|
Israël : Défense au Moyen-OrientL’Iran envoie des sous-marins en mer RougeL’Iran a envoyé des sous-marins en mer Rouge, selon l’agence de presse iranienne semi-officielle FARS, citant une source non identifiée, dans un geste qui pourrait provoquer la colère d’Israël.
« Des sous-marins militaires iraniens sont entrés dans les eaux de la mer Rouge dans le but de recueillir des informations et identifier les navires de combat d’autres pays, » a rapporté FARS.
L’agence n’a pas précisé le nombre ou le type de navires en question, mais a dit qu’ils se déplaçaient avec des navires de combat de surface appartenant à la 14e flotte de la marine iranienne.
La chaîne télévisée de l’état a déclaré en mai que la 14e flotte, composée de deux navires, le navire de guerre Bandar Abbas et le destroyer Shahid Naqdi, avaient été envoyés pour combattre la piraterie dans le golfe d’Aden.
« La flotte a pénétré dans la région du golfe d’Aden en mai, et est maintenant entrée dans la mer Rouge pour poursuivre sa mission, » a déclaré FARS.
Deux navires de guerre iraniens ont traversé le canal de Suez en février, la première traversée de ce type depuis la révolution islamique en 1979, en route vers la Syrie. Téhéran avait déclaré qu’il s’agissait d’une mission de « paix et d’amitié », mais Israël l’avait qualifié de « provocation ».
L’Iran a annoncé au mois d’août dernier qu’il avait augmenté sa flotte de sous-marins de la classe Ghadir, produits à domicile, à 11 unités, qui seraient utilisés pour patrouiller le golfe et la mer d’Oman.
L’Iran a déployé des navires de guerre plus loin, aussi loin que la mer Rouge, pour lutter contre les pirates somaliens, mais n’avait jamais annoncé précédemment que des sous-marins se trouvaient dans cette zone. Articles connexes
359 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 10 heures - Le Figaro
Il y a 10 heures - Le Figaro
Il y a 12 heures - Juif.org
17 Juin 2025 - Times of Israel
14 Juin 2025 - Le Monde diplomatique
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
23 Mai 2025 par Blaise_001
13 Juin 2025 - Torah-Box
12 Juin 2025 - Torah-Box
8 Juin 2025 - Le Monde Libre
8 Juin 2025 - Le Monde Libre
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 27 minutes
Source : ZONE MILITAIRE
Un réseau de renseignement
Depuis quelques années, le sonar est épaulé par une forêt d'oreilles : celles des bâtiments de la marine nationale. Des navires de toutes tailles envoient au sous-marin la position des bâtiments qu'ils ont repérés. Les informations sont transmises par radio numérique en très basses fréquences - par conséquent très lentes -, capables de pénétrer dans l'eau jusqu'à 20 mètres de profondeur. A l'immersion périscopique, l'armée utilise une liaison satellite beaucoup plus rapide. Fin du fin : un écran LCD relié à un ordinateur rapide affiche la position des ennemis sur une carte du monde. Le commandant peut zoomer à volonté sur cette carte, devenue l'outil de référence pour « entendre l'ennemi mieux qu'on est entendu, comprendre l'ennemi mieux qu'on est compris ». Cette débauche de technologie a permis au Rubis, le sous-marin que nous avons visité, de s'illustrer dans des conflits majeurs. La guerre du Golfe, mais aussi la Yougoslavie - le Rubis a interdit la sortie des navires serbes des bouches de Kotor - ou l'Afghanistan, où il a protégé la Task Force 473.
Reste que les rochers, eux, à la différence des navires ennemis, ne font strictement aucun bruit. Le sonar ne les « voit » donc pas. Comment tracer sa route sans les heurter ? Impossible d'utiliser un sonar actif, comme le ferait une chauve-souris dans une caverne en projetant une onde qui se ref
Et pourtant, ils naviguent ! L'astuce ? Tous les mouvements du sous-marin sont enregistrés : accélérations, changements de cap ou de profondeur, rien n'échappe aux deux gyroscopes-accéléromètres reliés à un PC portable avec Windows 2000. Dès que le sous-marin plonge, ils prennent le relais du GPS. Grâce aux informations qu'ils fournissent, un calculateur évalue la position du sous-marin avec précision. Naviguer en aveugle devient possible : il suffit de se munir d'une carte des fonds marins, et de tracer une route sûre (cette carte des fonds marins sera informatisée courant 2006). Un système extrêmement fiable : il ne dévie qu'au bout de 48 heures. Une fois passé ce délai, on doit « recalibrer » les gyroscopes en entrant la position précise du sous-marin. Pour ce recalibrage, la marine nationale utilise deux méthodes - une par grande famille de sous-marins. Les sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), comme le Rubis, sont conçus pour le combat : ils n'emportent pas de missiles nucléaires. Pour eux, une immersion périscopique n'est pas pénalisante : ils peuvent donc sortir un mât GPS à côté du périscope, et recalibrer leurs gyroscopes.
Les sous-marins lanceurs d'engins (SNLE), comme le Vigilant, mastodontes de 127 mètres emportant 16 têtes nucléaires, ont pour vocation de rester cachés trois mois si nécessaire sans refaire surface. Comment font-ils pour recalibrer leurs gyroscopes ? La technologie est classifiée... impossible d'en savoir plus.
Malgré cette abondance d'équipements sophistiqués, mener un sous-marin demeure une tâche délicate, à laquelle les sous-mariniers se préparent plusieurs mois. Une école forme les recrues à Toulon. L'ENSM ressemble plus au Futuroscope de Poitiers qu'à une université. On y trouve une douzaine de simulateurs, dont trois reproductions fidèles des parties les plus importantes du sous-marin. La console sécurité, montée sur vérins, bouge comme un sous-marin en mer. Le central opérations ressemble, trait pour trait, à celui du Rubis. Idem pour la chaufferie nucléaire.
http://www.cetace.info/les-actualites/article/inauguration-du-systeme-repcet-reperage-en-temps-reel-des-cetaces.html
par Emile Robert Giné dit Joseph dit Her Haupman Hash Loh
Alors la Edmond je suis vraiment deçu
Ce n'est pas des boots qu'l va lui faloir c'est directement les boites, avec des chevilles comme ça