English Version Force de Défense d'Israel sur Internet
Inscription gratuite
AccueilInfos IsraelBlogs Juifs et IsraéliensVidéo IsraelOpinions : monde Juif et IsraelLe MagTOP SitesLa BoutiqueJuif.org TV

Israël : Défense au Moyen-Orient

Chef de Tsahal : "le monde doit se préparer au pire"

Chef de Tsahal : "le monde doit se préparer au pire" - © Juif.org

Le monde a besoin de se "préparer au pire" dans le sillage des bouleversements en cours au Proche Orient, en raison de la prolifération des armes dans le monde et dans les mains des organisations terroristes, a averti mercredi le chef d'état-major de Tsahal, le lieutenant général Benny Gantz.

S'adressant à une réunion des commandants militaires de l'OTAN au centre de l'alliance atlantique à Bruxelles, Gantz a déclaré que le monde avait besoin de "renforcer les éléments modérés et affaiblir les radicaux."

"C'est seulement grâce a un travail conjoint associant la carotte et le bâton que nous pourrons dissuader à long terme ces éléments radicaux," a déclaré Gantz. Plus tôt dans la journée, Gantz a rencontré les chefs d'état-major canadiens et italiens.

Gantz a déclare que la décision de l'OTAN d'établir un système de défense antimissile en Europe est une démonstration de la gravite que font peser les armes non conventionnelles sur le monde.

"Les systèmes de défense antimissile balistique ont besoin d'être la dernière ligne de défense, et l'initiative doit venir plus tôt, en épuisant tous les moyens disponibles pour prévenir la prolifération d'armes de destruction massive," a-t-il dit.

Mardi, Gantz a appelé les commandants militaires de l'OTAN à imaginer de nouvelles stratégies pour faire face à l'instabilité croissante au Proche Orient et à l'augmentation des menaces.

"Nous sommes aujourd'hui dans une réalité différente et plus dramatique qui comprend des nouvelles menaces et une période d'instabilité nécessitant une réévaluation de notre part à tous," a-t-il dit lors d'une rencontre avec le général Knud Bartels, président du comité militaire de l'OTAN.

Gantz a également prévu de rencontrer le chef d'état-major britannique, le général David Richards, le chef militaire russe, Nikolai Makarov, ainsi que les chefs d'état-major de la France, de l'Espagne, de l'Australie, de la Grèce et de la Pologne.

160 commentaires
pour les arabes qui fréquentent ce site, dont la cervelle refuse les fats historiques

Dès les années 1930, avec la montée du nationalisme et à l’initiative de la Ligue Arabe, les Juifs sont devenus des boucs-émissaires servant comme fédérateur d’union nationale. Puis, des appels au meurtre et des pogroms ont eu lieu en Irak (1941), en Libye (1945), en Syrie et au Yémen (1947), en Egypte et au Maroc (1948). Dans les semaines suivant le vote de l’ONU sur le partage de la Palestine, les menaces de nombreux délégués arabes (notamment Égyptiens, Irakiens et Palestiniens) à l’encontre des populations juives autochtones sont mises à exécution : perpétration de massacres et de pogroms, souvent orchestrés par les autorités officielles des pays concernés faisant des centaines de victimes et causant des pertes matérielles se montant à des millions de dollars (bombardement du quartier juif du Caire; émeutes sanglantes à Oujda et Djérada; destruction du quartiers juif d'Alep). L'expulsion des Juifs est l'occasion d'innombrables actes de violence contre les populations juives locales par les masses arabes ainsi que de la dépossession de leurs biens. A la déclaration d’Indépendance de l'État hébreu en 1948, la situation des juifs empire dramatiquement, d’autant que les pays arabes s’engagent ou soutiennent la guerre contre Israël.
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 18:21
MAIS, certains leaders arabes reconnaissent les faits historiques
Certaines voix arabes commencent à se faire entendre comme l’ancien leader de l’OLP en 1975, Sabri Jiryis ou récemment le chercheur et auteur irakien Rashid Al-Khayoun dans son interview en 2009 à la chaine de télévision Al-Arabiya1. Ils reconnaissent la responsabilité et la part active des Arabes dans l’exode des Juifs des pays arabes en général et la responsabilité directe du leader palestinien de l’époque, allié des nazis, le grand mufti de Jérusalem, Hadj Amin Al Husseini.
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 18:30
FAITS HISTORIQUES( suite et fin)
Il ne faut pas oublier que la moitié de la population israélienne est d’origine orientale, provenant de pays arabo-musulmans ayant démontré leur incapacité à accorder à leurs Juifs l’égalité des droits, la dignité et le respect des biens et des personnes, que ce soit en tant que dhimmis ou en tant que citoyens. Mon département s’occupe donc d’enregistrer, de documenter, de saisir et d’analyser les données recueillies à l’échelon national et international afin de demander des compensations pour les biens privés ou communautaires (synagogues, cimetières, écoles, hôpitaux, etc.) abandonnés, confisqués, expropriés ou volés aux communautés juives dans leurs pays d'origine. Les archives ainsi constituées représentent en plus de leur aspect juridique important, un formidable témoignage d’une valeur inestimable, de l’histoire de ces communautés à la veille de leur extinction. Ces documents préparent une éventuelle prise de conscience du monde arabo-musulman de la nécessaire reconnaissance des faits historiques.
rédaction des dossiers NOEMIE GRYNBERG
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 18:39


