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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientMitchell n’a pas menacé IsraëlSuite à la remarque de l’envoyé au Proche Orient lors d’une interview télévisée disant que les Etats-Unis se réservaient le droit de retarder les aides à Israël, un haut fonctionnaire américain a clarifié les choses : « ce n’est pas une menace, encore moins une menace implicite ».
Tentative d’adoucir le message ? Un haut fonctionnaire américain a déclaré samedi soir que la remarque de l’envoyé au Proche Orient, George Mitchell, disant que l’aide américaine pourrait être compromise, n’était pas une menace, mais une réponse à un journaliste sur les options de l’administration américaine si Israël refusait de reprendre les pourparlers de paix avec les palestiniens.
A la veille de sa visite au Proche Orient, Mitchell a laissé entendre que son pays pourrait geler son aide à Israël si l’état Juif échouait à faire avancer les discussions de paix avec les palestiniens sur une solution à deux états.
Mitchell a déclaré dans une interview lors du show « Charlie Rose » de PBS que les Etats-Unis utiliseraient des mesures incitatives ou des sanctions contre les deux parties. Selon le droit américain, a dit Mitchell, les Etats-Unis peuvent figer leur aide à Israël.
Après les réactions générées par les remarques de Mitchell, des sources à Washington expliquent que le sénateur Mitchell n’a aucun plan pour menacer ou appliquer des sanctions américaines contre Israël, mais pointe uniquement une, parmi de nombreuses options, qu’a l’administration américaine pour traiter les différentes crises à travers le monde.
« Nous nous concentrons à encourager les deux parties – israéliens et palestiniens – pour revenir à la table des négociations, » déclare un officiel. « Cela sera le principal objectif du sénateur Mitchell lors de sa visite dans la région ce mois-ci. »
Mitchell a noté lors de l’interview que toutes les options doivent rester ouvertes et que les parties doivent êtres convaincues de quels sont leurs intérêts. Il a déclaré que des progrès avaient été réalisés et que son pays poursuivrait les efforts pour une relance des négociations.
L’envoyé américain a également abordé le calendrier prévu, disant que « nous pensons que les négociations ne devraient pas durer plus de deux ans, une fois commencées, nous pensons que cela peut être fait dans ce laps de temps. Nous espérons que les deux parties sont d’accords. Personnellement, je pense que cela peut être réalisé dans un laps de temps plus court. »
Les garanties économiques américaines permettent à Israël d’emprunter des fonds à un faible taux d’intérêt et d’améliorer la cote de crédit de l’état juif. La dernière fois que les américains ont menacé de geler les garanties a été pendant les mandats du président George Bush père et du premier ministre Yitzhak Shamir. Articles connexes
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NOUS AVONS BESOIN DE VOS SIGNATURES POUR NOTRE AMI MAURICE
voici le lien
http://www.lapetition.be/en-ligne/halte-lintolrance-5978.html
Yes, coups de pompe et bûche sur la tête de ceux qui sont responsables de la pagaille là-bas (hamas & C°), et retour au "bercail" des palestiniens, "chez eux", en jordanie. Point barre. CQFD.
Oups, j'oubliais le message pour l'espion ryad (the spy who came from the hot south): "un grand coup de choffar dans ses oreilles indiscrètes"!!!!
AM ISRAEL HAY
Les israéliens, ils ont besoin d'une campagne de com'. Ca marche, je peux vous le dire, je commence à pas mal convaicre mon entourage. Dernièrement, un de mes collègue me demandait si je n'ai pas peur d'y aller prochainement. Je lui ai expliqué que depuis le mur, c'est devenu très sûr et que là, les avions sont solides et révisés