers de génération en génération.
En résumé, on ne peut pas parler des arabo-berbères-musulmans de France en considérant qu'ils forment un ensemble solidaire et homogère
Des prénoms et physiques espagnols ou encore des préjugés sur les juifs (même avec un physique séfarade), n'ont pas empéché les uns et les autres de se faire une place dans la société.
On entend pas les chinois scolarisés se plaindre d'humiliation, mais les arabes scolarisés, oui.