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Israël : Défense au Moyen-Orient

L'armée israélienne se prépare actuellement à lancer un assaut massif sur des...

L'armée israélienne se prépare actuellement à lancer un assaut massif sur des installations nucléaires iraniennes dans les jours à venir, a annoncé le London Times ce samedi....
499 commentaires
En ce qui concerne les guerres localisées et mondiales, aucune difficulté à en parler : ce sont eux qui étaient derrière la première guerre mondiale lorsqu'a été prononcée la condamnation de l'État du califat islamique. Ils ont amassé des bénéfices matériels considérables et pris le contrôle de nombreuses richesses. Ils ont obtenu [25] la déclaration Balfour et ont jeté les bases de la Société-des-Nations pour gouverner le monde à travers cette organisation. Ce sont eux qui étaient derrière la seconde guerre mondiale qui leur a permis d'amasser d'énormes profits grâce au commerce du matériel de guerre. Ils ont préparé le terrain pour l'établissement de leur État et ce sont à leurs instigations qu'ont été créés l'ONU et le Conseil de sécurité pour remplacer la Société-des-Nations afin de gouverner le monde à travers eux. Qu'une guerre éclate de-ci de-là et c'est leur main qui se trouve derrière. » Art.22
« L'invasion sioniste est une invasion cruelle qui ne recule devant aucun procédé mais utilise tous les moyens vils et corrompus pour réaliser ses aspirations. Pour ses opérations de subversion et d'espionnage, elle s'appuie fortement sur les or¬ganisations secrètes qu'elle a engendrées comme la franc-maçonnerie, les clubs Rotary et Lyons et autres organisations d'espionnage. Toutes ces organisations secrètes ou publiques opèrent au service des intérêts du sionisme et sous ses orienta¬tions. Elles visent à miner les sociétés, à détruire les va¬leurs, à annihiler les conscienc
Envoyé par Bernard_050 - le Samedi 2 Mai 2009 à 20:21
"Elles visent à miner les sociétés, à détruire les va¬leurs, à annihiler les consciences, à pourrir la morale et à anéantir l'islam. Ce sont elles qui sont derrière le commerce de la drogue et de l'alcool sous toutes leurs formes pour faciliter au sio¬nisme puissance et expansion. » Art. 28
Nous retrouvons dans cet article tous les grands thèmes de l’antijudaïsme :
• Le complot judéo-maçonnique
• Le complot judéo-bolchévik
• Le complot judéo-impérialiste
• Le judaïsme comme puissance occulte faisant main-basse sur les média, l’ONU, responsable du colonialisme, des guerres….
tout comme le furoncle de l'Iran ces grandes idées sont issues du Protocoles des Sages de Sion...
même pas foutus de faire preuve d'imagination... ce manque d'imagination peut nous faire redouter une imitation d'Hitler.
donc evidemment qu'il faut être prêt à une riposte massive avant que les barbares ne se répandent En colère !
Envoyé par Bernard_050 - le Samedi 2 Mai 2009 à 20:26
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Hilda - le Samedi 2 Mai 2009 à 20:53
Et voici ce que cela donne pour convaincre les "ignares"...

http://www.youtube.com/watch?v=_1g3xf_U8NA
sioniste illuminate

A chaque fois que je visionne un déchetr semblable, j'écoute cette vidéo
C'est ma manière de "prier"
http://www.youtube.com/watch?v=mX99NZx9Mfs&feature=related

Merci à tous les juifs, aimant Israël et le judaïsme, d'être là !
Envoyé par Hélène - le Samedi 2 Mai 2009 à 21:10
Je vous livre un article d’un intellectuel musulman éclairé, le fait est trop rare, aussi je crois bon de le mettre en ligne, texte lumineux que les pollueurs du site devraient lire et méditer.
Mezri Haddad est philosophe et théologien musulman
Vampirisation de l'islam
LE MONDE | 25.04.09 | 15h31 • Mis à jour le 25.04.09 | 15h31


orsque le pape Benoit XVI glose sur l'antagonisme intrinsèquement islamique entre foi et raison, ou qu'un caricaturiste ose tourner en dérision un prophète figé dans une sacralité sclérosante, c'est l'ensemble du monde islamique, du Caire à Islamabad en passant par Paris et Londres, qui réagit dans une hystérie défensive et vindicative.