Sûrement. Des communautés vivent encore dans le sud de la Russie. Sauf erreurs sur la personne, l'Ahnenerbe avait spécifiquement instruits les unités SS de les épargner puisqu'ils utilisent les Cinq Livres comme fondement de la Torah. Le Talmoud étant rejeté.
Les Karaites en ont profité pour gonfler la liste de leurs membres qu'ils ont dû compiler pour les SS et ainsi sauver beaucoup de Juifs des déportations ou exécutions, et ce, en dépit d'une animosité qu'ils ont dû subir du reste de la communauté juive pour le rejet du Talmoud.
Envoyé par F_002 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 19:40
KARAITES

Mouvement karaïte et sionisme

Nombre de karaïtes sont devenus des sionistes convaincus. Le retour à la terre d'Israël est une composante essentielle du Tanakh: "Daniel Al-Kumisi, d'origine perse, arrivé à Jérusalem autour de 880, encourageait les karaïtes à venir en Israël, allant jusqu'à affirmer que ceux qui se dérobent à ce devoir 'éveillent le courroux du Seigneur' (Epître à la Diaspora)." Au XXe siècle, le mouvement sioniste rencontra également un écho dans certains milieux karaïtes. En 1954, Moshé Marzouk fut exécuté par les autorités égyptiennes, après avoir placé des bombes sur l'ordre des services secrets militaire israéliens [Affaire Laban, ndlr]. Israël a fait de ce "Juif égyptien" l'un de ses héros, passant sous silence le fait qu'il était karaïte. "Les karaïtes sont prêts à des sacrifices pour la terre d'Israël", affirme Nehemia.

Les karaïtes croient qu'à la venue du Messie, à fin des temps, un roi descendant de David règnera sur Israël et que le Cohen Gadol, ou Grand prêtre, révélera le sens véritable des Ecritures. En attendant, ils s'efforcent de comprendre les commandements bibliques de leur mieux, sachant qu'ils peuvent se tromper. "C'est pourquoi nous devons être tolérants des autres interprétations. Au Jugement dernier, on pourra nous reprocher d'avoir mal interprété tel ou tel verset, mais pas d'avoir été malhonnêtes."
Nathalie Szerma
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 20:37
karaites (suite)

"Le karaïsme existe depuis le temps de Moïse, même si les karaïtes d'alors ne se faisaient pas appeler de la sorte. Etre karaïte, c'est fournir sa propre réflexion sur le Tanakh. 'Karaïte', de l'hébreu Karaïm, signifie 'lecteur des Ecritures'. Toutefois", nuance Nehemia, "les karaïtes ne discutent pas le fait que la Torah soit d'inspiration divine et rédigée par Moïse en personne : c'est un courant religieux qui ne fait pas de critique biblique." Les "rabbins" karaïtes, appelés de préférence hakhamim (sages) doivent toujours baser leurs conseils sur le texte du Tanakh. Eliahou Marzouk est probablement la plus grande figure spirituelle karaïte actuelle. Il habite Ofakim.

