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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa famille Shalit rencontre des représentants du gouvernementNoam, Aviva et Yoel Shalit, la famille du soldat israélien en captivité, ont rencontré le négociateur spécial du premier ministre, Hagai Hadas, en pleine période d’informations venant du monde arabe sur un échange imminent de prisonniers. Le père, Noam, a refusé tout commentaire en disant que « ce n’était pas le moment d’en parler. »
La rencontre a lieu actuellement à la base militaire de la Kirya à Tel Aviv.
Lors de leur entrée dans la base, les membres de la famille ont refusé de répondre aux questions des journalistes sur place.
Après la réunion à Tel Aviv, Noam Shalit a prévu de se rendre à Jérusalem pour d’autres rencontres avec différents membres du cabinet ministériel. La famille ainsi que les membres du comité pour la libération de Guilad prévoient d’augmenter la pression, au regard de la possibilité qu’un accord sur un échange de prisonniers soit présenté aux ministres pour accord.
Ces derniers jours, plusieurs informations circulent dans les medias arabes sur un accord imminent. Dimanche, la chaine d’information al-Arabiya a signalé que la transaction aura lieu dans les prochains jours, peut être même vendredi, premier jour de la fête musulmane de l’Eid al Adha.
Selon ces informations, une réunion doit se tenir aujourd’hui au Caire entre les dirigeants du Hamas venant de Damas et les chefs de l’organisation dans la bande de Gaza. Au cours de la réunion, les dernières propositions d’Israël seront discutées.
Toutefois, selon la chaine américaine FOX News, rapportant une source proche du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, « l’accord n’est pas encore signé. »
Le Hamas a lui aussi tenté de minimiser les informations. Selon Osama Hamdan, responsable des affaires étrangères de l’organisation terroriste, les récents progrès dans les discussions ne sont pas suffisants pour concrétiser un accord.
Les familles de prisonniers « lourds » se préparent au retour de leurs proches. Les prisonniers de Judée Samarie qui ont contacté des proches comprennent des membres importants de l’aile militaire du Fatah, les brigades de martyrs d’al-Aqsa, y compris certains qui ont été condamnés à plusieurs peines de prison à perpétuité pour avoir pris part ou planifié des attentats meurtriers.
En général, les familles de ces prisonniers cherchent elles aussi à calmer les attentes. Un des proches remarque que les familles avaient déjà subi cette expérience dans le passé, lorsqu’un accord semblait très proche, mais n’avait finalement pas été mis en œuvre.
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77 commentaires
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Hou la la, mon coeur est à gauche mais ma droite est méchante, il ne faut pas me chercher, vous me trouverais sur votre chemin. Je suis loin d'être un gentil toutou, au diable la varice, je suis très suceptible que je démare au quart de tours, prenez garde.
J'aime tout ce qui est juste et bien fait, à partir de là, ci quelqu'un me monte sur mes orteilles, je lui arrache les Cacahuettes. c'est mon caractère, coulé dans un moule à l'Israëlienne.
Shavoua Tov lé koulam, Shimon.
Mais le sentiment déchirant de la paternité peut-il abolir toute autre considération ? Peut-on effacer de son esprit l des questions cruciales telles que : libérer mille Samir Kuntar en échange de Guilad, n'est-ce pas prendre par avance la responsabilité des crimes terroristes que ces loups, remis en liberté, pourraient accomplir ? N'est-ce pas fournir à l'avance, à tout terroriste, la certitude que, quelque horribles soient les crimes qu'il pourrait commettre, de toute façon, ils n'entraineraient au pire, pour lui, que quelques années de prison en attendant les nouveaux chantages que permettraient de nouvelles prises d'otages ?
Un père, une mère, peuvent ne penser qu'à leur enfant : nul n'ira leur jeter la pierre, trop heureux de ne pas se trouver dans leur situation.
Mais un gouvernement ? N'e'st-il pas comptable de l'avenir ? Sa responsabilité s'arrête-elle là où le porte la vague émotionnelle ? Mille " Samir Kuntar " en liberté, assoiffés de faire couler à nouveau lme sang juif : est-ce une éventualité que l'on puisse prendre à la légère ?
Un gouvernement doit prendre en charge, au-delà de l'émotion, fût elle la plus déchirante, le " bien commun " - dans le présent ; et pour l'avenir.
Moi j'aurais bien une solution: "On ne vous en donne que trois en échange, et c'est bien payé, les 997 autres serviront d'exemple: vous avez 24 heures pour relacher Guilad SHALIT, passé ce délai, 500 parmi les 997 restants seront éxécutés, pour exemple, le lendemain 100 autres. Dépêchez vous messieurs du Hamas, il ne vous reste que 4 jours, Le premier jour: 100 autres, le deuxième jour: 100 autres, le troisième jour 100 autres. Le dernier et quatrième jour: Il ne vous reste que 24 heure pour sauver les 97 derniers, et recevoir les trois prévus en échange de Guilad SHALIT, sans quoi passé ce terme, nous en feront le Samson National du temps et dirons qu'il a tué 1000 philistins des temps modernes en 5 jours".
il faut accepter l'echange avant que le hamas change d'avis.