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Israël : Défense au Moyen-OrientUn soldat israélien tué à GazaL'armée israélienne a confirmé la mort d'un soldat ce matin durant son offensive terrestre lancée contre le Hamas dans la bande de Gaza. Selon l'armée israélienne, il aurait été "tué ce matin par un obus de mortier dans le secteur de Beit Lahya".
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un soldat doit faire son travail, il ne peut avancer et prendre en charge un journaliste dans les jambes....
si ce sont des " journalistes de guerre " comme il en existe, ceux-la meme sauront comment se conduire sur un terrain dangereux et c'est a leurs risques et peril. une balle perdue, un journaliste a terre et en grand TITRE !
ISRAEL ABAT UN JOURNALISTE DANS L'EXERCE DE SA FONCTION ! ce n'est pas deja arrive crois-tu ?
ceux qui sont avec nos soldats sont israeliens et bien entraines a ce genre de reportage, tu en verras apres la guerre ca je te le promets B''H !
penses-tu que tsahal a besoin d'ennemis supplementaires sur le terrain ? si tu savais qui se cachent sous cette appellation... " palestine-solidarite HAARETZ ". c'est le pur produit d'une collaboration avec une leila shahid.
mais j'ai l'impression que je n'ai pas compris ton message, je vais chercher qui est ce " julien laborie ".
- membre de copains d'avant ( tout comme moi marrant, mais je ne vois toujours pas le rapport entre lui et israel tu m'excuses sylviane, eclaire-moi car actuellement c'est moi qui manque de lumiere. )
je suis confuse, c'est toute une page que j'ai trouvee/google sur ce monsieur.
http://www.google.fr/search?hl=fr&q=julien+laborie++&btnG=Rechercher&meta=
En ce qui me concerne tous ces gens là je ne leur réponds plus y compris cheraz et charles ey quelques autres
Envoyé par Maurice - le Dimanche 11 Janvier 2009 à 23:06
guerre du liban 2006
LA BATAILLE PERDUE DU SERGENT SHALOM
Julien Lacorie / Samedi 05 Août 2006
L'incursion de Tsahal dans cette localité du Liban sud a laissé des traces dans les deux camps. En la vivant de l'intérieur, Ohad Shalom a découvert chez les combattants du Hezbollah une détermination qu'il n'imaginait pas.
Lundi 24 juillet. Depuis ce matin, plusieurs dizaines de fantassins ont franchi la frontière qui sépare la Haute-Galilée du Liban sud. Cinq kilomètres les éloignent de Bint Jbeil, la localité d'où la milice chiite tire ses roquettes sur Kyriat Shmona, Safed et Rosh Pina, les villes du nord d'Israël. C'est la première bataille terrestre de cette guerre qui vient brusquement de «changer de cap», selon l'expression employée par les militaires à Tel-Aviv. Marcher en territoire ennemi, les soldats de Tsahal en ont l'habitude. Leurs multiples incursions dans la bande de Gaza valent mieux que toutes les écoles de guerre. Et ceux qui vont au combat figurent parmi les meilleurs d'entre eux. La majorité des troupiers n'a pas plus de 20 ans, mais elle appartient à l'élite de l'armée israélienne, le fameux» bataillon 51 des Golani» et deux régiments de parachutistes.
De notre correspondant en Israël, Julien Lacorie
Un premier avertissement
Cinq kilomètres, c'est peu. Mais, surprise, un premier missile antichar percute l'un des blindés posté sur une crête, à portée de vue des premières maisons. Pas de victime. L'avertissement, rétrospectivement, aurait dû être pris au sérieux. La troupe occupe, peu à peu, l'ensemble des hauteurs, s'installe dans une villa hollywoodienne construite au sommet d'une colline dont on saura qu'elle est la propriété d'un riche chiite en vacances aux Etats-Unis, contourne Bint Jbeil pour couper toutes les routes.
Mardi 25 juillet. Un commando force les portes de plusieurs maisons à l'entrée de la petite ville, et le sergent Ohad Shalom croit encore à une guerre high-tech et propre, une guerre une nouvelle fois éclair que ses chefs, relayés par la télévision, décrivent depuis plusieurs jours. Tsahal ne peut perdre contre cette armée de «lâches» qui ne savent que mourir au milieu de la foule avec une ceinture bourrée d'explosifs. D'ailleurs, reviennent déjà, en écho, les communiqués de victoire claironnés de Jérusalem à Tel-Aviv: Bint Jbeil, d'où la milice pro-iranienne terrorisait les kibboutzim, Bint Jbeil est tombé.
Mercredi 26 juillet. Sur ordre du commandement, une colonne de soldats entre effectivement dans la ville en ruine. Où est le Hezbollah? Où sont ces combattants dont on dit qu'ils se déplacent en scooter, un talkie-walkie à la main et des grenades plein les poches? Ont-ils été tués par les bombes- c'est ce qui avait été prévu?Non, ils sont là, derrière le déluge de feu qui s'abat soudain sur les «Golani». Ils sont là, tireurs embusqués derrière les fenêtres et sur les toits, des dizaines probablement, avec pour mission - le sergent Ohad Shalom le pressent - d'enlever un soldat ennemi, mort ou vif, afin de s'en servir comme monnaie d'échange. L'effet de surprise est total. La petite colonne israélienne voudrait gagner le sommet d'une butte dans l'espoir de dominer la situation, mais plusieurs hommes sont déjà à terre. L'un semble mortellement atteint, les sept autres sont gravement blessés. Il faut se ressaisir, répliquer et pilonner ces endroits d'où jaillit le feu. Se mettre à couvert, tout en évacuant ceux qui ont été touchés. Ce n'est plus de la frappe chirurgicale. Ce n'est plus la guerre vue du ciel. C'est le corps à corps de la guerre à l'ancienne, les tirs à bout portant, la grenade jetée à la force du poignet, à laquelle répond bruyamment le fusil d'assaut.