"Contrairement aux samaritains et aux Hébreux noirs, les karaïtes sont juifs"
Envoyé par Roland_017 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 20:42
on y apprendre des choses ici !
Envoyé par Arturo - le Mardi 24 Janvier 2012 à 23:07
Roland tu es brillant, mais va t'en jeter un, avec un peu d'huile d'olive, pour les doigts !!! Clin d'oeil Clin d'oeil Clin d'oeil

A chaque fois tu me cloue et la pour me détacher de l'écran, c'était chaud !

Un détail, les Kaira ites, attendent que le Messie soit un guerrier, il me semble ???
Envoyé par Moshé_007 - le Mardi 24 Janvier 2012 à 23:32
Une croyance juive, ancrée dans la Bible hébraïque (principalement le onzième chapitre du Livre d'Isaïe), veut qu'un jour, un descendant de David se lève et mène le peuple d'Israël à la victoire. Ce personnage est appelé le Messie, c'est-à-dire l'oint (Daniel 9:25-26); présenté comme un chef militaire dans les prophéties d'Isaïe, mais sur le messie, quantités de legendes sont a prendre avec précaution,
Le Messie (Mashia'h hébreu : משיחClin d'oeil est, dans le judaïsme, un homme, issu de la lignée du Roi David, qui amènera dans le monde à venir, une ère de paix et de bonheur, éternelle et dont bénéficiera la nation israélite et le monde, qui s'élèvera avec elle.
Pour les juifs, ce Messie n'est pas encore venu : le fait d'avoir cru en la messianité de Jésus a séparé les Juifs des premiers Chrétiens il y a 2 000 ans, et la messianité de Menachem Mendel Schneerson affirmée par certains de ses partisans, les Hassidim de Loubavitch, des Juifs hautement orthodoxes, leur ont valu de vives critiques de la part d'autres, ces critiques allant parfois jusqu'à la suspicion d'hérésie.
Cependant, si les temps messianiques sont une croyance généralement partagée, les avis sur le Messie divergent, et nombreux sont les Juifs, notamment les Juifs réformés, qui estiment pouvoir s'en passe
Envoyé par Roland_017 - le Mercredi 25 Janvier 2012 à 13:53
JESUS AUSSI ETAIT UN JUIF LIBERAL, ON CONNAIT LA SUITE.
Né en Allemagne avec la philosophie des Lumières, le judaïsme que l’on appelle alors progressiste ou réformé arrive en France au début du XXe siècle par la création, en 1907 de l’U.L.I., devenu plus tard U.L.I.F. et mieux connu sous le nom de « synagogue de Copernic ».
La concrétisation d’un mouvement juif progressiste remonte à 1885 avec la plateforme de Pittsburgh qui voit la réunion de quinze rabbins américains affirmer la nécessité d’une approche moderne de la pratique de la foi . En 1926, la WUPJ, union mondiale pour un judaïsme progressiste est créée pour faire le lien entre toutes le communautés libérales, réformées et reconstructionnistes. Le courant progressiste est aujourd’hui majoritaire dans le monde juif religieux.
En France, pour des raisons historiques, le judaïsme libéral n’est pas reconnu par le Consistoire central israélite, ce qui explique que son développement a été plus progressif que dans d’autres pays européens ou aux Etats-Unis. Les communautés libérales qui existent dans toutes les plus grandes villes françaises connaissent cependant une expansion inédite depuis quelques années.
Envoyé par Roland_017 - le Mercredi 25 Janvier 2012 à 14:16
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 60 minutes