Plus de différence ni de distance entre le quiétiste et l'intégriste, entre l'élite intellectuelle et la horde, entre les régimes théocratiques et les républiques semi-laïques, entre l'islam savant et l'islam populaire ou maraboutique. Tous se mobilisent pour dénoncer l'islamophobie occidentale et les multiples croisades menées contre l'islam pour le discréditer et le honnir. Et pour cause : soutenir l'islam, plaider pour la supériorité de sa doctrine sur les autres systèmes religieux ou philosophiques et pour l'excellence de sa morale est une obligation religieuse.
Où qu'il soit, le devoir de chaque musulman - outre le prosélytisme - est de prendre fait et cause pour sa religion et pour ses coreligionnaires contre les ennemis et les comploteurs. "Soutiens ton frère en islam, qu'il soit victime ou coupable", stipule un hadith attribué au prophète. Indéniablement, ce devoir trouve dans le corpus coranique certaines arguties théologiques et dans la sunna quelques justifications prophétiques. De là à dévoyer ces mêmes alibis à des fins terroristes, il n'y a qu'un pas que les candidats au martyr ont vite franchi.
Lorsqu'en revanche une jeune fille de 17 ans, dans le nord-ouest du Pakistan, se fait flageller par un infâme taliban, au nom d'une charia primitive et nauséabonde, la voix de l'islam devient inaudible et la fierté islamique se fait toute petite. Tout le monde se tait : les têtes pensantes comme les têtes couronnées rejoignent les têtes enturbannées dans un silence bien oecuménique. La açabiya, cette solidarité tribale et atavique si bien comprise par Ibn Khaldûn, agit sur les esprits comme un opium. Le frère en religion, si abjecte soit sa conduite, se substitue au frère en humanité. Tout cela pour la gloire de Dieu et l'intégrité de l'islam.
Pourtant, à y regarder de près, qu'est-ce qui est plus préjudiciable pour Dieu et plus dégradant pour l'islam, la barbarie talibanesque, déversant toute sa haine et toute sa frustration sexuelle sur le corps d'une jeune fille sans défense, ou le dessin d'un caricaturiste danois ? Qu'est-ce qui est plus choquant pour une religion digne de ce nom, l'encre d'un journaliste ou d'un écrivain irrévérencieux ou le sang des innocents qu'on flagelle, qu'on mutile et qu'on décapite, sans parler des victimes déchiquetées par les attentats-suicides ? C'est pourtant ce prophète, au nom duquel on prétend agir, qui enseignait que "l'encre du savant est plus sacrée que le sang du martyr" !
Assoupis, nos yeux se sont accoutumés à ces horreurs affligeantes : les châtiments corporels. Ce ne sont que des scènes ordinaires dans les pays où le soleil d'Allah brille de ses mille éclats. Particulièrement dans les deux théocraties totalitaires, la wahhabite-sunnite et la khomeyniste-chiite, qui rivalisent d'ingéniosité répressive pour commettre leurs forfaits et méfaits sans laisser de traces visuelles, contrairement à ce qui vient de se passer avec la jeune Pakistanaise flagellée et dont la vidéo a fait le tour du monde.
Que Dieu bénisse Internet ! Un outil maléfique et diabolique pour certains grands muftis de l'islam sunnite qui professent leurs visions conservatrices sur les chaînes de télévision arabes, ou pour certains ayatollahs de l'islam chiite qui diffusent leurs théologies djihadiques pour égarer les âmes et galvaniser les esprits. Cette absence de preuves par la photo ou par la vidéo arrange d'ailleurs tout le monde ; les bourreaux comme leurs alliés occidentaux chez lesquels l'invocation des droits de l'homme obéit souvent à une géométrie invariablement variable. La macabre comptabilité, tenue par Amnesty International, des exécutions par lapidation ou décapitation en Arabie saoudite et en Iran, relève du délire.
La secte talibane est précisément une excroissance du wahhabisme saoudien, qui est pour l'islam ce que l'Inquisition fut au christianisme : une perversion théologico-politique. Passer du wahhabisme au talibanisme est un processus psychologique et idéologique tout à fait naturel. Le cas d'Oussama Ben Laden est significatif. Lorsque cette secte gouvernait l'Afghanistan au grand dam du commandant Massoud, les seuls Etats qui avaient reconnu leur pouvoir sanguinaire sont l'Arabie saoudite et le Pakistan, deux pays également fondés sur une base confessionnelle et qui doivent leur naissance au génie stratégique anglo-américain.