Roquettes sur la mosquée
Combien de miliciens chiites les soldats de Tsahal ont-ils touchés? Combien sont-ils, dissimulés derrière les murs de pierre blanche? Leurs pertes doivent être lourdes, à en juger par le repli qu'ils opèrent dans le désordre. Us se retranchent dans une petite mosquée. Ils sont une trentaine, peut-être 40. Ils tirent depuis la porte de cet abri dédié en temps normal à la prière. Le tonnerre des hélicoptères résonne sur les têtes. Les renforts arrivent par le ciel et criblent de roquettes la maison de Dieu. Le sergent Ohad Shalom mitraille lui aussi. Il lui semble qu'il en a touché deux, il le croit, il l'espère, il aura contribué à venger les siens.
Vite, évacuer les corps avant que les choses ne se gâtent à nouveau. Trop tard, de nouveau des roquettes antichars fusent d'on ne sait où, type RPG, doublées de quelques obus de mortier et de rafales de kalachnikov. Ils sont bien équipés, ces «bâtards» de miliciens chiites. Us ne disposent certes pas de la haute technologie israélienne, ni de chars, ni de moyens aériens, ni de tirs à infrarouge pour la nuit Mais ils ont des munitions de qualité, de fabrication russe, et même française.
Dans les ruelles, c'est le balagan, le bordel en hébreu, ce n'est pas le sergent Ohad Shalom qui dira le contraire. Les autres, en face, en veulent à mort. Rien à voir avec les Palestiniens. Ils ne lâchent pas un centimètre de terrain, et le temps passe. Une, deux, trois heures, et s'accumulent une vingtaine de blessés désormais, que l'on transporte péniblement derrière un mur de fortune, dans l'espoir de les protéger dans le seul bâtiment sous contrôle. Les morts aussi, sept de plus, sept de trop. Cinq hélicoptères Blackhawk tentent alors une approche, se posent lourdement sur un terrain distant de quelques centaines de mètres. On improvise des brancards, on charge les corps à dos d'homme, et on fonce en espérant passer entre les balles. L'artillerie dresse, à coups d'obus, un mur de poussière, dans l'espoir de camoufler l'évacuation en cours. Décollage une minute plus tard, peut-être deux, en direction d'Haïfa et de son hôpital, une trentaine de kilomètres au sud.
Sous-estimation
Pourquoi les troupes d'élite israéliennes se sont-elles laissé piéger aussi facilement? Pourquoi avoir envoyé quelques centaines de soldats dans ce chaudron sans avoir fait parler au préalable la puissance de feu? Pourquoi l'intervention des avions? Le renseignement militaire, une fois n'est pas coutume, a largement sous-estime les capacités de l'adversaire. Le sergent Shalom ne décolère pas. Debout à ses côtés, le soldat Yonatan, 20 ans, n'en revient pas non plus de la rage que mettent les miliciens chutes à défendre leurs positions. Le Hamas, à côté, songe-t-il, c'est un groupe d'amateurs. Fin de l'illusion, fin du rêve d'une guerre facile et clan, réveil brutal dans les ruines d'un bastion que l'on croyait aisé à conquérir. «Désormais, dira encore le sergent Shalom, fini: on ne se laissera plus prendre par surprise.»
Les combats se poursuivent jusque dans la soirée. Sur la colline, la villa du millionnaire chiite, jonchée de douilles et trouée d'obus, ne ressemble plus à rien. Israël Friedle; le commandant de l'unité 51, est blessé à la main. Bientôt tombe l'ordre de repli. Quelques heures plus tard, le centre te Bint Jbeil n'est plus qu'une grosse flaque de désolation, tandis que le commandant blessé tente de remonter le moral dises troupes: «En fin décompte, nous avons gagné. Nous déplorons de nombreux maïs et des blessés, mais l'ennemi a essuyé des vertes bien plus lourdes encore.» Huit mots à combien? «Une cinquantaine», ose le commandant. La vérité? On ne saura jamais
Tags : bint jbeil; haute-galilée du; israël; julien lacorie; liban; rosh pina; safed; tel-aviv
http://www.dailymotion.com/video/x52ie8_yunis-alastal-dput-du-hamas-tv-alaq_news
pq dois je avoir honte?
de vouloir voir un monde paisible où nous les juifs et les musulmns cohabitons sans probleme
moi je ne veux que la paix, l amour et la fraternité
tu sais ça me fait mal au coeur de voir les petits enfents massacrés, les femmes vilolées etc...
je suis pour aucune doctrine raciste . Ici au Maroc je connais beuacoup de musulmans et on a pas de blem.
les gens savent différencier entre judaisme et sionisme.
Jocelyne même si ils sont nos enemis comme on prétend , essaye d'enlever l'animosité de ton coeur ainsi de leur coeur pour leur montrer quand est plus fort