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Israël : Défense au Moyen-OrientErdogan affirme que le raid contre la flottille était "une cause de guerre"Le premier ministre turc affirme que le raid israélien contre la flottille "pour" Gaza l'année dernière était "une cause de guerre", mais ajoute que son pays avait fait preuve de "patience" et s'était abstenu de toute action. Les remarques du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, faites à Al Jazeera, viennent alors que le fossé se creuse entre les anciens alliés israéliens et turcs suite au refus d'Israël de repondre aux "exigances" de la Turquie, demandant des excuses pour l'attaque qui a tué neuf extrémistes turcs à bord du Mavi Marmara, qui tentait de briser le blocus naval de Gaza. Elles viennent également avant une visite d'Erdogan en Egypte lundi, visant à resserrer les liens avec ce pays dont les relations avec Israël se sont aussi compliquées ces dernières semaines. Erdogan, qui jouit d'une popularité énorme dans le monde arabe, seulement en raison de son attitude anti-israélienne, a déclaré à Al Jazeera que le raid avait eu lieu dans les eaux internationales, et était donc "illégal". "Cette attaque qui a eu lieu dans les eaux internationales n'est dont pas dans les lois internationales," a déclaré Erdogan. "Elle est une cause de guerre, mais nous avons décidé d'agir en conformité avec la grandeur de la Turquie et de faire preuve de patience." L'agence de presse étatique Anatolia a publié dimanche soir ce qu'elle annonce être un original en langue turque de l'entretien donné par Erdogan à la télévision Al Jazeera la semaine dernière. Il comprend des éléments non diffusés ainsi que le libellé original des commentaires sensibles qui n'ont été transmis que pour la traduction en arabe. La transcription en langue turque d'Anatolia, apparemment fournie par le bureau d'Erdogan, fait également le récit de la réponse du premier ministre à une question sur ce que la Turquie ferait pour assurer le libre passage pour ses navires en Méditerranée. "En ce moment, sans aucun doute, le premier devoir des navires de la marine turque est de protéger ses propres navires," a déclaré Erdogan. "C'est la première étape. Et nous avons de l'aide humanitaire que nous voulons emmener là-bas. Cette aide humanitaire ne sera plus attaquée, comme ce fut le cas avec le Mavi Marmara." Israël insiste sur le fait que ses soldats ont agi en légitime défense après avoir été attaqué par des extrémistes islamistes voulant "massacrer des juifs" selon leurs chants de guerre. Il a exprimé ses regrets pour la perte de vies à bord de la flottille, et a déclaré mardi qu'il était temps pour les deux pays de rétablir leurs liens étroits comme auparavant. Le rapport de l'ONU sur le raid déclare que le blocus naval israélien est légitime, mais qu'Israël a utilisé une force "excessive et déraisonnable". La Turquie a ce mois-ci suspendu ses relations militaires avec Israël, expulsé d'importants diplomates israéliens, et s'est engagé à faire campagne en faveur de la candidature de l'état palestinien. Erdogan est attendu pour donner un discours lundi à l'université du Caire, où, selon ses collaborateurs, il énoncera la vision de la Turquie pour la région. Articles connexes
46 commentaires
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L’Empire ottoman (Osmanlı İmparatorluğu en turc moderne) est un empire qui a duré de 1299 à 1922 (soit 623 ans). Il a laissé la place, entre autres, à la République de Turquie. Fondé par un clan turcique oghouze en Anatolie occidentale, l'Empire ottoman s'étendait au faîte de sa puissance sur trois continents : toute l'Anatolie, le haut-plateau arménien, les Balkans, le pourtour de la mer Noire, la Syrie, la Palestine, la Mésopotamie, la péninsule Arabique et l'Afrique du Nord (à l'exception du Maroc).
Entre 1916 et 1922, l’empire ottoman et ses marches firent l’objet d’intenses tractations entre Français et Britanniques. Après 1918, les Etats-Unis se posèrent en arbitres, au nom du « droit des peuples ». Pourtant, à aucun moment, les populations locales ne furent réellement consultées. Le partage territorial en fut durablement fragilisé.
