|
Israël : Défense au Moyen-OrientIsraël réfléchit au "jour d'après" une frappe contre l'IranAprès les propos lourds de menace du Premier ministre Benjamin Netanyahu lors de sa récente visite à Washington, les analystes israéliens ne s'interrogent plus tant sur la faisabilité d'un bombardement des sites nucléaires iraniens que sur les conséquences d'une telle action."Le principal point de discussion, c'est de savoir ce qui va se passer une fois que l'option militaire aura été employée. Nous supposons que la réponse des Iraniens va être violente, mais jusqu'à quel point'", poursuit Michael Herzog, ancien responsable de la planification stratégique de Tsahal. 48 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - i24 News
Il y a 2 heures - Kountrass
2 Juin 2025 - Le Monde diplomatique
2 Juin 2025 - Le Figaro
1 Juin 2025 - Le Figaro
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
23 Mai 2025 par Blaise_001
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 7 minutes
Mais cela n'implique pas des opérations nucléaires " anti-cités " , comme on disait dans le vocabulaire de la dissuation au temps de la Guerre Froide. L'arme atomique dans toute sa splendeur - si j'ose dire : comprendre : dans toute sa terrifiante horreur - doit demeurer l'arme de dernier recours, celle de " l'option Samson " . Mais, à ce propos, je crois qu'il importe de bien voir que " le dernier recours " de la stratégie " anti-cités " n'a de sens que pour des Etats disposant de la " profondeur géo-statégique " et d'une masse démographique considérable. C'était le cas, au temps de la Guerre Froide, des Etats-Unis comme de l'URSS ou de la Chine. Ce n'est nullement le cas d'Israël.
Dans le cas d'Israël, une seule bombe nucléaire sur Tel Aviv ( 'has ve-shalom ! ) suffirait. Et qu'Israël possède, ou non le moyen, via les " Dolphins " , d'effectuer une " seconde frappe " serait une piètre consolation post mortem pour les six millions de Juifs vitrifiés ... C'est pourquoi Israël ne peut EN AUCUN CAS s'en remettre à qui que ce soit ( et surtout pas au muzz de la Maison Blanche et à ses hypocrites assurances ) de sa sécurité. En cas de frappe ADM sur Israël, il n'y aurait pas de deuxième acte.
Israël a attendu patiemment. Il a attendu que la diplomatie marche. Il a attendu que les sanctions marchent. la diplomatie n'a pas marché. Les sanctions n'ont pas marché non plus. Israël ne peut se permettre d'attendre beaucoup plus longtemps.
Mais dire cela n'implique pas qu'il faille user de bombes nucléaires contre l'Iran.
Cela ne veut bien sûr pas dire que l'usage d'armes nucléaires tactiques ( à uranium appauvri ) ne soit pas envisageable pour parfaire et compléter l'oeuvre des GBU et autres MOP sur les installations nucléaires iraniennes.
http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/169058,chine-etats-unis-le-match-du-xxie-siecle.php?m=Votre+commentaire+a+bien+%E9t%E9+envoy%E9.+Il+est+affich%E9+d%E8s+maintenant+sur+le+site.
Les interventions de Tsahal seront ou sont déjà, furtives à 200% et nucléaires avec des ogives très faibles puissances (à partir de 50 tonnes) !
Les approvisionnements et ravitaillement en vol ou pas seront effectués à la surprise de tous et sur un territoire insoupçonné et insoupçonnable !!
En cas de représailles iraniennes les coups serons très durs que ce soit en iran, en syrie au liban ou à gaza !!!
Les plus exposés à cette entreprise sont les pays du golf et parmi ces pays il y a aussi des candidats à l'arme nucléaire dinc Tsahal risque de faire d'une pierre deux coups !!! au grand dam d'obama !!!
Ce qui était valable pour le Japon en 45 ne l'est assurément pas aujourd'hui, les données ont bien changé - et puis l'Iran a de la réserve démographique et géostratégique, pas Israël qui est très vulnérable sur ce plan. Israël, quoi qu'on en pense doit aussi songer à ne pas définitivement sacrifier les Juifs du monde contre lesquels la furie des masses locales habilement manipulées se retournerait immédiatement.
N'oublions pas non plus que, même entouré d'ennemis qui veulent sa disparition et mettent tout en œuvre dans ce but, Israël a de part le monde des amis fidèles et dévoués, pas forcément Juifs - je ne parle pas là d'alliés, un allié, c'est donnant-donnant, c'est une relation de dépendance mutuelle, mais d'AMIS viscéralement sincères et qui n'hésitent pas à le faire savoir et qui seront prêts à s'engager plus avant si nécessaire.
Et puis il y a aussi une grande différence entre la peur, légitime, celle qui fait réfléchir, et la lâcheté.
Mais seul Israël - son gouvernement démocratiquement issu des élections ; et son Etat-Major - peut déterminer le jour et l'heure, le moment opportun : le " kaïros " . Je ne sais plus quel journal ( britannique, je crois : le " Sunday Times " ? ... ) spéculait hier sur la possibilité de frappes israéliennes en septembre ( il me semble ... ) ... - c'est-à-dire à la veille même de l'élection présidentielle américaine, étant entendu que Baraq 'Hussein Obama est prêt à presque tout pour que ces frappes n'aient pas lieu avant le 6 novembre ( jour de l'élection ).
Il n'est pas absolument certain que Baraq 'Hussein Obama sera réélu. C'est néanmoins l'hypothèse malheureusement la plus probable, pour différentes raisons, dont l'embellie économique actuelle et l'incapacité dont fait preuve le parti républicain de se doter d'un leader crédible et susceptible de galvaniser l'électorat populaire. La réélection de BHO serait, pour
Israël - et, bien sûr, pour les Etats-Unis ainsi que pour l'Occident en général - une véritable catastrophe. N'ayant plus à se soucier de se gagner l'électorat, le disciple du révérend Jeremiah Wright pourrait alors donner libre cours à sa haine d'Israël et " punir " Benyamin Netanyahu et son gouvernement de lui avoir victorieusement tenu tête pendant quatre ans en " jetant Israël sous les roues de l'autobus " .
On dit que si BHO veut à tout prix empêcher Israël d'agir avant le 6 novembre, c'est parce qu'une éventuelle situation de guerre au Moyen-Orient aurait des répercussions sur les Etats-Unis, peut-être forcés de se solidariser alors avec Israël, et de toute manière touchés par les répercussions économiques qu'entraînerait le choc pétrolier déclenché par l'Iran au moyen du blocus du détroit d'Ormuz.
Si tant est que cela soit exact, alors peut-être convient-il d'intégrer précisément ces éléments dans la détermination du " kaïros " . Car il est évidemment de l'intérêt d'Israël ( et de ce qui peut bien demeurer de libre dans le monde occidental ) que BHO ne soit pas réélu. Si, donc, une intervention militaire contre les installations nucléaires iraniennes peut avoir pour effet notable entre autres de peser négativement sur la réélection d'Obama, alors je dirai, au risque de paraître un peu Realpolitiker, voire un peu cynique, que
c'est une raison supplémentaire, et non la moindre, d'entreprendre cette intervention !
Or, attendre jusqu'à l'avant-dernière