Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

YEEEESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS.....................MAZEL TOV ..........MAZEL TOV AUX PARENTS ET SA FAMILLE QUI DOIVENT SE LANGUIR DE LUI ............ c 'est la meilleur nouvelle de la semaine

prions tous pour que Guilad soit libéré vendredi et qu'il passe chabat avec sa famille!que HACHEM le protége, ainsi que tout notre peuple!

un grand MAZAL TOV................... pour la famille ca c'est une bonne nouvelle que HACHEM le protege AMEN

Amen !

http://actualite.portail.free.fr/monde/18-11-2009/barack-obama-juge-que-la-colonisation-juive-risque-de-mal-finir/

passage du lien de free actualité

IMPRÉVISIBLE"

Mahmoud Abbas, qui a oeuvré inlassablement à une solution négociée, dit demeurer partisan d'une solution impliquant la coexistence de deux Etats, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Mais il a accusé Israël il y a quelques jours de la renier.

Face au blocage actuel, les responsables palestiniens font de plus en plus fréquemment référence à l'alternative d'un Etat binational sur l'ensemble de la Palestine du mandat britannique, où vivraient Juifs et Arabes.

Cette idée est rejetée par Israël, qui se revendique comme l'Etat de 5,5 millions de Juifs, car ceux-ci risqueraient alors d'être rapidement noyés par la démographie galopante des Arabes d'Israël, de Gaza et de Cisjordanie, dont le nombre est à peu près équivalent à l'heure actuelle.

"Certains disent que la solution à deux Etats est d'ores et déjà morte, au moins telle que les Palestiniens la conçoivent. Quant à la solution d'un Etat binational, elle est politiquement irréaliste", explique l'analyste palestinien George Giacaman.

Pour lui, la frustration des négociateurs palestiniens après tant d'années "pourrait les conduire tout simplement à jeter l'éponge s'il n'y a pas de processus politique crédible d'ici six mois à un an". "Ce qu'il feront alors est imprévisible."

La fameuse " solution à deux Etats " ... : nombreux sont encore ceux qui s'en gargarisent ( toutefois, beaucoup moins qu'il y a neuf ou dix mois ... ) ; mais il est clair que la faisabilité politique d'une telle " solution " en est au degré zéro. Car, s'il y a bien, d'un côté, UN Etat d'Israël, il existe plusieurs candidats au rôle popentiel d'Etat " palestinien " . Au moins deux : le 'Hamastan de Gaza ; le Fatah'land de Judée-Samarie. Mais on sais très bien qu'à Gaza, il existe aussi une sorte de fief de Mohamed Dahlan à Khan Younès ( même s'il avait dû le fuir précipitamment - en slip ... - pour éviter d'y être liquidé par ses frères musulmans ( toujours miséricordieux ... ) du 'Hamas ; et il y a aussi, dans le sud de la bande de Gaza, un embryon d' " Etat " Al-Qaïda ...Quant au Fatah'land, la position de Mahmoud Abbas y est menacée ... Bref : il faudrait envisager quelque chose comme une solution à cinq Etats ... Entre autres raisons qui renvoient au calende un accord entre tous ces messieurs ( les Egyptiens se cassent littéralement la tête, depuis des mois et des mois, pour essayer d'y amener les unzs et les autres, sans succès jusqu'à présent ) il y a la question du partage de l'assiette au beurre, largement pourvue par l'Union Eurabe notamment ...

Ce sont là des considérations pratiques et actuelles.


Quant à un Etat " binational " , ce rêve, cette espérance, ce fantasme, nourrissait les songes d'une partie du Yishouv et des ' h

CI ce geste est fait alors j'en remercie ceux qui auront permis à un enfant de revenir dans les bars de ses parents chéris, ainsi que tous ceux sans exclusive qui auront permis un geste au combien important.
Je garanti que cela comme un éclair positif qui montera vers le ciel et vers l'Eternel.
Que cela soit ce jeune homme à déjà trop souffert que D.ieu inspire ses geoliers et l'avenir du Moyen Orient changera radicalement.
Chalom salam

(suite) et des 'halutzim jusque vers la fin des années vingt : idéalisme, générosité, illusions et aveuglement : beaucoup - et non des moindres : Judah Magnès, Martin Buber, pour ne citer qu'eux - caressaient cet espoir. Les massacres de 1929, notamment ceux commis à 'Hévron, sonnèrent le glas des fantasmes : les Arabes ne nourissaient pas les mêmes rêves : pour eux, à commencer par leur maître à penser et à tuer, le grand mûfti Hadj Amin el-Husseini, il s'agissait de bouter hors et/ ou de massacrer tous les Juifs.

Croire qu'on puisse ressusciter ce fantasme relève de l'aveuglement, de l'idiotie ou de la mauvaise foi. Même les fêlés de Shalom Ah'shav n'y croient pas : ce que demande Amos Oz, ce n'est pas un lit commun, c'est qu'on aide Israéliens et " Palestiniens " à " divorcer " .

Mais le propre des utopies, c'est que, fruits de l'imagination beaucoup plus que de l'approche rationnelle des réalités, elles possèdent le privilège de ne pas être soumises à l'épreuve du réel et d'être par conséquent sujettes à de multiples réincarnations.

On peut imaginer, rêver, ce qu'il se serait passé si. Si cet Etat binational était né à l'époque du " printemps des peuples " ... L'historien Walter Laqueur s' y est essayé, dans le numéro d'automne 2008 de la revue " Commentaire " : " Disraelia : une uchronie 1848-2008 " .

On peut se demander ce qui serait arrivé si les Arabes de Palestine,

(suite) au lieu de se jeter dans les bras nazis d'Amine el-Husseini, avaient préfére les " modérés " comme les Nashashibi, pour corrompus qu'ils fussent pourtant ...


Mais tout ça ne tient pas la route : personne, en Israël, sauf les plus masochistes des " post-sionistes " , n'est prêt à laisser noyer les 5, 5 millions de Juifs dans un flot démographique arabe.


Les " Palestiniens " , qui sont bien proches de tout perdre, pour n'avoir pas saisi l'occasion incroyable qui s'offrait à eux en 2000 ( les Accords d'Oslo, de triste mémoire ) ; qui n'ont pas su davantage profiter d'une situation qui leur était, au premier trimestre de cette année, plus favorable que jamais, en sont réduits, faute d'avoir su donner corps au réel, à se rabattre sur des utopies qui ne sont plus du tout de saison.