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Israël : Défense au Moyen-Orient"Israël peut agir seul contre l'Iran"Israël sera en mesure de stopper le programme nucléaire de l'Iran par lui-même, si nécessaire, a déclaré mardi le ministre adjoint des affaires étrangères, Zeev Elkin (Likoud). Elkin a soutenu les récentes déclarations de l'ancien conseiller à la sécurité nationale, Yaakov Amidror, et du ministre de l'économie Naftali Bennett. Amidror a déclaré dimanche qu'Israël pouvait stopper le programme nucléaire de l'Iran "pour un très long moment" si il le voulait et qu'il n'y avait "aucun doute" que le premier ministre Benyamin Netanyahou sera prêt à prendre la décision de frapper les installations nucléaires iraniennes unilatéralement si nécessaire. Bennett a déclaré lundi qu'Israël "a la capacité de se défendre, et Israël se défendra si nécessaire." Ces déclarations, a dit Elkin, font l'écho de ce qu'a dit Netanyahou lui-même lors de son dernier discours à l'ONU. "Nous avons dit les choses très clairement, et c'est ce que le premier ministre a déclaré à l'ONU. Nous avons dit que si le monde n'agit pas, nous allons résoudre le problème seul, et nous le pensons," a-t-il souligné, ajoutant que "nous sommes en mesure d'agir. Ce n'est pas facile. Notre capacité de causer des dommages au programme nucléaire iranien n'est pas aussi forte que celle des américains, mais cette habilité existe bel et bien, et nous ne pouvons pas rester les bras croisés si nous voyons que l'Iran avance vers l'arme nucléaire." Elkin a averti que l'accord actuellement proposé à l'Iran pourrait conduire à une situation similaire que celle connue avec la Corée du Nord. "Cet accord n'est pas bon car il laisse une grande chance que nous soyons surpris et que l'Iran arrive a une arme nucléaire, et un exemple de cela est la Corée du Nord," a-t-il dit. "Quand vous parlez avec les sud-coréens, vous voyez exactement quel est le prix d'un mauvais accord. Il semble que pour le moment nous nous dirigions vers une mauvais accord, un accord dans lequel l'Iran contribue a des choses inutiles qui auraient pu avoir une signification il y a un an ou deux, mais qui a la lumière des progrès technologiques de l'Iran n'ont pas de sens aujourd'hui." Il a noté qu'il ne peut pas dire avec certitude qu'un accord avec l'Iran sera en effet signé cette semaine, en soulignant l'échec de la dernière série de pourparlers en raison de la position dure de la France envers le programme nucléaire iranien. "Je suis d'accord qu'il est très probable que l'accord soit signé, mais ce n'est pas certain," a dit Elkin. Avant les négociations de mercredi, le ministre iranien des affaires étrangères, Javad Zarif, a diffusé une vidéo dans laquelle il insiste sur les "droits" et la "dignité" de son pays pour poursuivre son programme nucléaire. Dans la vidéo, Zarif affirme que les pourparlers de Genève ne sont "pas dans l'impasse" après l'échec du précédent cycle de négociations. Pendant ce temps, le conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis, Susan Rice, a tenté de minimiser l'impact d'une levée limitée des sanctions économiques sur l'Iran. Rice a déclaré à CNN que l'accord qui est offert à l'Iran par l'Occident est "une bonne chose". Plus précisément, a-t-elle dit, il va faire reculer le programme nucléaire iranien sur des points clés sur une période de six mois tout en augmentant la transparence entourant le programme, de telle sorte que les iraniens "ne pourront pas se faufiler". Lundi, le secrétaire d'état américain John Kerry a dit qu'Israël a "le droit" d'exprimer son opposition à un accord sur le nucléaire iranien, mais a déclaré que les craintes de Netanyahou étaient sans fondement. "Rien de ce que nous faisons ici, à mon avis, va mettre Israël devant un risque supplémentaire," a déclaré Kerry. "En fait, permettez-moi de clarifier ce point, nous pensons qu'il réduit le risque." Cette déclaration, venant de la part du représentant d'une administration américaine qui n'accumule que des échecs sur la scène internationale, ne devrait même pas être diffusée. Kerry et Obama ont prouvé ne strictement rien comprendre a la politique internationale, en particulier celle du Moyen Orient, et c'est tout le fondement des craintes exprimées non seulement par les israéliens, mais également, et Kerry omet volontairement de le préciser, par la majorité des pays arabes de la région.
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16 commentaires
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et mai, et finalement évitée, il se pourrait qu'intervienne un coup de théâtre de dernière minute, sous l'impulsion de la Russie. C'est, me semble-t-il, ce à quoi pense peut-être " Bibi " et que, peut-être, il est allé suggérer à Moscou à Vladimir Poutine ( tel serait le sens des déclarations selon lesquelles il faudrait, pour le nucléaire iranien, un règlement comparable à celui intervenu pour les armes chimiques syriennes ).
AM ISRAEL HAY
Ne penses-tu pas que la visite de Natanyahou à Poutine n'est elle pas destinée
à prévenir Poutine que, si il n'intervient pas auprès de l'Iran, cela voudra dire
que la seule option pour Israël sera la force militaire ?
Bon chabbat à vous et à tous nos amis sur le site.
AM ISRAEL HAY