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Israël : Défense au Moyen-OrientIsraël-Iran Les risques et périls d'une attaquePlus besoin, pour les membres du gouvernement israélien et de la Knesset qui auront à se prononcer sur une éventuelle attaque contre les installations nucléaires iraniennes, d'attendre un rapport préalable émanant de l'armée de l'air israélienne. Dès à présent, ils ont à leur disposition tous les scénarios possibles d'une attaque contre l'Iran, avec tous les risques que cela comporte et toutes les chances de réussite, grâce à l'étude menée par Abdullah Toukan et Anthony Cordesman, du Centre d'études stratégiques et internationales de Washington. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 28 minutes
Quant au journaliste qui l'interroge, il ne soucie guère du sort des éventuelles des victimes et ne l'interroge que sur le possible emprisonnement des pauvres violeurs.
Je vais faire circuler ces vidéos et il faudrait que tout le monde le fasse.
Jeudi 21 mai 2009
Quand le Hamas tue en silence…. Personne ne s’indigne !
Un nouveau gouvernement palestinien, dirigé par Salam Fayyad, vient de prêter serment ce 20 mai 2009. Les islamistes du Hamas ont affirmé qu’ils ne le reconnaîtraient pas.
M. Fayyad avait présenté sa démission le 7 mars dernier. Le dialogue de réconciliation inter palestinien, entre le Fatah et le Hamas, sous les auspices de l’Egypte a véritablement échouée. Après le dernier round de discussions, achevé sans accord, les deux mouvements rivaux ont ajourné leurs pourparlers jusqu’à début juillet. Le président de l’Autorité Palestinienne a donc décidé de prendre les choses en main en rappelant M. Salam Fayyad a dirigé le nouveau gouvernement .Le Fatah et le Hamas sont en conflit ouvert depuis la prise par la force du pouvoir à Gaza par le mouvement fondamentaliste en juin 2007.
Il est significatif de constater que les médias ne mentionnent presque jamais les conséquences directes du conflit inter palestinien sur la population à Gaza. Les médias ont tendance à imputer à Israël la responsabilité des « souffrances » dans ce territoire autonome, alors qu’en réalité le Hamas qui a effectué une prise de pouvoir par la force, qui a fait des centaines de morts, et qui a chassé le Fatah reste le premier responsable du malheur de cette population.
Sans compter le bilan des victimes des affrontements armés inters palestiniens, la rivalité quotidienne Hamas-Fatah a aussi des conséquences désastreuses sur le terrain, sans même l’utilisation des armes .C’est ainsi par exemple que le comité médical qui aide les malades à trouver un traitement hors de Gaza a été suspendu par le Hamas. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Hamas endossera une grande responsabilité par cette prise de position unilatérale .Les malades en sont donc réduits à attendre et à espérer.
Le ministre du Hamas de la Santé, Bassir Naim , a fermé en mars 2009 la comité médical qui était dominée par le Fatah, demandant qu’elle soit dotée de nouveaux membres acceptables pour les deux factions palestiniennes ( voir combien le Hamas est humain avec sa propre population).
Le 22 mars, le mouvement islamiste a pris le contrôle du comité médical, jusque là géré par le Fatah, et qui envoyait chaque mois un millier de patients souffrant de maladies graves en Israël ou en Egypte. En Judée Samarie, fief du Fatah, le gouvernement de Mahmoud Abbas, qui finance les traitements médicaux des Palestiniens à l’étranger, a riposté en suspendant la plupart des transferts de malades !
C’est ainsi donc que les malades de Gaza ne peuvent plus se rendre à l’étranger sans l’assistance du comité. Selon Youssef Moudalal, un responsable de la santé, les querelles entre le Hamas et le Fatah bloque aujourd’hui les conditions de la reprise des activités de l’instance (1).
La branche israélienne de Médecins pour les droits de l’Homme (PHR), qui travaille en concertation avec le Centre palestinien pour les droits de l’Homme, a certes réussi à en faire sortir 35 pour qu’ils se fassent soigner depuis la suspension du comité, précise Ran Yarom, un membre de PHR. Mais les deux organisations soulignent qu’elles n’ont pas les moyens de faire le travail du comité palestinien. En plus, les médecins israéliens ne peuvent s’aventurier à Gaza.
Fin janvier, le gouvernement de Mahmoud Abbas avait déjà cessé de prendre en charge les soins médicaux reçus en Israël, arguant qu’ils étaient trop chers. Les autorités sanitaires du Fatah précisent qu’elles accepteront uniquement de financer des traitements moins chers en Egypte pour les patients de Gaza.
A Gaza, Mohammed Zibdeh, 12 ans, atteint d’un cancer au cerveau, attend toujours que les autorités du Hamas autorisent l’ouverture du comité médical qui aide les malades à trouver un traitement hors de Gaza et qui a été suspendu par le Hamas.
L’an dernier, un traitement par chimiothérapie dans un hôpital israélien avait permis à ce jeune palestinien de réduire sa tumeur. Aujourd’hui, il a des maux de tête en permanence, et son père, Riyad, 48 ans, craint que la tumeur ne se développe à nouveau. “Je ne peux pas l’aider, et il se pourrait qu’il meure sous mes yeux”, soupire-t-il.
Huit patients gazaouis qui attendaient sont morts depuis le mois de mars depuis que la crise a commencé et le comité médical qui aide les malades à trouver un traitement hors de Gaza a été suspendu, par le Hamas.
Les malades sont donc réduits à attendre et à espérer, si ce n’est déjà trop tard pour certains, en attendant que les frères ennemis finissent leurs querelles. Entre temps, les médias arabes restent silencieux devant les islamistes qui dirigent Gaza et qui n’ont aucune intention de mettre fin à la souffrance de leur population. C’est ainsi la règle du moment ; quand le Hamas tue en silence….Personne ne s’indigne !
Ftouh Souhail
(1) Entre médecins de Fath et médecins de Hamas, le comité médical à Gaza restera paralysée pour de longues semaines surtout après l’escalade déclenchée par la nomination du nouveau gouvernement à Ramallah.
Quant au tableau apocalyptique que vous dressez ( ou plutôt : que dresse Richard Pedatzur ), permettez-moi d'émettre quelques doutes ou quelques bémols. Et d'abord ( mais je me suis exprimé là-dessus ailleurs sur ce blog ) en ce qui concerne R. Pedatzur, dont je ne suis pas aussi sûr que vous qu'il exprime le ppoint de vue de Tsahal, vu que, au cours des derniers mois, le journal dans laquel il écrit - " Haaretz " - a tenté à plusieurs reprises de discréditer, voire de calomnier Tsahal.
En second lieu, il ne serait pas nécessaire à Israël d'employer des armes nucléaires - ou alors il s'agirait de projectiles dits à uranium appauvri, du genre de ceux qui ont été utilisés lors des interventions en Irak et en Serbie.
Israël sélectionnerait certa