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Israël : Défense au Moyen-OrientLieberman : "pas de doute que l'Iran et le Hezbollah sont derrière l'attentat"S'exprimant jeudi matin, le ministre des affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a déclaré qu'Israël avait "des preuves solides et indiscutables" que le Hezbollah était derrière l'attentat terroriste en Bulgarie mercredi. "Les terroristes du Hezbollah ont exécuté cette attaque aidés des 'gardiens de la révolution' iraniens." Lieberman a ajouté qu'Israël avait fait une "identification positive" des terroristes impliqués dans l'attaque. Il n'a pas précisé comment Israël est arrivé à cette conclusion. Suite à l'attaque mercredi, le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré dans un communiqué que "toutes les indications disent que l'Iran est derrière l'attaque mortelle. Pour les seuls derniers mois, nous avons vu des iraniens tenter d'attaquer des israéliens en Thaïlande, en Inde, en Georgie, au Kenya, à Chypre et d'autres endroits." Mercredi marquait également le 18eme anniversaire de l'attaque contre le centre juif de Buenos Aires, dans laquelle 85 personnes ont trouvé la mort. L'Iran était également derrière cette attaque a déclaré Netanyahou. "Dix-huit ans exactement après l'explosion du centre communautaire juif en Argentine, le terrorisme meurtrier iranien continue de frapper des personnes innocentes. Il s'agit d'une attaque terroriste iranienne qui se repend dans le monde entier. Israël va réagir puissamment contre le terrorisme iranien." L'Iran, pour sa part, nie comme à son habitude toute implication dans l'attaque, qualifiant l'idée de "ridicule". Lieberman a toutefois déclaré que l'attaque était "typique" du genre d'attaque que l'Iran effectue. "L'Iran et le Hezbollah ne s'arrêtent pas de comploter et d'agir contre nous, même pour un instant," a déclaré Lieberman à Israël Radio. "Cela n'a pas commencé hier, et ne se terminera pas demain." Dans une déclaration révisée jeudi, le ministère des affaires étrangères a déclaré avoir réduit le nombre de victimes dans l'attentat en Bulgarie. Cinq israéliens ont été tués dans l'explosion, et non pas six comme cela avait été annoncé précédemment. Sept personnes ont été tuées dans l'explosion du bus à l'aéroport de Bourgas, cinq israéliens, le chauffeur de bus bulgare, et apparemment le terroriste. Trente et un israéliens ont été blessés dans l'attaque, et trois d'entre eux se trouvent toujours dans un état grave. Les trois blessés graves étaient en route vers Israël, après que des équipes de médecins israéliens aient veillé à ce qu'ils puissent être déplacés et transportés à l'aéroport en toute sécurité. Articles connexes
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Il est certes nécessaire d’« historiciser la Shoah » comme nous y invite Georges Bensoussan[1]. A l’heure du négationnisme, il convient d’entrer résolument dans les faits, faire l’étude précise et rigoureuse du génocide, d’analyser l’antisémitisme, de s’intéresser aux victimes, mais aussi aux bourreaux, de s’efforcer de comprendre la société allemande dans laquelle est né le projet exterminationniste et la société française qui a puissamment contribué et à l’arrestation, à la livraison des Juifs, et parfois à leur sauvetage. Cela implique de ne pas se cantonner au « lamento moraliste du "plus jamais ça" », à la leçon de morale inopérante[2] .
Mais plus l’on se penche sur l’extermination des Juifs durant la Seconde guerre mondiale, moins on la comprend, au sens ou « comprendre, c’est presque justifier »[3] . En classe, nous pouvons en décrire le mécanisme, nous savons montrer des enchaînements de faits et d’idées, nous précisons les chiffres, nous localisons mieux. Mais pouvons nous comprendre ce qui s’est passé ? Il me semble qu’aucune école historique, aucun système philosophique, ne parvient à expliquer complètement la Shoah. Les religions paraissent particulièrement démunies sur cette question . Je n’irai pas jusqu’à rejoindre complètement Claude Lanzmann, pour qui chercher à comprendre serait une sorte de profanation, une absolution indécente du crime unique, par la désacralisation de la causalité[4] , mais il faut dire l’insuffisance de la seule démarche historique : travailler sur la Shoah conduit parfois à rester là, les bras ballants, devant l’horreur ordinaire de nos découvertes…
L’Islam court à son malheur terrestre pour son salut éternel
Jamais, si l’on en suit ses propres prophéties, l’Islam ne récupérera Jérusalem. Toute leur foi, leur obstination se concentre sur cette ville : «Elle est terre d’Islam. Nous en chasserons les infidèles. » Voici une preuve de cette détermination. Il s’agit d’une fatwa* (décision religieuse) du Mufti de Jérusalem le Sheikh Ikrama Sabri concernant le Mur Occidental, le dernier vestige du Temple détruit par Titus [24] (Kotel hama’aravi, encore appelé Mur des Lamentations,).[25]
«La question du Mur "Al-Bouraq" a été soulevée. Mais selon le droit international, il s'agit d'un patrimoine islamique consacré, puisque le Mur "Al-Bouraq" fait partie de la muraille de la Mosquée Al-Aqsa. Qui plus est, c'est le Prophète Mohammed lui même qui l'a sanctifié lorsqu'il y attacha (la jument) Al-Bouraq, qui l'avait transporté sur son dos de La Mecque* à Jérusalem, dans la nuit du Mi'raj (ascension au ciel de Mohamed, selon la tradition musulmane). C’est pourquoi nous décrétons que ce Mur appartient à l'Islam et n'a rien à voir avec les Juifs. Concernant ce qui a été publié dernièrement sur la chute de quelques pierres du mur et l'intention qu’ont les Juifs de le réparer, nous affirmons que le ravalement de ce Mur relève de l'autorité de l'Administration des Biens islamiques (Waqf) et qu’il est interdit a