Ce n'est qu'à partir de 2001 que ces deux Etats ont pris une relative distance avec les talibans. Non guère parce que ces ennemis de Dieu et de l'humanité ont plongé l'Afghanistan dans un chaos obscurantiste en fermant écoles, cinémas et théâtres, ni parce qu'ils ont éliminé Massoud deux jours avant d'exporter aux Etats-Unis leur délire martyrologique, ni encore parce qu'ils ont détruit des monuments bouddhiques vieux de mille cinq cents ans. Mais parce que l'enfant chéri était désormais dans la ligne de mire américaine. Que cela soit dit clairement : la guerre que George Bush et ses stratèges néoconservateurs ont menée contre l'Afghanistan était parfaitement légitime à tous points de vue. C'est l'autre guerre, celle qui a été concomitamment menée contre l'Irak, qui a été juridiquement illégitime et politiquement illégale.
Puisque l'Amérique de Bush a été incapable de désintégrer la secte barbare des talibans, celle d'Obama s'apprêterait-elle à la "réintégrer" pour sortir à moindre frais de ce guêpier ? Jour après jour, cette tentation de l'intégrisme intégré semble d'autant plus probante que le mal ne concerne plus uniquement l'Afghanistan, dont l'actuel président cautionne certaines pratiques talibanes au nom du respect de la tradition, mais aussi le Pakistan, puissance nucléaire, qui se talibanise à son tour. C'est le très sérieux journal pakistanais The News qui écrit : "Peut-être est-il temps d'accueillir les talibans à bras ouverts, car, après tout, ils sont beaucoup plus représentatifs que la quasi-totalité de ceux qui siègent à l'Assemblée nationale."
L'envoi en Afghanistan de troupes supplémentaires américaines et françaises, comme le souhaite Obama, contribuerait paradoxalement à l'accélération de ce processus de dédiabolisation et de normalisation du fanatisme que les Algériens ont connu avec l'adoption de la loi sur la "concorde civile", offrant aux égorgeurs une seconde chance d'abandonner le maquis pour rejoindre la République... islamique. Hillary Clinton invoque déjà la nécessité de dialoguer avec les "talibans modérés" ! Et un grand quotidien français (Le Figaro) ouvre ses colonnes à l'ancien ministre des affaires étrangères du gouvernement taliban, un diplomate "fin et brillant", proche conseiller du mollah Omar, pour réhabiliter ce talibanisme si mal compris par l'Occident.
Est-il besoin de rappeler que cette approche existait déjà dans les choix stratégiques des Etats-Unis d'Amérique sous Bill Clinton. Dans son dernier livre (Dieu, l'Amérique et le monde), l'ancienne secrétaire d'Etat, Madeleine Albright, défend implicitement cette position qu'on peut résumer ainsi : au nom de la sacro-sainte spécificité culturelle et de la démocratie, si les musulmans sont majoritairement pour l'islamisme au pouvoir, qu'on les laisse faire à condition de les contenir dans leurs limites géographiques.
Voilà où nous en sommes, nous autres musulmans, et voilà où nous a menés la défense impulsive et compulsive de l'islam. Celui des wahhabites, celui des khomeynistes, celui de France lorsqu'il manifeste contre l'interdiction du voile à l'école et, bientôt, celui des talibans.
Est-ce d'ailleurs à la France d'envoyer son armée en Afghanistan ou aux Etats musulmans de le faire - mieux vaut tard que jamais - pour éviter à ce pays de sombrer dans le fascisme vert et pour que l'image de l'islam, dont ils sont si soucieux, ne soit pas davantage flétrie ?
Le temps n'est-il pas enfin venu d'affranchir l'islam du carcan intégriste, plutôt que d'accuser les autres de confondre sciemment islam, islamisme et terrorisme ? Mais qui est à l'origine de cet amalgame ? Celui qui le relate ou celui qui l'incarne par son fanatisme ? Dès lors, la question que chaque musulman doit se poser est la suivante : les défenseurs de l'islam, les intégristes comme les terroristes, ne sont-ils pas in fine ses pires fossoyeurs ?
L'intégrisme n'est point le lieu d'incarnation de l'islam mais son lieu d'incarcération. Montesquieu n'avait-il pas raison d'écrire : "Comme la religion se défend beaucoup par elle-même, elle perd plus lorsqu'elle est mal défendue que lorsqu'elle n'est point du tout défendue" ? Et si ce philosophe "mécréant" n'interpelle pas la conscience islamique, voici ce que Dieu énonce dans le Coran : "C'est Nous qui avons fait descendre la révélation et c'est Nous qui en sommes les seuls protecteurs."
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Philosophe et théologien musulman, Mezri Haddad est codirecteur du Daedalos Institute of Geopolitics de Chypre. Docteur en philosophie morale et politique (Paris-IV Sorbonne), il a été le premier penseur musulman à devenir en France maître de conférences en théologie catholique. Il est l'auteur, notamment, de "L'Islam est-il rebelle à la libre critique ?" (éd. Corlet-Marianne, 2001) et de "Pour un islam de paix" (éd. Albin Michel, 2001)