Par Henry Laurens
En 1914, les provinces arabes de l’Empire ottoman se trouvaient sous l’influence collective et multiforme des puissances européennes, auxquelles s’ajoutaient les Etats-Unis. Les Jeunes-Turcs, au pouvoir depuis 1908, cherchaient à se débarrasser de ces ingérences permanentes, mais au prix d’un centralisme autoritaire qui suscitait l’émergence d’un mouvement autonomiste arabe prêt à chercher des appuis chez les Européens.
La France était la puissance dominante en « Syrie naturelle », grâce à ses investissements économiques et à son rayonnement scolaire et culturel. On en arrivait à parler d’une « France du Levant ». Les Britanniques, qui occupaient l’Egypte depuis 1882, avaient fini par reconnaître -de mauvaise grâce - cette primauté.
En entrant en guerre en novembre 1914, les Ottomans entendaient s’affranchir des dominations étrangères et liquider les autonomismes locaux. Dès le début de 1915, la répression frappe les élites politiques arabes (pendaisons, exils en Anatolie). Des populations entières seront martyrisées (chrétiens du mont Liban décimés par la famine, sort tragique des Arméniens et autres chrétiens anatoliens déportés et massacrés). Cherchant à déstabiliser les deux grandes « puissances musulmanes » que constituent les empires coloniaux français et britanniques, les Ottomans appellent à la guerre sainte, au djihad. Les Britanniques s’en tiennent d’abord à un combat défensif à proximité du canal de Suez, tandis que l’armée anglo-indienne commence la conquête difficile de l’Irak à partir de Basra (1).
Mais le djihad menace l’Afrique du Nord française (et une partie de l’Afrique noire) et l’Inde britannique. Français et Britanniques se trouvent ainsi en position défensive, et cherchent une nouvelle formule juridique susceptible de rétablir leur ancienne domination. Ils envisagent d’abord de maintenir un Empire ottoman décentralisé, qui serait un protectorat de fait. En attaquant les Dardanelles (1915) pour menacer la capitale de l’Empire ottoman, ils sont contraints d’accepter la revendication russe sur Constantinople et donc de considérer un partage de la région.
L’échec sanglant des Dardanelles n’en remet pas en cause le principe. En suscitant un soulèvement du chérif Hussein, émir de La Mecque, ils espèrent mettre fin à la menace du djihad et créer un nouveau front contre les Ottomans. Le haut-commissaire en Egypte, Mac-Mahon, entretient donc une correspondance difficile avec le chérif Hussein pour le pousser à se révolter. Défaillances de traduction et malentendus sur le sens des mots utilisés compliquent encore le texte, déjà ambigu, de la correspondance, créant ainsi un imbroglio dont la solution est remise à plus tard.
Un certain nombre d’esprits romantiques du Caire, dont le plus célèbre sera T. E. Lawrence, le futur Lawrence d’Arabie, misent sur une renaissance arabe qui, fondée sur l’authenticité bédouine, se substituerait à la corruption ottomane et au levantinisme francophone. Ces bédouins, commandés par les fils de Hussein, les princes de la dynastie hachémite, accepteront naturellement une tutelle britannique « bienveillante ». Londres leur promet bien une « Arabie » indépendante, mais par rapport aux Ottomans. De leurs côtés, les Français veulent étendre leur « France du Levant » à l’intérieur des terres et construire ainsi une « grande Syrie » francophone, francophile et sous leur tutelle.
Depuis cote d'ivoire
Oui, il ne faut pas faire confiance à un goy, encore plus à un arabe, mais les israéliens le savent pertinemment, ce sont des stratégies sur l'échiquier du proche-orient.
La paix en Israel, c est plus un musulman de gaza à Roch Anikra et du Jourdain à la méditerranée, si les états arabes sont si concernés par leurs" frères palestiniens", ils n'ont qu a les intégrer dans leur population.
C est cela la solidarité....
Je te garanti qu'il y a des goyim qui se comportent avec nous mieux que beaucoup de nos freres qui pactisent avec l'ennemi et qui voient en nous des ennemis.
Ne juge pas tous les goyim contente toi des arabes et de ceux qui sont nos ennemis, Shindler, Da Silva, Walenberg, Harper, Aznar, tous des goyim, et pourtant nos plus grand allié d'hiers et d'aujourd'hui et je ne te parle pas de tous ceux qui ont été elevés au rang de justes.... Il ne faut pas avoir la memoire courte