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Israël : Défense au Moyen-OrientONU : « le programme nucléaire iranien pourrait avoir des liens militaires »L’Iran aurait, jusqu'à récemment, effectuée des travaux nucléaires avec de possibles liens militaires, a déclaré lundi le chef l’agence onusienne de l’énergie atomique, exprimant la frustration croissante de la communauté internationale vis-à-vis de l’échec de Téhéran de répondre à ses préoccupations.
La déclaration de Yukiya Amano, directeur de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) est susceptible d’être accueillie par les puissances occidentales comme un signe qu’il augmente peu à peu la pression sur le république islamique.
Les Etats-Unis et leurs alliés accusent l’Iran de chercher à développer une capacité nucléaire. L’Iran rejette ces accusations, affirmant que son programme nucléaire est destiné à produire de l’électricité afin de pouvoir exporter d’avantage son pétrole et son gaz.
Depuis plusieurs années, l’AIEA étudie les rapports des services de renseignements occidentaux indiquant que l’Iran avait coordonné ses efforts d’enrichissement d’uranium avec des essais d’explosifs à haute altitude, et de travailler à un cône de missile balistique qui pourrait contenir une ogive nucléaire.
Les diplomates occidentaux estiment qu’Amano donne un avertissement à Téhéran pour coopérer ou faire face à une possible évaluation par l’AIEA sur la probabilité qu’il réalise un programme militaire nucléaire.
Une telle évaluation pourrait donner du poids à toute nouvelle initiative de l’Ouest pour renforcer les sanctions sur le grand producteur de pétrole.
Amano a déclaré que l’agence de l’ONU avait revu des « informations complémentaires liées à des activités nucléaires passées ou présentes qui semblent indiquer l’existence d’éventuelles dimensions militaires au programme nucléaire iranien.
« Il y a des indications que certaines activités peuvent avoir continué jusqu'à une date récente, » a-t-il dit lors d’une session a huis clos, selon une copie de son discours.
Il n’a pas révélé ses sources d’information.
Le refus de l’Iran d’arrêter l’enrichissement d’uranium, une activité qui peut avoir des usages civils comme militaires, a provoqué quatre séries de sanctions de l’ONU depuis 2006.
Le chef japonais de l’AIEA a adopté une approche plus brutale envers l’état islamique que son prédécesseur, Mohamed ElBaradei.
Amano a dit qu’il avait écrit le mois dernier au responsable de l’organisation iranienne de l’énergie atomique, Fereydoun Abbasi-Davani, réitérant les préoccupations de l’agence sur l’existence d’une dimension militaire.
Il avait également demandé à l’Iran de « permettre un accès rapide vers des infrastructures, à du matériel, de la documentation et des responsables pour aider à résoudre les requêtes de l’agence.
Amano a clairement dit que la réponse de l’Iran n’avait pas été satisfaisante, disant qu’il avait envoyé une nouvelle lettre à Abbasi-Davani le 3 juin, dans laquelle il a réitéré les demandes de l’agence.
L’AIEA, chargée de veiller à ce que la technologie nucléaire ne soit pas détourne à des fins militaires, affirme que l’Iran ne s’est pas engagé auprès de l’agence sur ces questions depuis la mi-2008.
L’Iran n’a pas « fourni la coopération nécessaire pour permettre à l’organisme de fournir des assurances crédibles sur l’absence de matières nucléaires non déclarées et les activités en Iran, » a déclaré Amano.
« Je demande instamment à l’Iran de prendre les mesures pour la mise en œuvre complète de toutes les obligations pertinentes en vue d’établir la confiance internationale sur la nature exclusivement pacifique de son programme nucléaire, » a-t-il dit. Articles connexes
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Source : ZONE MILITAIRE
Un réseau de renseignement
Depuis quelques années, le sonar est épaulé par une forêt d'oreilles : celles des bâtiments de la marine nationale. Des navires de toutes tailles envoient au sous-marin la position des bâtiments qu'ils ont repérés. Les informations sont transmises par radio numérique en très basses fréquences - par conséquent très lentes -, capables de pénétrer dans l'eau jusqu'à 20 mètres de profondeur. A l'immersion périscopique, l'armée utilise une liaison satellite beaucoup plus rapide. Fin du fin : un écran LCD relié à un ordinateur rapide affiche la position des ennemis sur une carte du monde. Le commandant peut zoomer à volonté sur cette carte, devenue l'outil de référence pour « entendre l'ennemi mieux qu'on est entendu, comprendre l'ennemi mieux qu'on est compris ». Cette débauche de technologie a permis au Rubis, le sous-marin que nous avons visité, de s'illustrer dans des conflits majeurs. La guerre du Golfe, mais aussi la Yougoslavie - le Rubis a interdit la sortie des navires serbes des bouches de Kotor - ou l'Afghanistan, où il a protégé la Task Force 473.
Reste que les rochers, eux, à la différence des navires ennemis, ne font strictement aucun bruit. Le sonar ne les « voit » donc pas. Comment tracer sa route sans les heurter ? Impossible d'utiliser un sonar actif, comme le ferait une chauve-souris dans une caverne en projetant une onde qui se ref
Et pourtant, ils naviguent ! L'astuce ? Tous les mouvements du sous-marin sont enregistrés : accélérations, changements de cap ou de profondeur, rien n'échappe aux deux gyroscopes-accéléromètres reliés à un PC portable avec Windows 2000. Dès que le sous-marin plonge, ils prennent le relais du GPS. Grâce aux informations qu'ils fournissent, un calculateur évalue la position du sous-marin avec précision. Naviguer en aveugle devient possible : il suffit de se munir d'une carte des fonds marins, et de tracer une route sûre (cette carte des fonds marins sera informatisée courant 2006). Un système extrêmement fiable : il ne dévie qu'au bout de 48 heures. Une fois passé ce délai, on doit « recalibrer » les gyroscopes en entrant la position précise du sous-marin. Pour ce recalibrage, la marine nationale utilise deux méthodes - une par grande famille de sous-marins. Les sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), comme le Rubis, sont conçus pour le combat : ils n'emportent pas de missiles nucléaires. Pour eux, une immersion périscopique n'est pas pénalisante : ils peuvent donc sortir un mât GPS à côté du périscope, et recalibrer leurs gyroscopes.
Les sous-marins lanceurs d'engins (SNLE), comme le Vigilant, mastodontes de 127 mètres emportant 16 têtes nucléaires, ont pour vocation de rester cachés trois mois si nécessaire sans refaire surface. Comment font-ils pour recalibrer leurs gyroscopes ? La technologie est classifiée... impossible d'en savoir plus.
Malgré cette abondance d'équipements sophistiqués, mener un sous-marin demeure une tâche délicate, à laquelle les sous-mariniers se préparent plusieurs mois. Une école forme les recrues à Toulon. L'ENSM ressemble plus au Futuroscope de Poitiers qu'à une université. On y trouve une douzaine de simulateurs, dont trois reproductions fidèles des parties les plus importantes du sous-marin. La console sécurité, montée sur vérins, bouge comme un sous-marin en mer. Le central opérations ressemble, trait pour trait, à celui du Rubis. Idem pour la chaufferie nucléaire.
http://www.cetace.info/les-actualites/article/inauguration-du-systeme-repcet-reperage-en-temps-reel-des-cetaces.html
par Emile Robert Giné dit Joseph dit Her Haupman Hash Loh
Alors la Edmond je suis vraiment deçu
Ce n'est pas des boots qu'l va lui faloir c'est directement les boites, avec des chevilles comme ça