Envoyé par Bernard_050 - le Dimanche 3 Mai 2009 à 07:32

Feu vert d’Obama pour attaquer l’Iran
Caroline Glick , THE JERUSALEM POST - Adaptation française de Sentinelle 5769
samedi 9 mai 2009
Des vents arctiques soufflent sur Jérusalem depuis Washington ces jours-ci. Alors que la visite du Premier Ministre Benyamin Netanyahou le 18 mai à Washington approche, l’administration Obama accentue sa rhétorique anti-Israël et travaille fébrilement à coincer Israël dans un corner.

Utilisant la conférence annuelle de l’AIPAC en toile de fond, cette semaine l’administration Obama a lancé son attaque la plus sévère contre Israël à ce jour. Cela a commencé par des articles de media rapportant que le conseiller national à la sécurité, James Jones a déclaré à un ministre des affaires étrangères européen que les USA projettent de monter une coalition anti-Israël avec les Arabes et l’Europe pour obliger Israël à rendre la Judée, la Samarie, et Jérusalem aux Palestiniens.
Selon ‘Haaretz’, Jones, dans un câble classifié du ministre des affaires étrangères, aurait déclaré à son interlocuteur européen : « La nouvelle administration convaincra Israël de faire un compromis sur la question palestinienne. Nous ne pousserons pas Israël sous les roues d’un bus, mais nous serons plus contraignants envers Israël que sous l’ère Bush ».
Puis il expliqua que les USA, l’UE, et les Etats arabes modérés doivent déterminer ensemble ce que sera une « solution de fin de partie satisfaisante ». Pour Jones, Israël devrait être mis à l’écart de ces discussions
Envoyé par France - le Lundi 11 Mai 2009 à 01:36
et se voir simplement présenter un ‘fait accompli’ qu’il sera obligé d’accepter.
Les évènements de la semaine ont montré que la déclaration de Jones était une description exacte de la politique de l’administration. D’abord, le médiateur du quartette Tony Blair a annoncé que d‘ici six semaines, les USA, l’UE, l’ONU et la Russie dévoileront un nouveau cadre pour établir un Etat palestinien.
S’entretenant avec des journalistes palestiniens mercredi, Blair déclara que ce nouveau cadre sera une initiative sérieuse parce que « on y a travaillé aux niveaux les plus élevés dans l’administration américaine ».
De plus, nous avons appris cette semaine que l’administration essaie d’obtenir que les Arabes eux-mêmes écrivent le nouveau plan du Quartette. Le journal ‘Al-Quds al-Arabi’ édité à Londres a rapporté mardi que, agissant au nom d’Obama, le roi Abdullah de Jordanie a pressé la Ligue Arabe de mettre à jour le soi-disant plan de paix arabe de 2002. Ce plan, qui appelle Israël à se retirer de Jérusalem, de Judée, de Samarie et des Hauteurs du Golan, et à accepter de millions d’Arabes étrangers comme citoyens comme part d’un soi-disant ‘droit au retour’ en échange de relations ‘naturelles’ avec le monde arabe, a été rejeté par les gouvernements israéliens successifs comme un subterfuge diplomatique dont le but est la destruction d’Israël.
En acceptant de millions de soi-disant “réfugiés palestiniens”, Israël serait effectivement incapable de se défendre contre une invasion
Envoyé par France - le Lundi 11 Mai 2009 à 01:37
invasion étrangère. Et puisque des « relations naturelles » est une formule dénuée de sens aussi bien dans le vocabulaire juridique international que dans le vocabulaire diplomatique, Israël aurait commis un suicide national pour rien.
Pour qu’Israël fasse moins d’objections à ce plan, Abdullah aurait appelé ses frères arabes à y supprimer les références aux soi-disant ‘réfugiés arabes’, et d’accepter des relations ‘normales’ plutôt que ‘naturelles’ avec l’Etat juif. Selon le rapport, on s’attendait à ce que le président égyptien Hosni Moubarak présente à Obama les modifications du plan pendant leur rencontre à Washington à la fin du mois. Le plan révisé était supposé constituer la base du nouveau plan du Quartette auquel Blair se référait.
