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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientADL : “la critique américaine d’Israël est troublante”L’Anti-Defamation League (ADL, groupe de pression américain pro-israélien) se dit choqué par la critique publique sévère récemment dirigée contre Israël par l’administration américaine.
« Nous sommes choqués et abasourdis par le ton et la publicité utilisés par l’administration contre Israël et les nouveaux logements à Jérusalem, » a déclaré Abraham H. Foxman, directeur national de l’ADL.
Israël a été réprimandé ces deniers jours publiquement par plusieurs responsables américains, dans la foulée de l’annonce de la construction de 1 600 nouveaux logements au nord de Jérusalem. Les américains ont été particulièrement troublés que l’annonce ait coïncidé avec la visite du vice-président Joe Biden en Israël.
« Nous ne pouvons pas nous souvenir d’un précédent dans lequel un langage si sévère a été utilisé contre un ami et un allié des Etats-Unis, » dit la déclaration de l’ADL. « On peut uniquement se demander jusqu’où les Etats-Unis sont prêts à aller en se distançant d’Israël dans le but d’apaiser les palestiniens, dans l’espoir qu’ils voient que c’est dans leur intérêt de revenir à la table des négociations. »
La déclaration de Foxman note que la critique américaine était « particulièrement troublante » alors que le premier ministre Benyamin Netanyahou s’est assuré d’avoir offert des explications claires suite à la mésaventure que l’on connaît.
« Biden a accepté les excuses du premier ministre, » a déclaré l’ADL. « Donc, de soulever la question à nouveau, et de cette manière, est une réaction brutale d’un point de vue des rapports stratégiques entre amis. »
D’un autre côté, une autre organisation ‘juive’ américaine, J Street, une nouvelle organisation d’extrême gauche, a décidé de condamner la conduite d’Israël et d’approuver la position de l’administration américaine.
« La récente annonce par Israël de la construction de 1 600 logements à Jérusalem Est (en fait au nord de la capitale, ndlr) n’était pas seulement une gifle au vice-président Joe Biden, » déclare J Street. « C’était une sonnette d’alarme qui n’aurait pu sonner plus fort, nous disant que l’espoir s’évanouit pour un futur dans lequel un Israël juif et démocratique vivrait côte-à-côte en paix et en sécurité avec l'état du peuple palestinien, » déclare l’organisation gauchiste. Articles connexes
144 commentaires
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Je suis pas mal sur Facebook des forums pro palos...Certains se sentiront bien quand "toute les palestine" sera libérée. Voilà qui donne idée de ce qu'ils souhaitent à Israël !! Sont pas content quand je leur dit qu'elle aurait pu être libre en 48
Cette gaffe aura comme conséquence le renforcement international anti-Israëlien!!!
comment voulez-vous faire la paix avec un peuple qui eleve ses propres enfants dans la haine du juif ......
Et cerise sur le gateau, l'obamination a reussi a faire l'unité des Israeliens (meme de kadima),ceci n'est pas un petit exploit
Et meme les Juifs americains,du moins ,ceux qui sont + préocupes par Israel que l'avortement,semblent sortir de leur léthargie
Je n'épiloguerai pas sur les buts à court terme de cette provocation ( redorer le blason d' 'Hussein Obama auprès de ses co-religionnaires- et l'on voit bien comment l'entend la racaille islamique, particulièrement dans la Vieille Ville : comme une incitation à multiplier ses attaques - s'auréoler, auprès des membres de soin parti démocrate, du moins auprès de l'aile radicale de ce parti, d'une " victoire " , au moins une , en politique extérieure ). Il me paraît toutefois que c'est le but à moyen terme de cette provocation qui est le plus grave il ne s'agit de rien de moins, à mon sens, que de commencer un travail d'érosion d'une opinion publique américaine jusqu'ici de plus en plus favorable à Israël. Ce but - saper peu à peu la position d'Israël dans l'opinion publique américaine, délégitimer Israël auprès des Américains - Obama et ses séides pensent pouvoir l'atteindre peu à peu en fais
Il n'est toutefois pas acquis pour 'Hussein Obama que ses grosses ficelles lui garantissent le succès ( l'édito du très influent " Wall Street Journal " semble au contraire montrer une défiance croissante de certains milieux pour la politique pro-musulmane d'Obama ). Huit mois ( ce qui est long, surtout si, dans cet intervalle, l'Iran parvenait à achever la construction de l'arme nucléaire - ce qui ferait qu'Israël, le dos au mur, ne pourrait plus atermoyer ) nous séparent des " mid-term elections " : si la tendance qui prévaut depuis plusieurs mois dans l'opinion américaine se confirmait dans les urnes, 'Hussein Obama ( dont un très récent sondage indique que, si des élections présidentielles avaient lieu aujourd'hui, il les perdrait ) risquerait de voir ses élans pro-Islâm freinés par un Congrès qui ne serait plus à sa main. Il lui faut donc faire vite ( mais cette précipitation est contradictoire, jusqu'à un certain point, avec l'objectif de faire " tourner " l'opinion publique sur Israël - renversement qui ne peut être acquis en quelques jours ... sauf ... effet Zimmermann ou effet Pearl Harbor ). Et tel est aussi certainement le point de vue de ce que j'appelle
Mais le fait, pour Obama - et peut-être de manière plus frappante encore pour Joe Biden et Mme Clinton - de parler à Israël sur un ton très dur ( pratiquement jamais utlisé jusqu'ici - et qui est le pendant, et le complément, de la fameuse photo où l'on pouvait voir ' Hussein Obama " recevoir " Benyamin Netanyahu les pieds sur son burlingue ) prouve aussi qu'à l'approche des mid-term elections, le haut establishment démocrate a choisi de serrer les rangs en se rapprochant de l'importante aile gauchiste ( " radical " ) du parti démocrate.