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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama prévoit des sanctions contre l’Iran en janvierL’administration Obama voit début janvier comme le moment pour un nouveau cycle de sanctions onusiennes contre l’Iran, en réponse à l’attitude de la république islamique qui refuse toujours de répondre aux demandes internationales sur son programme nucléaire, déclaraient vendredi des responsables américains.
Alors que l’échéance prévue par le président américain Barack Obama fin de l’année, date avant laquelle l’Iran était invité à prouver le caractère pacifique de son programme nucléaire, arrive à son terme, l’administration est en contact avec ses alliés européens, ainsi que la Chine et la Russie, pour gagner leur support à la mise en place de nouvelles sanctions au conseil de sécurité de l’ONU.
Des membres importants de l’administration américaine, y compris la secrétaire d’état Hillary Clinton et son adjoint James Steinberg, ont soulevé l’urgence de la question avec les ministres des affaires étrangères européens lors de rencontres à Athènes et Bruxelles en marge d’un sommet des dirigeants européens.
Le package de sanctions n’est pas encore « cohérent » selon un responsable, mais pourrait inclure des sanctions des Nations-Unies qui viseraient le corps des Gardiens de la Révolution, ce qui est déjà fait de la part des Etats-Unis, ainsi que l’industrie du pétrole iranienne, ce qu’envisage l’administration Obama.
Ce responsable indique qu’il y a toujours des désaccords sur les sanctions à prendre, notant que certaines décisions pourraient affecter le marché pétrolier mondial. « Nous cherchons à trouver ce qui serait le plus efficace selon tout le monde et ce qui influera le moins sur le peuple iranien, » explique-t-il.
Le département d’état américain a déclaré vendredi que l’administration espérait une résolution ferme contre l’Iran, incluant la mention de possibles sanctions, au conseil européen qui doit se tenir à Bruxelles les 10 et 11 décembre prochain.
« Il y a aura un large débat sur les prochaines étapes à ce conseil, » a dit aux reporters le porte parole Ian Kelly. « L’UE est censée produire une déclaration écrite sur l’Iran. »
« Notre objectif est de nous diriger vers la piste des pressions, » a-t-il dit.
D’importants diplomates sont en déplacement cette semaine pour gagner le soutien de la Russie et de la Chine, qui en général sont opposés aux sanctions.
Clinton elle-même a discuté de l’Iran avec son homologue russe Sergey Lavrov, en marge d’une réunion de l’OTAN à Bruxelles. Elle envoie aussi le troisième plus important diplomate américain, le sous-secrétaire d’état William Burns, en China la semaine prochaine.
Burns, qui représente les Etats-Unis lors des réunions du groupe des Six, qui tentent de persuader l’Iran de répondre aux demandes internationales, sera dans la capitale chinoise pour des discussions sur l’Iran et d’autres sujets mardi et mercredi, déclare Kelly.
Burns tentera de convaincre la Chine d’assister à une autre réunion possible du groupe des Six avant noël pour discuter des sanctions. Cette réunion pourrait définir les bases de sanctions à renvoyer devant le conseil de sécurité des Nations Unies au mois de janvier. Cependant, la China résiste à planifier cette réunion, selon Kelly.
Avec les refus continus de l’Iran, sa récente divulgation en septembre d’une nouvelle usine d’enrichissement d’uranium et l’intention exprimée par la république islamique d’en construire dix de plus, les responsables américains pensent qu’ils pourront obtenir le soutien de la Russie et de la Chine.
Entre temps, Ali Akbar Salehi, chef de l’organisation de l’énergie atomique iranienne et ancien représentant iranien à l’AIEA, a déclaré samedi que l’Iran avait besoin de 20 sites d’enrichissement d’uranium supplémentaires pour « alimenter des réacteurs nucléaires du pays, » selon la radio israélienne.
Salehi a dit un peu plus tard que l’Iran n’avait aucune intention de se retirer du traité de non-prolifération nucléaire, contrairement à ce que laissait entendre un responsable iranien vendredi. Articles connexes
18 commentaires
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Doit-on faire confiance à un programme nucléaire dont le peuple souhaite activement l'effacement des juifs de la planète et l'islamisation de l'occident ?
Les aspects pétroliers nous indiquent simplement qu'une hausse de cette énergie va encore nous tomber dessus. Sans doute le cadeau de nouvelle année !
Chalom à tous et bonne réflexion.
C´est une plaisanterie...que dis-je...une raillerie?
Rien que le fait d´unir tout les musulmans sur un plan ideologique et être inscrit dans les livres elogieux d´histoire islamique, éliminer Israel a un interet de taille, alors imagine sur tout les autres plans, collaboration economique et j´en passe, tu ne te rends pas compte ce que veux dire eliminer israel pour les arabes.
Franchement, quel rapport avec un enfant sous l´emprise de la drogue? Aucun!
PERSONNE en EUROPE et encore moins OBAMA englué
avec son armée en IRAK et aussi en AFGHANISTAN.
Cela coûte des milliards de dollars et les ETATS UNIS sont
au bord de la catastrophe monétaire et se retrouve englués
avec la CHINE qui détient des centaines de milliards &.
Ce qui oblige OBAMA de faire des ronds de jambes avec le
président chinois.
Tout le monde attend la réaction d'ISRAËL avec une certaine
engoisse car la destabilisation du Moyen-Orient c'est le début
d'un risque énorme sur l'approvisionnement en pétrole et une
crise économique pire que ce que nous venons de connaître.
Alors quoi faire?...
J'ATENDS VOS COMMENTAIRES DUR CETTE REFLECTION.