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Israël : Défense au Moyen-OrientDer Spiegel : « le Mossad est derrière l’élimination en Iran »L’assassinat du scientifique nucléaire iranien a Téhéran la semaine dernière était la première opération majeure du nouveau directeur du Mossad, Tamir Pardo, a rapporté lundi le site de Der Spiegel.
L’article, qui cite une source dans les renseignements israéliens, enquête sur une série de tentatives d’assassinat impliquant des scientifiques iraniens au cours des 18 derniers mois, et pointe le Mossad comme l’organisation à la tête de la campagne d’Israël contre la bombe nucléaire iranienne.
Selon les rapports, le scientifique a été abattu samedi dernier alors qu’il apportait sa fille à la maternelle. « C’était la première opération publique du nouveau chef du Mossad, Tamir Pardo, » a déclaré une source anonyme des renseignements israéliens au correspondant de Der Spiegel à Beyrouth.
Il a été dit plus tard que la victime était impliquée dans le développement de commutateurs pour une bombe nucléaire, et avait travaillé dans un centre de recherche au nord de Téhéran.
Le jour après l’élimination, de nombreux rapports contradictoires ont vu le jour concernant l’identité de la victime. Les medias iraniens l’ont d’abord identifié comme étant Darioush Rezaei, professeur de physique et expert en transport de neutrons, mais ont fait marche arrière par la suite, des responsables la désignant comme étant Darioush Rezaeijad, un étudiant en électronique.
Selon le rapport de Der Spiegel, la victime est bien le professeur Rezaei, qui n’a pas été vu en public depuis l’assassinat.
En janvier 2010, un autre chercheur nucléaire iranien, Mohammed Ali Massoudi, a été assassiné à Téhéran. En novembre de cette année, le professeur de physique Majid Shahriari a également été tué.
Selon la source de Der Spiegel, de nombreux officier de la force aérienne israélienne font pressions sur le gouvernement pour une attaque aérienne sur les sites nucléaires iraniens, un plan qui voit l’opposition du Mossad.
« C’est aussi une question de prestige entre les organisations, » a dit la source. « Tant que le Mossad est responsable de la campagne contre le programme nucléaire iranien, il continue à recevoir les gros budgets. »
L’Iran a envoyé une lettre au conseil des droits de l’homme de l’ONU exigeant une enquête sur l’assassinat de la semaine dernière.
Javad Larijani, secrétaire général du haut conseil des droits de l’homme de l’Iran, a accusé Israël et l’Occident d’avoir assassiné un étudiant en ingénierie électrique. Articles connexes
36 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 53 minutes
Envoyé par Francisque - le Dimanche 24 Juillet 2011 à 19:33
romp romp petit à papon (air connu)
Deux remarques : en quoi - si je puis me permettre - Francisque est-il juge de la " compétence " de ceux qui parlent ici de la religion juive ? ...
Deuxième remarque : le reste de ce que j'ai copié-collé constitue exactement le discours de l'antisémitisme social - celui qui a flori, à partir du XIXe siècle, en France notamment ( Blanqui, Proudhon, Fourier, etc. ) et qui nous conduit jusqu'à Doriot : les Juifs sont systématiquement associés, ou assimilés, à " ceux qui créent le malheur et l'injustice " : " Die Juden sind unser Unglück " , énonce un congrès antisémite tenu à Dresde à la fin du XIXe siècle : " Les Juifs sont notre malheur " .
Il paraît, à lire la suite de cette prose foncièrement ( quoique peut-être pas tout à fait consciemment ... ) antisémite, que quand " [ nous parlons ] de [ notre ] religion " , " [ nous faisons ] froid dans le dos " ... Je ser
Je serais fort obligé à M. Francisque de préciser son propos par des exemples. Nul doute que ce juge de la compétence de ceux qui parlent de la religion juive ne nous fournisse incontinent une brassée d'exemples...
En tout cas, s'il est un mérite que l'on reconnaîtra sans hésiter à Francisque, c'est d'être l'homme des décisions rapides autant qu'énergiques : à 09 : 08 hier, il nous gratifiait d'une belle " compétence " en matière de judaïsme. Dix heures plus tard ( à 19 : 33 ) il annulait son projet de voyage en Israël ! Ah mais ! " Nom d'un homme ! " comme dirait Milou ...
"Heu… quel état voulez-vous nous rendre", demande le palestinien ?
"Si vous aviez des frontières, en 67, c'est que vous aviez un état, derrière ces frontières. Et bien nous vous le rendons, votre état," répondent les israéliens.
