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Israël : Défense au Moyen-OrientLe Hamas continue de tirer des roquettes, Israël ne réplique pas !Les sirènes ont retentit le long de la côte a Ashdod, Ashkelon, de même qu'en Judée et certaines régions de Samarie dimanche matin, en dépit d'un "cessez-le-feu humanitaire" entre Israël et le groupe terroriste Hamas. Deux roquettes ont été abattues par le système de défense antimissile Dôme de Fer dimanche matin, deux autres sont tombées dans des zones non habitées à l'extérieur d'Ashkelon. Aucun blessé ou dommage n'ont été signalé. Sept roquettes ont été tirées sur la région du Sharon et du sud d'Israël plus tard dimanche matin, le Dôme de Fer en abattant deux au-dessus de Petah Tikva, et cinq touchant le sud d'Israël. Des débris sont tombés dans toute la ville de Petah Tikva, mais aucun blessé n'a été reporté. La municipalité demande à tous les résidents de se tenir à l'écart des débris. Israël a annoncé samedi soir qu'il prolongerait un cessez-le-feu humanitaire jusqu'à dimanche 21h00. Depuis lors, le Hamas a tiré des dizaines de roquettes sur les civils israéliens, blessant deux personnes. Par ailleurs, un officier supérieur de Tsahal a déclaré sous couvert d'anonymat que l'opération pour détruire les tunnels terroristes se poursuivait. "L'opération contre les tunnels terroristes est menée en parallèle, avec les efforts considérables déployés par le Génie sur le terrain," a déclare l'officier, ajoutant que l'opération n'est pas seulement "d'insérer des explosifs dans les tunnels, mais de le faire de la bonne manière." "Il y a d'immenses frictions avec les terroristes du Hamas et les soldats de combat sur le terrain ont été chargés d'opérer avec une vigilance maximale pour éviter d'être blessés par des terroristes," a-t-il ajouté. L'officier a expliqué que, bien que l'armée israélienne coopère officiellement avec le "cessez-le-feu humanitaire", l'opération sur les tunnels terroristes continuera. "L'opération est d'éliminer des cibles terroristes, et en tant que tel, nous nous concentrons là-dessus," a-t-il dit. En attendant, les habitants du sud d'Israël sont toujours sous le feu des roquettes tirées par le Hamas, comme c'était le cas la semaine dernière ou il y a un mois, et ne comprennent évidemment pas pourquoi Israël joue à offrir des "cessez-le-feu" quand la situation sur le terrain ne change absolument pas. On comprend donc qu'une fois de plus Benyamin Netanyahou s'est soumis à la pression internationale, spécialement celle des Etats-Unis, et, voulant sauver la face auprès de l'opinion israélienne, a fait les choses comme à son habitude : n'a pas accepté officiellement une trêve avec les groupes terroristes, mais l'a fait de manière détournée, laissant aux terroristes le dernier mot sur le terrain. Articles connexes
39 commentaires
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qu'il n'y ait pas à aller plus loin. Jusqu'à présent - et ceci aussi a quelque chose de troublant - c'est le 'Hamas qui a en quelque sorte dicté le rythme et les étapes de l'engagement israélien. Depuis le début de cette affaire, je me demande pourquoi le 'Hamas a, depuis le 11 juin ( rupture du cessez-le-feu de novembre 2012 par la reprise des tirs de missiles contre Israël ) et le 12 juin ( enlèvement et assassinat des trois jeunes étudiants de yeshiva ), cherché ( et réussi ) à entraîner Israël dans une guerre dont ni ses stratèges ni ses chefs politiques ne voulaient.
Le masque tombe, oui, peut-être pour la deuxième fois ( si l'on compte le lâchage d'Israël sur la question du nucléaire iranien ) : lors de la réunion d'hier à Paris, John Kerry et Laurent Fabius avaient convié les " sponsors " du 'Hamas, Turquie et Qatar, mais pas Israël, ni, je crois, Mahmod Abbas ! Ce qui fait que ces messieurs s'étaient retrouvés entre eux, gentlemen du " 'Hamas' Fans Club " , l'Egypte, outrée de ce traquenard 'hamasien, ayant refusé de participer à ce gentil petit cénacle.
L’histoire se répète, son toujours les mêmes. AM ISRAEL HAY !
Ton hypothèse, Serge ( ton post de 12 : 21 ) est peut-être bien la bonne : elle permettrait d'expliquer ce que je trouve incompréhensible ( pourquoi le 'Hamas a engagé le fer les 11 et 12 juin ). En d'autres termes - et si je te comprends bien - le piège prétendument tendu au 'Hamas ( par les soins de la diplomatie américaine ) : l'enchaîner au char de l'Autorité " Palestinienne " aurait été éventé, désamorcé et en quelque sorte retourné par le 'Hamas - ce, à travers ce qui s'est passé les 11 et 12 juin. Si l'onnpoursuit le raisonnement encore plus loin, on pourrait même aller jusqu'à penser que la pointe ultime des initiatives de guerre du 'Hamas pourrait être dirigée au moins autant contre le maréchal Abd El-Sissi que contre Israël ... : il s'agirait, pour les stratèges brzezinskiens du Département d'Etat, de venger ( et, s'il se pouvait, d'annuler et de renverser ) l'immense défaite qu'ils ont subie il y a un an en Egypte, lorsque le peuple et l'armée ont mis fin à la mainmise sur le pays de Mohamed Morsi et des " Frères Musulmans " ( dont - il convient de ne jamais l'oublier - le 'Hamas constitue la branche " palestinienne " ).
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 27 Juillet 2014 à 14:03
Je ne vois pas les Américains déplorer l'arrivée de Sissi en Egypte . Ils ne font pas de la politique comme on jouerait une partie d'échecs .
Ils peuvent se tromper évidement mais je pense que comme pour le monde des affaires , ils sont concrets , matérialistes , on dit même empiriques .
Nous Français , aimons les idéologies , les plans abstraits , la ...littérature .
dans ces conditions, on comprend aussi l'affolement de John Kerry ( ce distingué gentleman de l'establishment de la côte Est confiait hier qu'il commençait à perdre patience ... ), de Laurent Fabius et de tous ceux qui ont ponté sur le 'Hamas : leur principal instrument de pression, celui qu'ils comptaient bien instrumentaliser à leur guise, via une mainmise sur l'AP , pour faire enfin plier Israël ( ce qui est, depuis 2009, la seule véritable constante de la politique extérieure de l'administration Obama ), cet instrument est en passe d'être pulvérisé, militairement, par Israël.