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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBarak : “la Syrie ne devrait pas tester Israël”17 Février 2010 - Juif.org
    Le ministre de la défense Ehoud Barak a réitéré mercredi son avis que Jérusalem doit reprendre des pourparlers de paix avec Damas dans un proche avenir, introduisant son message par un avertissement à la Syrie de ne pas prendre de pari militaire contre Israël.
« J’ai entendu certaines déclarations a propos de la Syrie. Je ne recommande à aucun pays voisin, y compris la Syrie, de nous mettre à l’essai. Ceci dit, je crois que de véritables négociations avec la Syrie sont dans l’intérêt d’Israël. Je continue d’appeler Assad et lui dit que nous comprenons tous ce qui est sur la table, et c’est le moment d’en parler, » a déclaré Barak au cours de la Conférence des Présidents des Organisations Juives Majeures Américaines à Jérusalem.
« Nous n’avons pas besoin d’attendre 10 ou 20 nouvelles années ou un autre round de deux guerres, » a déclaré Barak.
Les commentaires du ministre de la défense ont été faits après que Tishrin, un quotidien syrien à la solde du régime, a déclaré que la Syrie se préparait autant à la guerre qu’à la paix. L’article déclare que les déclarations faites par les responsables israéliens expriment la position du gouvernement, faisant référence aux déclarations faites la semaine dernière par le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman, qui avertissait la Syrie que lors d’une future guerre, non seulement la Syrie perdra, mais Assad et sa famille perdront leur place.
Barak a fait sa déclaration une heure seulement après que le sous-secrétaire d’état américain William Burns ait rencontré le président syrien Assad.
Burns, le plus haut fonctionnaire syrien à se rendre en visite en Syrie ces cinq dernières années, a défini son entretien avec Assad comme « franc », alors que Washington tentait de tisser des liens avec un pays qu’il considère comme clé pour la paix au Proche Orient.
Burns a publié une déclaration indiquant que sa rencontre avec le président Bashar Assad a été ouverte et productive. « Nous avons parlé franchement de tous les domaines dans lesquels nous ne sommes pas d’accord, mais également identifié les zones communes sur lesquelles nous pouvons construire. »
Cette visite intervient un jour après que le président Barack Obama ait déclaré qu’il allait nommer le diplomate de carrière Robert Ford comme premier ambassadeur des Etats-Unis à Damas depuis 2005.
Washington avait rappelé son dernier ambassadeur suite à l’assassinat du premier ministre libanais Rafik Hariri, que beaucoup ont imputé à la Syrie. La Syrie a nié être impliquée.
Burns a décrit la décision de Washington de nommer Ford comme « un signe clair de la volonté de l’Amérique d’améliorer les relations et de collaborer à la poursuite d’une paix juste, durable et complète entre les arabes et les israéliens. »
La Turquie a servi de médiateur pour plusieurs cycles de négociations indirectes entre la Syrie et Israël en 2008, avant qu’elles ne soient interrompues par les opérations israéliennes dans la bande de Gaza l’hiver dernier.
Les relations tendues entre la Syrie et les Etats-Unis ont commencé à s’améliorer après la prise de fonction d’Obama l’année dernière. Obama a fait d’un changement de l’image de l’Amérique au Proche Orient une priorité de sa première année de fonction.
Washington a critiqué la Syrie et son allié iranien pour leur support apporté aux groupes terroristes tels que le Hamas et le Hezbollah. Articles connexes
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l'onu , non plus , ne dit mot !
et cette entité lugubre , ne réagit que lorsque le feu est allumé , lorsque un incedie éclate , qu'il y a des victimes !
les ban kimoon , les tony blair , les obama , les kouchner , les médias .... enfin du monde il y en a pour faire des remontrances à israël , pour déclarer que l'attaque israelienne était disproportionnée , qu'il fallait qu'israël se retire , qu'israël arrête sa progression , qu'israël lève le blocus pour permettre à ces pauvres libanais , ou bien à ces pauvres gazaouis , ou bien à ces pauvres palestiniens , dans un geste humanitaire , de quitter les lieux ...et que si ça recommence , on votera des résolutions , des résolutions y en a plein les sôts , et bêtes de somme , dans le ciboulot , il y a de la mollesse d'idées pour arriver à une paix juste...pas durable , non pour un temps , un tout petit temps à peine perceptible , le temps de se réarmer , et puis on recommence et si ça ne va pas , alors on va pleurer chez ban ki moon , ou bien on va voir sarkozy , mieux obama , mon frère , n'oublie pas , ton papa , il était comme moi , un bon musulman et toi tu as fais le serment !...tout dépend de la direction du vent d 'humeur mausade ou pas , comme celle de abbas , qui se fait prier pour négocier attendant un ordre de là-haut , je veux dire de la ligue arabo-musulmane , laquelle n'a toutjours pas annulé le syndrome de kharthoum !
à redire puisque le fils Hariri pactise avec l'assassin de son père!
Comme dit le dicton: Il ne faut pas être plus royaliste que le roi!
Ceci dit, si les discussions entre Burns et Assad permettent de désamorcer
les prémisses d'une guerre entre l'état juif et la Syrie et calmer les relations
privilégiers avec l'Iran ce sera toujours cela de gagné pour la population
israélienne de la frontière nord.
Pour ce qui est du Golan, il faut que le gouvernement israélien fasse
passer le message: J'Y SUIS J'Y RESTE!