"Mais justement, nous n'avions pas d'Etat, en 67", se plaint le palestinien. "Dans ce cas, de quelle frontière parlez-vous ? Une frontière sans état ? Ca fait pas très grand, comme état, une frontière. C'est ce que vous demandez, une frontière ? Un Etat de la largeur d'une ligne ? D'accord, décident les israéliens après vote à la Knesset, nous vous rendons votre Etat dans ses frontières de 67, ou plutôt, sur la largeur de la frontière de 67".Reproduction autorisée avec la mention suivante et le lien vers cet article :
© Jean-Patrick Grumberg pour Drzz.fr
Le scientifique iranien assassiné travaillait sur un dénotateur de bombe nucléaire
DEBKAfile Reportage exclusif July 24 juillet 2011, 10:14 PM (GMT+02:00)
http://www.debka.com/article/21146/
Le scientifique nucléaire iranien Daryush Rezaee-Nejad
Daryush Rezaee-Nejad, 35 ans, qui a été tué samedi 23 juillet, lorsque deux motocyclistes lui ont tire dessus à la tête et à la gorge, devant son domicile à Téhéran, était une étoile montante de la nouvelle génération de scientifiques nucléaires iraniens. Les sources iraniennes de Debkafile dévoilent qu’il était attaché à l’une des équipes les plus secrètes du programme nucléaire iranien, employé par le Ministère de la défense, pour construire des détonateurs de bombes nucléaires et des ogives déjà parvenues à un stade avancé de développement.
C’était un nouvel épisode dans une série d’attaques mystérieuses, depuis l’an dernier, contre les scientifiques de haut-vol impliqués dans le programme nucléaire.
Nos sources révèlent que bien qu’il puisse parfaitement convenir à la description des media iraniens « d’un étudiant d’une université en master d’électricité à l’Université Khajeh-Nasser, un des instituts d’ingénierie hydraulique et d’ingénierie structurale du Ministère de la défense », cette description s’applique à une partie seulement de son travail.
On pouvait également le trouver quotidiennement dans l’un des laboratoires nucléaires et militaires top secret de Parchine, au Nord-Est de Téhéran, là où est conduite la majorité du travail sur les composants de la bombe nucléaire et les ogives opérationnelles.
Son emploi à double-application contribuait, pour Téhéran, à maintenir ces activités sous couverture. Cela explique également les compte-rendu conflictuels des media iraniens à propos du rôle exact de Razaee-Nedjad.
Initialement, on l’a décrit comme “un scientifique nucléaire travaillant à l’Organisation pour l’énergie nucléaire iranienne”. C’était samedi, peu de temps après son décès. Dimanche, le récit a changé et on l’a désigné comme « un étudiant en Master d’électronique ». Cependant, l’agnce de presse iranienne Fars, seule, a suggéré que : « les media avaient fait une erreur, en rapportant la spécialité de Rezaee-Nedjad », en continuant à insister sur le fait qu’il était lié avec le Ministère de la Défense.
Démentant, plus tard, l’hypothèse qu’il n’était qu’un étudiant, le porte-parole du Parlement d’Iran, Ali Larijani a publié, dimanche, une diatribe enrage contre “l’acte terroriste américano-sioniste” contre l’un des scientifiques de son pays, comme représentant un nouveau signe de “l’animosité américaine”. Il a déclaré : « l’Amérique devrait envisager avec soin les conséquences de telles actions », et a exhorté les sources de sécurité iranienne « de répliquer de manière forte à ces gestes inspirés par le mal ».
Les sources du renseignement de Debkafile rapportent que Téhéran semble être entré en grande confusion, concernant la description de la fonction du scientifique tué, après avoir réalisé que le fait de dévoiler son lien avec le programme nucléaire trahissait à quel point les équipes scientifiques employées à l’enrichissement d’uranium – et même le personnel scientifique directement impliqué dans la fabrication d’une bombe nucléaire – avaient été pénétrées. Les experts des médias iraniens ont travaillé énergiquement pour tenter de défaire ce dommage en retouchant cette description, pour une raison supplémentaire : il était nécessaire de rassurer les scientifiques employés à des travaux nucléaires et leurs familles sur le fait qu’ils ne courraient aucun danger, de crainte qu’ils ne prennent peur et s’enfuient pour protéger leurs vies.
De plus, pas plus les expert que le public n’ont oublié qu’il n’y a même pas neuf mois, le 27 novembre 2010, deux autres lumières dirigeant le programme nucléaire iranien avaient été prises pour cible, par le même procédé, au beau milieu de Téhéran : le Professeur Fereydoon Abbassi, que Debkafile avait identifié, à l’époque, comme le Directeur du site des centrifugeuses d’enrichissement de l’uranium de Natanz et le Dr Majid Shariari, que nos sources révélaient comme chargé de la cyber-guerre contre le virus Stuxnet, attaquant cette même installation.