Mais les Arabes n’en voulaient rien savoir. Mercredi, le secrétaire général de la Ligue Arabe Amr Moussa et le chef du Fatah Mahmoud Abbas annoncèrent qu’ils s’opposaient à cette initiative. Jeudi, la Syrie rejeta le moindre changement au document.
L’administration ne pouvait moins s’en soucier. Les Palestiniens et les Arabes ne sont rien de plus que des petits joueurs dans la politique au Moyen-Orient. Pour l’administration Obama, Israël est le seul obstacle à la paix.
Pour s’assurer qu’Israël comprend ce point central, le vice-président Joseph Biden a usé de son apparition à la conférence de l’AIPAC pour l’adresser à destination. Comme Biden l’a fait savoir clairement, les USA ne respectent pas ni ne soutiennent le droit d’Israël en
Envoyé par France - le Lundi 11 Mai 2009 à 01:41
...tant qu’Etat souverain pour déterminer sa propre stratégie politique en vue d’assurer ses intérêts nationaux. Selon la formule de Biden : « Israël doit travailler à une solution à deux Etats. Vous n’allez pas aimer ce que je vais dire, mais ne construisez pas davantage d’implantations, démantelez les avant-postes existant, et autorisez la liberté de mouvement des Palestiniens ».
Pour Israël, le principal évènement de la semaine était censé être la rencontre du président Shimon Pérès avec Obama mardi. Pérès avait pour tâche de calmer le jeu avant la visite de Netanyahou. On espérait qu’il pourrait introduire une tonalité plus collégiale dans les relations USA-Israël. Israël ne s’attendait pas à la réception humiliante que reçut Pérès de la part d’Obama. En empêchant tous les media de couvrir l’évènement, Obama transforma ce qui était supposé être une visite amicale avec un chef d’Etat respecté et ami, en une rencontre derrière la porte avec un hôte indésirable, qui fut chassé hors de la Maison blanche sans un bruit.
La tentative abrupte de la Maison Blanche d’obliger Israël à accepter la responsabilité totale de l’hostilité du monde arabe à son encontre n’est pas la seule manière de rejeter Israël comme le bouc émissaire de tous les maux de la région. Dans leur tentative d’ouvrir des liens diplomatiques avec l’Iran, Obama et ses conseillers reprochent aussi à Israël son programme nucléaire. Ils font cela indirectement et directement.
Comme le chef de cabinet d’O
Envoyé par France - le Lundi 11 Mai 2009 à 01:46
d’Obama, Rahm Emmanuel l’a fait savoir clairement dans sa présentation à huis clos devant les responsables de haut rang de l’AIPAC cette semaine, l’administration tient Israël pour indirectement responsable du programme nucléaire de l’Iran. Elle le fait en proclamant que le refus d’Israël de céder sa terre aux Palestiniens rend impossible le soutien du monde arabe à une politique empêchant l’Iran d’acquérir des armes nucléaires.
Quelque peu malcommode pour l’administration, les Arabes eux-mêmes rejettent cette prémisse. Cette semaine, le secrétaire à la défense Robert Gates a visité le Golfe persique et l’Egypte pour calmer les craintes arabes : les tentatives désespérées de l’administration pour chercher un compromis avec les Mollahs ne nuiront pas à leurs intérêts sécuritaires. Il a aussi cherché à gagner leur soutien au plan de l’administration pour dévoiler un nouveau plan de paix destiné à isoler et à contraindre Israël.
Après sa rencontre avec Gates, Amr Moussa – qui s’est distingué comme l’un des critiques les plus incisifs d’Israël – déclara catégoriquement : « La question de l’Iran doit être disjointe du conflit entre le monde arabe et Israël ».
Exactement comme l’administration n’est pas interpellée par des faits objectifs qui montrent la folie de sa dévotion unilatérale à la notion qu’Israël est responsable de l’absence de paix au Moyen-Orient, de même le rejet arabe de sa vision du blâme contre Israël pour le programme nucléaire iranien l’a simplement conduit à
Envoyé par France - le Lundi 11 Mai 2009 à 01:49
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